Quelle émotion Le Public Vient Chercher Au Théatre

« L’acteur, comme l’orateur, cherche à convaincre. » Constantin Stanislavski La dissertation littéraire comme projet logique « Rien n’est stupide comme vaincre ; la vraie gloire est convaincre. » Victor Hugo, Les Misérables Dim Mohamed La dissertation littéraire comme projet logique Dédicace : Nous dédions cet ouvrage aux personnes dont les noms suivent :        M. et Mme Mbozong Philippe. Dr Denis Pompidou F . Dr Jacques Evouna. M. Tekeng Denis. Telefo Arno

(14). Edmond Rostand Introduction : L’intérêt pédagogique Inscrite dans les nouveaux programmes de français de la classe de 4e, la pièce de Rostand est l’œuvre idéale pour travailler la problématique « faire rire, émouvoir, faire pleurer » au théâtre. En effet, quelle pièce peut, mieux que Cyrano de Bergerac, susciter tout à la fois, le rire, l’émotion et les larmes ? Ces séances, conçues pour la version abrégée de l’œuvre, visent à faire découvrir aux collégiens la bouleversante histoire de

elle décide de distribuer tout ce qu’elle a aux autres. -- Balzac fait le portrait de Grandet: physiognomonie- l’extérieur montre l’intérieur Grandet vient décrit comme un homme pas du tout chaleureux, avare, égoïste et totalement coupé du monde. Mais il respecte les choses que les autres possèdent (Z.3).A la maison il est encore pire qu’en public (Z.6) – vraiment désagréable… Déterminé par l’apparence: Il est un petit homme, lourd, épaisse et sa silhouette est très imposante, tanné (gegerbt) ->

fin du 18ème. Il écrit > « la critique de la faculté de juger » Il s'interroge sur le jugement > humain, il va donner une définition du beau en 4 point de vue > de,: La qualité Pour Kant le beau est une question de plaisir, une émotion positive par rapport un œuvre en fonction de chacun. Il précise « désintéressée » c'est-à-dire sans désir du spectateur de possédé l'œuvre pour valorisé par exemple sa collection. La quantité « Est dit beau ce qui plait universellement

Document réalisé par Mme Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, lycée Cocteau à Miramas Séquence « Spectacle et comédie » (Le théâtre du XVIIè au XXIè siècle). Explication linéaire n°1 : Molière, Le Malade imaginaire, Acte II, scène 5 Cléante. […] Belle Philis, c’est trop, c’est trop souffrir, Rompons ce dur silence, et m’ouvrez vos pensées, Apprenez-moi ma destinée, Faut-il vivre ? Faut-il mourir ? Angélique répond en chantant. Vous me voyez, Tircis, triste et mélancolique, Aux

lien. • Normalement, au théâtre, le spectateur est dans le noir et, par convention, n’a plus d’existence (la vie est sur scène). Mais il arrive qu’il « participe » un peu à l’action, ou que, au moins, il soit lié à un des personnages, c’est-àdire qu’il ait des informations que certains personnages n’ont pas, qu’il soit dans la confidence et voit ce que certains personnages ignorent. Il occupe alors une position privilégiée. • Dans ce domaine, la double énonciation au théâtre est importante. La double

alternance Alexandre Cantini Yvon Wust Jules Pan Julien Andersch Loïc Guingand Yvon Wust Caterina Autelitano Alexandre Cantini Julien Andersch Yvon Wust Jules Pan Madrid. 169. Quelques repères L’auteur : Victor Hugo Création : 8 novembre 1838 au Théâtre de la Renaissance à Paris La distribution : les grands rôles Ruy Blas Don Salluste de Bazan : Don César de Bazan Don Guritan : Doña Maria de Neubourg M. Frédérick Lemaître M. Alexandre Mauzin M. Saint-Firmin M. Féréol Mlle Louise Beaudouin Le

Guingand Laquais : Duègne : Yvon Wust Caterina Autelitano Alcade : Alguazil 1 : Alguazil 2 : Alguazil 3 : Alexandre Cantini Julien Andersch Yvon Wust Jules Pan Madrid. 169. Quelques repères L’auteur : Victor Hugo Création : 8 novembre 1838 au Théâtre de la Renaissance à Paris La distribution : les grands rôles Ruy Blas Don Salluste de Bazan : Don César de Bazan Don Guritan : Doña Maria de Neubourg M. Frédérick Lemaître M. Alexandre Mauzin M. Saint-Firmin M. Féréol Mlle Louise Beaudouin Le genre

pièce de théâtre, de transformer un texte en une pièce avec des acteurs, des décors, des costumes. Il doit monter la pièce, et présenter le texte original comme l’auteur aurait pu l’imaginer. « La part de création et de recréation du metteur en scène est très considérable. Il est lui-même producteur d’un nouveau texte didascalique, complément et précision, voire contradiction du texte littéraire », ceci est une citation d’Anne Ubersfeld d’un essai consacré au genre théâtrale dans Le Théâtre, elle explique

HISTORIQUES 6 1. Chronologie 6 2. Le contexte religieux : Racine et Port-Royal 11 3. Le contexte politique 13 1. La Monarchie absolue 13 2. Racine, historiographe du Roi 14 II – LA VIE DES THÉÂTRES : HISTOIRE D’UNE CONCURRENCE 16 III – RACINE ET LE JEU DES RÈGLES « CLASSIQUES » 19 1. L’écriture tragique au XVIIe siècle 19 2. Motifs galants 24 3. L’imitation créatrice : « l’écart » racinien 26 4. Complément :