Quartiers de noblesse

et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. »1 On perçoit immédiatement, dans la fin de ce premier paragraphe de l'œuvre, le sarcasme moquant le conservatisme social de la noblesse arrogante, certes tel que Molière un siècle plus tôt le pratiquait aux dépens de la petite aristocratie provinciale2, mais surtout annonçant

paroisse, confréries de travailleurs etc ..;) sont directement mis au courant. Il en va de même pour les seigneurs et les puissants à une plus grande échelle une ville, une région voir un pays pour les rois et seigneurs ( l 4-5 lettres envoyéez par tous quartier de ses pays) -Ce qui entraîne des réactions de deuils et ceci jusqu'à la messe en l'honneur du mort et de dieu ( l 5-6 pour faire procession, prières, sonneries et aultres touttes choses possibles et accoustumées d'estre faictes à l'honneur de

B. Le déclenchement de la Révolution. Sur la proposition du ministre des finances Necker, Louis XVI convoque les etats généraux c'est-à-dire les représentants de la noblesse, du clergé et du Tiers-Etat pour le 5 mai 1789 a Versailles (se situe a une quarantaine de kilomètre de Paris au Sud-ouest).Le même jour, Louis XVI annonce aux députés des trois ordres que le bit de cette convocation était de trouver une solution aux graves problèmes financiers de la France alors que depuis 1 ans, la population

élevés de leur fonction, ils recevaient des revenus des terres qui leurs étés attribuées et le peuple de l’empire leur versait un impôt périodique. - Au moment de l’arrivée des espagnols, les pilli étaient sur le point de devenir une noblesse et à ce titre ils ne payaient pas d’impôts et avaient accès aux meilleures écoles, les calmecac.* Ces écoles formaient les prêtres donc les pipiltin représentaient la majorité de la hiérarchie religieuse. *Les prêtres et le clergé :

non plus centrées sur la religion mais sur une reconnaissance de chacun ou de moins de chaque corps de métier. Ainsi la société médiévale traditionnellement organisée en ordres (clergé, noblesse et tiers état) est bousculée par la prise de pouvoir politique par la bourgeoisie. L’Eglise ne domine plus avec la noblesse mais est aux côtés de l’élite bourgeoise qui domine les activités et la vie politique de la ville. * L’Eglise développe l’aide aux plus démunis par les ordres mendiants, créé les universités

Vauquer, tenue depuis une quarantaines d'années par cette même femme. Mais son affaire ne fonction plus très bien, principalement à cause du départ de nombreux pensionnaires.     D) Résumer de l'histoire     Rastignac est un jeune homme de petite noblesse. Il part de sa province et arrive à Paris en espérant y rencontrer la fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne nécessaire. Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, une des dernières grandes dames,

Régime : clergé, noblesse et tiers état. Ils sont hiérarchisés en fonction du prestige des fonctions sociales remplies par leurs membres. En théorie, le clergé est le premier des ordres, car sa fonction est d’être l’intermédiaire entre le monde divin et le monde humain. Mais la noblesse, dont la fonction principale est le métier des armes, jouit d’un égal prestige. Quant au tiers état, il s’adonne à des taches peu prestigieuses : agriculture, artisanat, commerce. Dans la noblesse, le souci de la

sans doute la réalité. L’auteur dépeint la diversité du monde ouvrier : diversité des métiers, diversité des types d’ouvriers. Repasseuses, blanchisseuses, cardeuses, chaînistes, boulonniers, zingueurs, serruriers apparaissent, entre autres, dans le quartier de la Goutte d’Or, et parmi eux de bons ouvriers (Goujet), de beaux parleurs, profiteurs (Lantier), des alcooliques (Coupeau, Bibi-la-Grillade), de vieux ouvriers abandonnés (le père Bru). Leur travail présente diverses facettes, et toutes ne sont

superficielle montre l’attachement de la famille du baron aux apparences : « parce qu’il n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre avait été perdu par l’injure du temps », d’autant plus qu’il n’est pas impossible qu’il soit suffisamment noble, ce qui lui manque c’en est la preuve. De plus, non seulement la justification de la noblesse ne tient qu’aux apparences mais celles-ci sont fausses et trompeuses, ce que l’on voit à travers les rapprochements de termes

pur noble du voisinage, que cette femme ne voulut à la saint-glinglin s'allier parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le décharge de son arbre généalogique avait été corrompre par l'injure du temps. »1 on soutirer immédiatement, dans la fin de ce prédominant paragraphe de l'œuvre, le sarcasme moquant le conservatisme social de la noblesse arrogante, oui tel que molière un étape plus tôt le pratiquait aux débours de la petite aristocratie provinciale2, mais surtout préfigurer