Quartiers de noblesse

Non seulement les personnages font pratiquement tous partie de la noblesse, on trouve ainsi le « baron », la « baronne » et leurs enfants, mais de plus cette noblesse est mise en relief par le refus de la sœur du baron d’épouser un « bon et honnête gentilhomme du voisinage » car celui-ci « n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l’injure du temps ». La noblesse est donc à la fois la caractéristique principale des personnages

Thunder-ten-tronckh, il a un grand respect de la noblesse et notamment envers le baron. Son estime est en partie due au discours du philosophe Pangloss pour qui il a une grande estime. Il lui enseigne que « le plus grand baron de la province doit être le mieux logé » (chap.1). Mais au fur et à mesure de ces péripéties, son respect va se transformer en dégout. Premièrement, il va être confronté au frère de Cunégonde qui refuse que Candide épouse sa sœur car il n’a pas de quartiers : « Vous insolent ! répondit le baron

le débat entamé dans le Poème sur le désastre de Lisbonne paru en 1755, après le tremblement de terre qui fit 30.000 victimes. - satire de la noblesse - caricature d'une philosophie du XVIIIème : l'optimisme - parodie littéraire Annonce de la démarche Etude thématique (car longueur du texte) : - satire de la noblesse - caricature d'une facette de la philosophie du XVIIIème : l'optimisme - parodie littéraire Explication L'ironie et la moquerie évidentes de ce

I – Un incipit de conte merveilleux - « Il y avait » : formule liminaire : hors temps. le lieu : château : bien typique du conte merveilleux : un seul trait de caractère pour le définir, superlatifs, ils sont tous parfaits et issus de la noblesse. «  L'esprit le plus simple » ; Baronne : « très grande considération, honneurs de la maison, dignité, respectable ». -Description qui commence par le fils illégitime. II – Une parodie de conte merveilleux -Formule liminaire contredite par

roman, elles sont mises au service de VOLTAIRE pour critiquer bon nombre de problèmes de l'époque : 1/ Une virulente satire de la noblesse : Tournée en dérision : - pédanterie    * patronyme ridicule : Thunder-ten-tronckh    * n'admet pas sa pauvreté - l'attachement aux privilèges : chasse, chapelle privée - l'attachement à la hiérarchie : " que 71 quartiers " (au lieu de 72) - l'inégalité - la Prusse (il avait fait un séjour chez Frédéric II et s'était fâché avec lui)    *Westphalie

la périphrase finale de Pangloss qui évoque le «meilleur des mondes possibles» comme si le château et ses habitants constituaient un monde distinct. Les personnages sont aussi caractéristiques du conte et font pratiquement tous partie de la noblesse. On trouve ainsi le baron, la baronne et leurs enfants. La présentation stéréotypée de chaque personnage est en raccord avec le conte, dans lequel les personnages sont toujours simplifiés, dans un monde sans contraste que l’on pourrait qualifier

description qui ressemble à un conte de fée contribue à dénoncer un univers fondé sur l'illusion. La perspective critique et philosophique est donc déjà présente dès le début de l'œuvre. Quels sont les thèmes de l’œuvre ? La critique de la Noblesse. De quoi parle l’œuvre ? Ce texte est un extrait d'un apologue, c'est l'incipit du conte philosophique de Candide ou l'Optimisme. Ce conte philosophique écrit par Voltaire est une sorte de critique du providentialisme de son rival Leibniz,

seulement les personnages font pratiquement tous partie de la noblesse, on trouve ainsi le «baron», la «baronne», le baronnet et la baronnette, mais de plus cette noblesse est mise en relief par le refus de la sœur du baron d’épouser un «bon et honnête gentilhomme du voisinage» car celui-ci «n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l’injure du temps». La noblesse est donc à la fois la caractéristique principale des personnages

Fiche de lecture sur Le Père Goriot d'Honoré de Balzac I Les personnages principaux a) Les personnages fréquentant les quartiers pauvres de la capitales On a tout d'abord le personnage de Jean-Joachim Goriot, ancien vermicellier de 70 ans ayant fait fortune durant la Révolution. Ses revenus lui permettent d'habiter au premier étage de la maison Vauquer dont il est le plus ancien pensionnaire depuis 1813, ce qui lui a valu le surnom de « Père Goriot ». Il est père de deux jeunes femmes;

a l'age moderne. www.revues.org www.perssée.fr chapitre 1 : La france sous l'ancien régime : 17 et 18e siècles I- une société de corps privilégiés 1) une société d'ordres divisé en trois ordres : le clergé, le tiers état, et la noblesse cette répartition est une survivance d'un découpage qui remonte au moyen age entre ceux qui sont dédié au services de dieux : le clergé. Les autres ont conserver l'État par les armes et enfin le troisième : les autres a le nourrir et maintenir par