Quentin Metsys

couleurs et d’inventions graphiques fantastiques. Il illustre très clairement la débauche et les plaisirs de la chair qui conduiront l’homme en enfer où là, il subira l’éternité durant, des souffrances que la décence même empêche d’imaginer. _ Quentin METSYS (1465-1530) Il hérite des traditions flamandes du 15ème et fait des emprunts à la peinture italienne (sfumato de Léonard, teintes claires, douceur des traits, volumes fluides). _ Vierge trônant : elle occupe tout l’espace mais elle reste fine

Des artistes de « transition » apparaissent, ils sont imprégnés de l'esprit gothique mais adoptent aussi les nouveautés venues de l'Italie. On assiste un flux important d'artistes nordiques partant en Italie comme par exemple Holbein l'Ancien ou Quentin Metsy. L'art allemand est de plus en plus sensible à l'art vénitien tandis que l'art flamand à l'art florentins. Progressivement, lors d'un voyage à Rome, ces artistes découvrent l'art antique. Mais le début de la Renaissance nordique ne se limite pas

XVIIe siècle un cabinet d’amateur (en flamand : “constcamer”, chambre d’art). Et pas n’importe lequel. Celui de l’opulent négociant et mécène Cornelius van der Geest, peint par un certain Willem van Haecht. On y recon­ naît un Breughel, deux Metsys, quatre Rubens, un van Eyck parmi d’autres. On y reconnaît aussi les archiducs Al­ bert et Isabelle, princes souverains des Pays­Bas espagnols, rendant visite à leur propriétaire, le 23 août 1615, lors de leur Joyeuse entrée à Anvers. Une exposition

contre l’école de peinture est complètement atteinte par ce mouvement et son plus célèbre représentation vu Jean VAN EYCK (qui a bcp représenté l’intérieur de sa propre maison, ou des portraits de femmes qui sont des bijoux techniques), Memling, Quentin Metsys, Pourbus. Les couleurs employés par ses peintres sont très riches, palettes très variées, un gout immodéré pour le détail vestimentaire et la description précise des costumes. Toutefois les peintres HANS BOL et BREUGHEL échappent à l’influence

parties qu’on auta ils peuvent se diviser sans perte en n, peuvent être de veut, et ces parties, à l’aide de la fusio ne possède aucune nouveau réunies en masse ; qualité que ux, et qui, plus que toute me (1514), 10 autre denrée aussi durable qu’e Quentin Metsys, Le Prêteur et sa fem au res du Louvre, Paris. prop ée plus mus les cm), nts huile sur bois (70,5 cm × 67 autre qualité, en fait les instrume qui ple, exem par me, pour toute la valeur commerce et à la circulation. Un hom en échange, était obligé

d’apprentissage © CNED Rendez-vous sur cned.fr pour regarder la vidéo de présentation du chapitre 7. Pour débuter : Histoire des arts © CNED Rendez-vous sur cned.fr pour effectuer l’activité interactive n° 1 qui va vous proposer l’étude de Quentin Metsys intitulé « Le prêteur et sa femme ». Ce tableau représente donc un homme dont le métier est en rapport direct avec l’argent. Pour apprendre A Étude d’un corpus Rendez-vous sur cned.fr pour effectuer l’activité interactive n° 2. Elle

Télémaque, car il est bon de savoir que notre ville a également produit le «fondateur de la fortune de ce dernier. De la fortune de qui ? demanderont les sages aux sourcils «contractés et les beautés aux yeux brillants de la localité. Nous croyons que Quentin Metsys fut «forgeron à Anvers.»-VERB. SAP. J'ai l'intime conviction, basée sur une grande expérience, que si, dans les jours de ma prospérité, j'avais été au pôle nord, j'y aurais trouvé quelqu'un, Esquimau errant ou homme civilisé, pour me dire que