Question Corpus Bonheur La Fontaine

3 La poésie 1. La démarche du chapitre Le programme de Français pour la classe de Première formule en ces termes l’« objet d’étude » consacré à la poésie : – Corpus : un recueil et/ou un groupement de textes, choisis par le professeur ; – Perspective dominante : étude des genres et des registres ; – Perspectives complémentaires : approche de l’histoire littéraire et culturelle, réflexion sur la production et la singularité des textes ; – Objectif : on souligne les enjeux des relations entre

déclencha de véritables bagarres dans la salle. Mais Cocteau ne trouva pas que des aspects négatifs à «l'électricité» dégagée par ce scandale. Au moment où, adulé, il pouvait tomber dans le piège du succès facile, il eut l'intelligence de se remettre en question, aiguillonné par les réactions qu'il provoquait. Ghéon lui reprochait sa futilité ; Gide glissait quelques perfidies : «Rien ne m'est plus étranger que ce souci de modernisme qu'on sent incliner toutes les pensées et toutes les résolutions de Cocteau

circule pas, qui est confisqué. L'oligarchie est le gouvernement des meilleurs, des nobles. La démocratie, le pouvoir circule, le pouvoir de l'alternance. Aristote et Polype cherchent à trouver le meilleur gouvernement, la meilleure formule pour le bonheur des autres. Ils ont une vision normative des choses, ils ordonnent que ce soit mieux en choisissant un régime plutôt que l'autre. A côté il y a des classifications plutôt scientifiques. Meilleur juriste, autrichien, époque de la deuxième guerre mondiale:

peuple de la loi ». Pour les cinq siècles durant lesquels a duré la République, on a pu dénombrer seulement 800 lois, qui pour la plupart portent sur le droit public, mais pas sur les institutions fondamentales. Seulement 24 lois portent sur des questions de droit privé. La loi est à Rome un acte sérieux. C’est sa rareté qui lui confère sa valeur et son caractère solennel. L’élaboration des lois à Rome semble souvent avoir été liée à l’empire des circonstances. Par exemple, la loi est souvent

© Eyrolles Pratique 16 « Le vin et les enfants disent la vérité. » ALCIBIADE, vers 416 av. J.-C. Dans le traité philosophique du Banquet, Platon met en scène son maître Socrate. Le philosophe athénien devise librement de l’amour et du bonheur avec quelques convives, dont l’auteur de comédies Aristophane. Le stratège et dirigeant athénien Alcibiade (vers 450-404 av. J.-C.) surgit alors en titubant parmi les invités, couvert de violettes et de lierre, et demande : « Acceptez-vous de boire

comment définir la richesse ? comment choisir entre deux politiques économiques ? Evidemment les deux « histoires », celle des faits et celle des théories, sont liées. Pourquoi ? Comment ? • parce que les faits conduisent les savants à se poser des questions, à échafauder des théories. Les théories ne partent jamais de rien ! Exemple : Une théorie sur comment avoir une monnaie stable va probablement s’inspirer de ce que le théoricien connaît de l’histoire monétaire. Une théorie sur les bienfaits du libre-échange

œuvre scientifique. Ils voulaient mettre les traditions populaires allemandes connues par écrit. D’autres recueils apparaitront ensuite en Italie et en Russie par exemple. Avant Grimm, les contes populaires étaient très peu notés. Les Contes de La Fontaine sont des contes érudits par exemple. Mais les contes de Perrault au 17e siècle et de Giovanni Batista Basile sont faits pour divertir. Ils rappellent la tradition orale mais lui donnent une dimension artistique en les transformant en œuvre littéraire

.............................................................................. 80 2. Le corpus ................................................................................................................................................ 85 2.1 Rites et obédiences ........................................................................................................................... 85 2.1.1 La question du Rite d’origine ......................................................................

maigri de dix livres, et pourtant je mangeais pour trois. Et tout ça pour trois francs par semaine ! - Ah! je comprends, dit Terrier presque soulagé. J'y suis : c'est une question d'argent, une fois de plus. - Non! dit la nourrice. - Si! C'est toujours une question d'argent. Quand on frappe à cette porte, c'est toujours pour une question d'argent. Je rêve d'ouvrir un jour à quelqu'un qui viendrait me parler d'autre chose que d'argent. Quelqu'un, par exemple, qui apporterait en passant un petit quelque

dix livres, et pourtant je mangeais pour trois. Et tout ça pour trois francs par semaine ! — Ah ! je comprends, dit Terrier presque soulagé. J’y suis : c’est une question d’argent, une fois de plus. — Non ! dit la nourrice. — Si ! C’est toujours une question d’argent. Quand on frappe à cette porte, c’est toujours pour une question d’argent. Je rêve d’ouvrir un jour à quelqu’un qui viendrait me parler d’autre chose que d’argent. Quelqu’un, par exemple, qui apporterait en passant un petit quelque