Quand la mer monte...

voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante. Toute toile dehors, comme un épervier aux ailes étendues, nous faisons glisser notre ombre sur la mer, et, tanguant et roulant, nous fendons l’onde salée. Où allons-nous ? Où cinglez-vous, mariniers ! Herman MELVILLE, Mardi, trad. Charles Cestre, Robert Marin. (romancier nord-américain, 1819-1891)  Départ L’horizon s’incline Les jours

Victor Hugo Les poèmes Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) Les Djinns Murs, ville, Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise, Tout dort. Dans la plaine Naît un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit ! La voix plus haute Semble un grelot. D'un nain qui saute C'est le galop. Il fuit, s'élance, Puis en cadence Sur un pied danse Au bout d'un flot. La rumeur approche. L'écho la redit. C'est

qui lui emprunte peu de caractéristiques75. Ce succès populaire phénoménal embarrasse d'ailleurs la critique, car il louvoie constamment entre mélodrame populaire, tableau réaliste et essai didactique76. De la même façon, dans Les Travailleurs de la mer (1866) et dans L'Homme qui rit (1869), Hugo se rapproche davantage de l'esthétique romantique du début du siècle, avec ses personnages difformes, ses monstres et sa Nature effrayante77. Enfin, en 1874, Quatrevingt-treize signe la concrétisation romanesque

Je ne me sentais plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. Q1 J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands et de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Q 2 Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courrus ! Et les Péninsules démarrées N'ont

de plomb ; chaque embrasure Cache un archer dont l’œil toujours guette et mesure ; Ses gargouilles font peur ; à son faîte vermeil Rayonne un diamant gros comme le soleil, Qu’on ne peut regarder fixement de trois lieues. Sur la gauche est la mer aux grandes ondes bleues Qui, jusqu’à cette ville, apporte ses dromons. Charle, en voyant ces tours, tressaille sur les monts. « Mon sage conseiller, Naymes, duc de Bavière, Quelle est cette cité près de cette rivière ? Qui la tient la peut

« Ariettes oubliées » (1874). d) Le son du cor: Le son du cor s’afflige vers les bois D’une douleur on veut croire orpheline Qui vient mourir au bas de la colline Parmi la bise errant en courts abois. L’âme du loup pleure dans cette voix Qui monte avec le soleil qui décline D’une agonie on veut croire câline Et qui ravit et qui navre à la fois. Pour faire mieux cette plainte assoupie La neige tombe à longs traits de charpie A travers le couchant sanguinolent, Et l’air a l’air d’être

libre de toute occupation territoriale. Depuis 1946, il n'est plus question d'empire colonial mais d'Union française, qui paraît moins «difficile» à assimiler à l'idéologie républicaine, les colonies deviennent des Départements d'outre-mer et Territoires d'outre-mer. Malgré ce changement d'appellation, ces premiers conflits sont les premières flammes d'une décolonisation conséquente dans les années suivante. II. Puis dans une seconde partie, nous exposerons la peur de Vincent Auriol dû aux oppositions

stage,j’ai fait: - les boxes des chevaux (De 9h à 10h30) tous les jours sauf le Mercredi. - j’ai balayé les allées des boxes (De 11h30 à 12h00 et de 14h00 à 14h30) tous les jours. - j’ai aidé 1 fois à nettoyer une plaie d’un cheval - je suis montée à cheval ( De 14h à 15h et de 16h à 17h le Mercredi, de 15h à 16h30 le Jeudi et de 15h30 à 16h45 le Vendredi) - j’ai donné à manger aux chevaux (De 10h30 à 11h30) tous les jours. - j’ai aidé les petits enfants à seller leur poney (De 9h à 10h) le

nue, bien carénée, elle pensait à un beau navire. Il reposait dans ce lit calme, comme dans un port, et, pour que rien n'agitât son sommeil, elle effaçait du doigt ce pli, cette ombre, cette houle, elle apaisait ce lit, comme, d'un doigt divin, la mer(1). elle se leva, ouvrit la fenêtre, et reçut le vent dans le visage. Cette chambre dominait Buenos Aires. Une maison voisine, où l'on dansait, répandait quelques mélodies, qu'apportait le vent, car c'était l'heure des plaisirs et du repos. Cette ville

marquent la tour (ce qui doit correspondre aux trajectoires des matériaux de construction hissés vers le sommet.) - Les tons utilisés sont chauds. La couleur dominante est un dégradé de rouge qui teinte même le ciel. Seul un peu de bleu près de la mer et de vert à l’arrière plan gauche. - Toute la composition tourne autour de la tour. Il n’y a pas de point de fuite. Analyse générale : Le thème de la tour de Babel est inspiré du livre de la Genèse. Les hommes voulurent construire une tour dont le