Quartiers de noblesse

.... La NOBLESSE...... 1.5% de la pop. - Ceux qui travaillent.......... Le TIERS-ETAT.... 98% de la pop. Le dévoloppement du commerce et l'essor de l'industrie au cours du XVIIIs. ont introduit de nouveaux facteurs de différenciation sociale, suivant l'activité professionnelle, le talent ou bien encore la richesse. Dans la seconde moitié du XVIIIs., le roi, pour faire face à ses dépenses de plus en plus importantes, anoblit certains grands négociants, savants ou artistes. La noblesse n'est donc

membre de l'aristocratie. Dans cette tirade, Dom Louis fait des reproches à son fils. Afin de mener notre étude, nous verrons dans un premier temps le bilan des actions de Dom Juan ; puis dans une seconde partie, nous étudierons la conception de la noblesse donnée par Dom Louis. Dans cette tirade, Dom Louis fait un rappel des actions faites par son fils. Nous voyons que ce père n'accepte pas les actes commis par Dom Juan. Les deux expressions suivantes : « amas d'actions indignes » (l.1-2) et

Critique de la noblesse fondée sur les apparences =>Baron titre de noblesse bas mais éloge => " ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers " → Moquerie de la noblesse qui doit rendre conte de ses ascendants . =>"Le plus puissant seigneur" en décalage avec 'baron" =>"Palefreniers" / "Piqueurs" ; "vicaires"/ "Grand aumôniers " →Recalage des fonctions et des titres. -"Monseigneur" terme utilisé normalement qu'à la basse noblesse → Noblesse ridiculisée

claque à sa fille La dernière ironie de Voltaire réside dans la situation finale : « Consterné dans le plus beau des châteaux » qui sous-entend que c’est le K.O dans le meilleur des mondes. B. La satire de la noblesse L’objectif de Voltaire est de tourner en dérision la noblesse en montrant le coté présomptueux de leur supériorité. La famille Thunder-Ten-Tronckh loin d’être idéale présente de nombreux défaut : * Patronyme ridicule. * Le Baron n’admet pas sa pauvreté (son château n’a

âge que son modèle, submergé par la réussite, et finalement terrassé par l'incapacité de se donner des limites. LE PERE GORIOT, 1835 A Paris, fin 1819, dans une rue misérable qui descend de la Montagne Sainte- Geneviève vers le Quartier latin, madame Vauquer tient la pension qui porte son nom. Ses pensionnaires sont des êtres mesquins comme Poiret et mademoiselle Michonneau, ou sans éclat comme la jeune Victorine Taillefer. Trois personnages émergent de cet univers médiocre : Eugène

représenté politiquement par le baron et idéologiquement par Pangloss. Mais dans ce monde des failles apparaissent ce qui va permettre l’évolution du héros, elles permettent également à Voltaire d’inaugurer son combat contre l’illusion du pouvoir de la noblesse mais surtout contre l’optimisme. I) Les éléments du conte Ce texte narratif comporte des éléments qui le rapprochent du conte merveilleux. a) Le cadre Cadre propre au conte : • Le château = décor typique • Temps de l’action imprécis • « il

le premier chapitre et par l’image du jeune baron que Voltaire brosse le portrait d’une noblesse orgueilleuse et très détachée du réel. -le nom ridicule et prétentieux de T.T.T.( consonance germanique par le dentales et les gutturales). -des présentations généalogiques de ce monde figé .72 quartiers=exagération de Voltaire .le père de Candide n’était pas assez noble car il possédait seulement 71 quartiers. La phrase, dans laquelle nous avons une accumulation de 4 propositions subordonnées, dénonce

I) Le schéma traditionnel du conte II) Critique de la noblesse III) Dénonciation de l'optimisme Introduction :  Voltaire rédige en 1758 Candide, un conte philosophique qui contredit la théorie de Leibniz selon laquelle tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais sans la détruire tout à fait puisque la plupart des personnages finissent par cultiver leur jardin tranquillement en y renonçant. Le conte est publié en 1759, anonymement, puis sous un pseudonyme en 1761. Un conte

répondre à la problématique en quoi l’incipit est-il un moyen pour l’auteur d’exposer ses opinions, vous verrons dans un premier temps, l’aspect du conte traditionnel au conte philosophique, en second lieu, nous étudierons le pouvoir illusoire de la noblesse puis l’illusion de la philosophie optimiste. I/ DU CONTE TRADITIONNEL AU CONTE PHILOSOPHIQUE 1- les caractéristiques du conte traditionnel: - l'ouverture du récit: le roman commence comme un conte merveilleux, une fiction simple et limpide

1/ Une virulente satire de la noblesse : Tournée en dérision : - pédanterie * patronyme ridicule : Thunder-ten-tronckh * n'admet pas sa pauvreté - l'attachement aux privilèges : chasse, chapelle privée - l'attachement à la hiérarchie : " que 71 quartiers " (au lieu de 72) - l'inégalité - la Prusse (il avait fait un séjour chez Frédéric II et s'était fâché avec lui) *Westphalie *"nous mangeons du porc toute l'année" = vengeance - les femmes : misogynie = satire facile