Qu Est Ce Qui Plait Dans La Tragédie

Vierge 3Les citations importantes (dissertation) I. Les textes des Lectures Expliquées - « Comme de vrai, il semble que nous n’avons d’autre mire de la vérité et de la raison que l’exemple et idée des opinions et usances du pays où nous sommes », Michel de Montaigne, Des Cannibales. - « Ce n’est pas comme on pense pour s’en nourrir, ainsi que faisaient anciennement les Scythes; c’est pour représenter une extrême vengeance. », Michel de Montaigne, Des Cannibales. - « Nous les pouvons donc bien

le laid en beau. En effet, de nombreuses peintures comme Saturne dévoreur de Goya sont belles mais montre la laideur. Par ailleurs, la tragédie est une purification (catharsis) par lequel on assiste aux hommes qui subissent leur passion. Enfin, l’art peut transformer le banal en beau : G. Flaubert montre que les objets ordinaires sont beaux (« l’ignoble me plaît, c’est le sublime d’en bas »). Par ailleurs, il y a plusieurs visages du beau. En effet, il faut différencier la beauté artistique et naturelle

Clermont. En 1642, il commence a reprendre la charge de son père : tapissier du roi. Brusquement, en 1643, il décide de devenir comédien. Il prend le nom de Molière et fonde la troupe de « l’illustre théatre avec Madeleine Béjart. Ils jouent des tragédies a la mode mais ne parvient pas s’imposer dans Paris, il est emprisonné a plusieurs reprises pour dettes. Il part alors en Province pour 13 ans ou la troupe connait de petits succès et permet à Molière de développer ses talents. De retour à Paris

dramatiques, le tragique et le comique. Tragédie et lacomédie classiques sont les types de ces compositions. Au genre dramatique se rapportent également :  1° les pièces dans lesquelles le tragique et le comique ont été mélangés avec plus ou moins d'habileté, et dans des proportions très variables, telles que l'hilarodie et le drame satyrique des Anciens, la tragi-comédie et ledrame des modernes; 2° celles qui, loin d'atteindre à la perfection de la tragédie et de la comédie, n'en ont été que des

Auteur classique du XVIIème siècle, Jean de Rotrou est un contemporain de Corneille et passe pour le second dramaturge le plus important des années 1650. Il écrit de nombreuses pièces de tous les registres mais est surtout connu pour ces tragédies telles que Venceslas ou encore Le véritable Saint Genest. Il écrit Antigone en 1637 et reprend ainsi le mythe de la fille d’Œdipe déjà mis en vers par Sophocle dans l’Antiquité. Il y ajoute un personnage, Argie, femme de Polynice. Créon, frère de Jocaste

de la tragédie. Il réussit à réaliser la synthèse de plusieurs genres tels que la farce, la comédie italienne ou la comédie d’intrigues. Observateur attentif des mœurs de son temps, il sait en dégager une image tantôt ironique tantôt attendrie. Et Molière n'hésite pas à s'engager, ce qui lui vaut des tas de détracteurs. Tour à tour il s'attaque aux précieuses ridicules ou aux bourgeois vaniteux, aux faux dévots et aux vrais avares, aux médecins ignorants et aux femmes savantes. Il se plaît à condamner

I - Présentation de l’espace On découvre l’espace grâce à la première didascalie : - palais royal = tragédie classique - Espace clos et immense - Impression de luxe - Objet et divers paquets = préparation de voyage Couleurs dominantes : rouges et noir, tissus précieux Don Salluste = titre de l’acte Ruy Blas = titre de l’œuvre Ces deux personnages forment un couple antithétique car ils s’opposent. On découvre l’espace à travers les allées et venues des personnages. Il est très vaste

l’espace est présenté dans cette scène, ensuite nous verrons la présentation du personnage principal : Don Salluste puis pour finir nous allons voir comment cette scène informe.   On découvre l’espace grâce à la première didascalie (Palais royal = tragédie classique). L’espace est clos et immense, nous avons une impression de luxe. Don Salluste est le titre de l’acte et Ruy Blas celui de l’œuvre. Ces deux personnages forment un couple antithétique car ils s’opposent. On découvre l’espace à travers

MOLIERE, LE MALADE IMAGINAIRE, Acte III scène 3, extrait numéro 2 BERALDE : Moi, mon frère, je ne prends point à tâche de combattre la médecine, et chacun, à ses périls et fortune, peut croire tout ce qu’il lui plaît. Ce que j’en dis n’est qu’entre nous, et j’aurais souhaité pouvoir vous tirer un peu de l’erreur où vous êtes, et, pour vous divertir, vous mener voir sur ce chapitre quelqu’une des comédies de Molière. ARGAN : C’est un bon impertinent que votre Molière avec ses comédies, et je le trouve

le coté protéiforme des personnages. Le drame romantique est aussi cocasse et le burlesque par le déguisement, la situation. Le coté tragique est quand même relativement présent, les personnages sont victimes de leur destin. Contrairement à la tragédie, dans le drame romantique le personnage à la capacité de protester de façon lyrique contre le destin qui l’accable. A travers le drame romantique, Victor Hugo remet très nettement en question la règle des 3 unités : lieu temporelle, action. -24h