Quels Sont Les Principes Du Marxisme Léninisme

REMERCIEMENTS J’adresse mes vifs remerciements à : . SOMMAIRE INTRODUCTION 2 PREMIERE PARTIE 5 LA DEMOCRATIE : PRINCIPAUX CRITERES 5 Chapitre 1 : La démocratie comme principe de légitimité : 5 Chapitre 2 : La démocratie en tant que régime politique : 7 Chapitre 2 : La démocratie en tant que régime politique : 7 Chapitre 3 : La société civile 12 DEUXIEME PARTIE 15 LE BENIN, « BON ELEVE DE LA DEMOCRATIE » 

parti publie les principes pour une réforme économique majeure. Au début de 1965, il commence à mettre en œuvre certaines des mesures recommandées. En juin 1966, le treizième congrès du parti communiste donne son feu vert au nouveau programme appelé « Nouveau modèle économique » (qui rappelle la Nouvelle politique économique léniniste de 1921). Implanté en 1967, cette réforme comporte de multiples facettes dont certaines (faute de temps) ne seront jamais mises en place, son principe de base étant de

institue une commission chargée de réfléchir à cette réforme. On trouve une influence maurrasienne qui y voit une occasion de revanche sur la centralisation bonapartiste et républicaine. Mais aussi l’influence du régionalisme économique qui part du principe que le département ne saurait être un espace suffisant, régionalisme qui s’est inspiré de géographes français, dont Vidal de La Blache. Pétain a une conception hiérarchique, militaire de l’administration, pour lui le pouvoir central doit donner des

construction du socialisme dans un seul pays (contrairement aux idées de Trotski, qui jugeait qu’il fallait encourager directement les mouvements socialistes dans tous les pays du monde). L’URSS de Staline s’appuie sur une idéologie forte, le marxisme-léninisme, et Staline s’impose rapidement comme le seul dirigeant de l’Union soviétique. Il fonde son emprise sur un contrôle total du PCUS (Parti communiste d’union soviétique) et sur le cumul des fonctions (qui fait de lui le chef du parti, de l’Etat

innocents » aux yeux même de l'idéologie en vigueur) et non contre les opposants réels. L'usage permanent de la terreur a pour corollaire celui de la propagande, omniprésente dans un État totalitaire. Par ailleurs, le totalitarisme n'obéit à aucun principe d'utilité : les structures administratives sont démultipliées sans se superposer, les divisions du territoire sont multiples et ne se recoupent pas. La bureaucratie est consubstantielle du totalitarisme. Tout cela a pour but de supprimer toute hiérarchie

modèle américain se base sur des fondements idéologiques radicalement différents de ceux du modèle soviétique. Alors que l’Amérique se dit défenseuse des libertés : liberté d’expression, d’association, religieuse… Les soviétiques prônent le marxisme-léninisme et la dictature du prolétariat. Ainsi, la société américaine est une société d’abondance, de consommation de masse, et le niveau de vie moyen augmentant permet aux ménages de consommer des biens (voitures, électroménager…) et des loisirs (parc

révolution est à la fois la vertu et la terreur: la vertu sans laquelle la terreur est funeste; la terreur sans laquelle la vertu est impuissante. La terreur n'est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible; elle est une conséquence du principe général de la démocratie appliqué aux plus pressants besoins de la patience », déclare Robespierre, le 5 février 17947.Instrument de défense nationale contre les rebelles, la terreur contribue à imposer l'autorité du nouveau pouvoir. Cette conception

par tous les belligérants. La seconde Guerre mondiale a mobilisée 87 millions de combattants. L'URSS passe de 17 millions durant la première Guerre à 34,5 lors de la deuxième Guerre. Les États-Unis, eux, passent de 4,2 millions à 16,3 millions. Le principe de la Culture de la Guerre est l'identification. Les États-Nations entrent dans une dimension idéologique ce qui provoque l'anéantissement physique mais aussi l'anomie (la fin des normes, ces normes sont abolies pendant la guerre). Il n'y a plus

innocents » aux yeux même de l'idéologie en vigueur) et non contre les opposants réels. L'usage permanent de la terreur a pour corollaire celui de la propagande, omniprésente dans un État totalitaire. Par ailleurs, le totalitarisme n'obéit à aucun principe d'utilité : les structures administratives sont démultipliées sans se superposer, les divisions du territoire sont multiples et ne se recoupent pas. La bureaucratie est consubstantielle du totalitarisme. Tout cela a pour but de supprimer toute hiérarchie

intérêts que la Révolution a proclamé) Dès la naissance du mot, le clan des libéraux est loin d'être homogène: monarchistes, bonapartistes... chacun étant un aspect différents du libéralisme. Il existe des nuances d'un groupe à l'autre mais des principes restent communs: gens hostiles aux menées contre révolutionnaires (aristocrates, cléricaux) les libéraux s'entendent pour défendre les principaux acquis politiques de la Révolution car ils ont un fort attachement à un régime de type parlementaire