Quartiers de noblesse

raisonnement inversés et stupides. Cosmolonigologie, nigaud. Voltaire s’amuse à esquisser un monde idéalisé en apparence. Nombreuses critiques, plusieurs indices. On trouve un « bon et honnête gentilhomme » qui est refusé pour ne pas avoir assez de quartiers de noblesse, donc on préfère l’infamie à l’apparente mésalliance. Discours de Pangloss : Lexique : « démontrer », « fin », « nécessairement », « doit », « tout est au mieux », indiscutable Logique Discours portant les marques de la démonstration philosophique

transf en vaste avenues avec entrée monumentales ex arc de triomphe, av bordé d’arbres.. * concentrat° des pouv a paris attire noblesse = csq sur paysage = construc d’hotels particuliers ( quartiers des marais) 2) Les tranf haussmaniennes (19e ) a) Une nvlle approche du patr 2nd empire : Nap III charge le baron haussmane de moderniser paris. *des quartiers st completement rasés (ile de la cité) *ville aéré = creat° esp verts et grdes avenues = percées haussmanniennes. *waux des eaux

personnages avant que n'apparaisse l'élément perturbateur qui débute par « un jour »+ passé simple . L'action se déroule en Vestphalie , et des indications qui nous renseignent sur le 18ème s. grâce aux coutumes , au château et à l'entourage de Candide noblesse provinciale . Puis le narrateur fait la présentation des personnages , cette présentation est très structuré par ordre d'importance décroissant : d'abord le héro (Candide) avec un portrait moral , on remarque qu'il est simple , naïf , on a ici une

prétentions (à propos de ses quartiers de noblesse, en l’occurrence les généalogies dont les nobles aimaient à s’enorgueillir ; la démesure du nombre de « quartiers » et l’accumulation dans la même phrase de quatre propositions subordonnées dénoncent la pesanteur et la sotte vanité des préjugés aristocratiques), son goût du paraître et sa flagornerie (seul, Candide est un personnage authentique). Voltaire fait par ailleurs de la noblesse du baron et de la baronne un

cela fait qu’on le nomme Candide, qui en français signifie : doux, naïf, crédule, innocent. Cependant, les gens soupçonnent que c’est un bâtard, fils de la sœur du baron et d’un noble que celle-ci avait refusé d’épouser car il n’avait que 71 quartiers de noblesse. Dans un conte merveilleux, Candide serait lié à l’image du prince, du jeune premier. Le deuxième personnage dont nous parle Voltaire est Mr. Le baron Thunder-ten-tronckh. Son nom affiche une allitération en « t », ce qui donne l’image d’un

poète. II) LA DUALITE DE SARAH ou la beauté et la sainteté transcendant la laideur et le mal. A) LA LAIDEUR . A.1) le physique repoussant. A.2) l'extrême pauvreté. A.3) la maladie. B) LA BEAUTE . B.1) l'amour qu'elle inspire. B.2) sa noblesse d'âme. B.3) la pitié. C) LA SAINTETE .C.1) malgré le mal. C.2) la sainteté. ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ ✤ I) LA FEMME FANTASMEE ou la transformation

évidemment qu’il parle tout le temps, mais aussi qu’il cherche à tout justifier par le discours. Le prénom de la « princesse » Cunégonde ne manque pas d’amuser, par sa sonorité vulgaire et ridicule, qui rabaisse le personnage et lui fait perdre toute noblesse. Elle a un tempérament sensuel (ce qu’indique son prénom) et elle sera plutôt conduite par le plaisir des sens que par sa fidélité à l’égard de Candide ou le souci de conserver son rang. On pourra d’ailleurs prêter attention à une phrase inattendue

au nom imaginaire, « Thunder-ten-tronckh » ironique pour une des régions les plus pauvres d’Allemagne ! ► Personnage de la noblesse : baron et baronne (réf à prince et princesse, roi et reine) Elle commande aussi leurs actions, la sœur du baron se rechigne à épouser un homme car celui-ci « n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l’injure du temps ». Nouveau signe du conte L’époque est intemporelle

et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps1. » On perçoit immédiatement, dans la fin de ce premier paragraphe de l'œuvre, le sarcasme moquant le conservatisme social de la noblesse arrogante, certes tel que Molière un siècle plus tôt le pratiquait aux dépens de la petite aristocratie provinciale2, mais surtout annonçant

personnages font pratiquement tous partie de la noblesse, on trouve ainsi le « baron », la « baronne » et leurs enfants, mais de plus cette noblesse est mise en relief par le refus de la sœur du baron d’épouser un « bon et honnête gentilhomme du voisinage » car celui-ci « n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l’injure du temps ». La noblesse est donc à la fois la caractéristique principale