Quatrain

Charles Baudelaire (1821-1867) est un poète français du XIX ème siècle, et appartient aux mouvements littéraires duromantisme et du symbolisme. Il est l'auteur du recueil Les Fleurs du Mal publié en 1861. Le poème « L’Albatros » comporte quatre quatrains composés d’alexandrin, avec des rimescroisées. Il apparaît dans la section « Spleen et Idéal », qui est la deuxième partie du recueil. « L'Albatros » permet donc de comprendre le sentiment de nostalgie, de malaise et d'angoisse que ressent l'auteur

fait redécouvrir le patrimoine antique. -Œuvre : Les regrets, de Joachim Du Bellay 1558 -Résumé : -Thème : éloge et paradoxe -Présentation : Le poème est un sonnet qui contient 2 quatrains et deux tercets. Dans le poème de Du Bellay, de nombreux poètes parlent. Il fait parti du registre lyrique et du dramatique -Axe de lecture : I) Rejet d’une conception de la poésie II) Nouvelle conception de la poésie -Analyse : I)a)

comme le prouve encore la reprise dans les strophes deux et trois des mêmes éléments, les "mers", "monts", "fleuves", "forêts" du deuxième quatrain, auquel font écho les "eaux", "montagnes", "bois", et "fleuves" du troisième quatrain, où seul un chiasme vient rompre la répétition. Les mots "monts" et "mers" seront d'ailleursrepris à la fin du troisième quatrain. Ces répétitions systématiques dénotent en fait une conception particulière du temps: il s'agit d'un temps cyclique, au cours duquel on observe

Ce sonnet canonique (Un sonnet "canonique" est écrit en vers (forme rimée comptée): 14 vers répartis en deux quatrains et deux tercets) est divisé en quatre parties : deux quatrains formés en rime embrassé, s’adressant à la France, pays dont il s’est exilé, et deux tercets dans lesquels il développe cet exil. Lecture du sonnet I. Premier quatrain Lecture du quatrain 1er vers : Ce premier vers débute par l’apostrophe « France » qui va d’emblée désigner l’adresse de son sonnet

liminaire, Baudelaire peint une image très pessimiste de l’Homme. En effet on voit que dans les deux premiers quatrains le poète met en avant les faiblesses et vices de l’Homme, on observe deux faiblesses mise en avant, celle de l’esprit d’un côté et celui du corps de l’autre. Dès le premier vers un constat des faiblesses est décrit par une accumulation. On voit à travers les deux premiers quatrains que l’Homme vit dans l’illusion notamment dans le vers 1 : « l’erreur » et au vers 8 : « Croyant par de

naturel sont des thèmes profondément romantiques et donc souvent abordés dans les poèmes du XIXème siècle. Théophile Gautier, fervent romantique, publie España en 1840, recueil de poèmes dont il est extrait Le pin des Landes, composé de quatre quatrains constitués exclusivement d’alexandrins. Dans ce poème, Gautier fait un parallèle entre le pin, meurtri par les hommes et exploités qui veulent récolter sa résine, et le poète, dont le cœur saigne. De prime abord, nous verrons comment l’auteur construit

forme « sonnet ». C’est au départ une poésie populaire (donc pas en latin) rythmée et destinée à être chantée. Ce sont Dante et Pétrarque qui commencent à fixer les formes (avec des variantes) du sonnet. C’est Pétrarque qui fixe les rimes des deux quatrains (ABBA), son recueil « Canzionere » sert de référence pour plusieurs siècles tant sur le plan de la forme que sur le plan des thèmes : le recueil de sonnets est essentiellement un recueil centré sur l’amour et au XVIème siècle tout poète français

Œuvres poétiques de Ménard Il s’agit d’un sonnet régulier (car il est composé de 2 quatrains et 2 tercets) et de forme ABBA ; ABBA ; CCD ; EDE pour les rimes. Ce poème reprend dans sa structure même des images et des thèmes récurrents da la poésie baroque. Bref, il est là pour nous enseigner qu’on ne trouve le sens véritable de l’existence qu’auprès de Dieu, après la mort… Notons que nous avons peu de renseignements sur l’auteur (seulement qu’il a été avocat de la cour au parlement de Toulouse)

qui sera reprise par la religion chrétienne (le Christ dit dans les Évangiles : « Mon royaume n’est pas de ce monde »). Les allusions platoniciennes que l’on peut deviner dans le premier quatrain préparent à cet égard la référence à Ovide, autre auteur de l’Antiquité, auquel le poète s’adresse dans le 2ème quatrain. Le poète latin Ovide est en effet convoqué pour l’assimilation du sommeil et de la mort, que discute VDB. II. Fatalité de la mort : si la vie est un songe, alors la mort est le réveil

cercueil réel. On assiste alors au lent dévoilement d’un corps de femme émergeant péniblement de cette baignoire. La progression du sonnet suit en effet celle du mouvement du corps : * D’abord la tête (1er quatrain) * « Puis » le buste avec le cou, le dos et les reins (2ème quatrain) * Le premier tercet décrit « l’échine » et le second s’attarde sur « les reins », càd le bas du dos et plus précisément « sa large croupe » marquée d’ « un ulcère à l’anus ». Des effets rythmiques permettent