Question De Corpus Sur Montaigne

étrangères). Ce sont deux matrices incluses comme une source que l’Europe ne finit pas de revisiter. La notion d’imitation : Ronsard (exemplier) Le berceau du savoir c’est la Mésopotamie, par la suite ce savoir s’est déplacé en Grèce, puis à Rome. La question est de savoir ou s’est déplacé le savoir universel ensuite ? Au XVIe : un conflit éclate entre les italiens, les français, les allemands et les anglais pour savoir à qui appartient ce savoir universel. C’est une rivalité et émulation réciproque

romans en plusieurs épisodes (roman feuilleton). Au 19ème siècle le roman s'impose comme genre littéraire principal. BIOGRAPHIE D'EMILE ZOLA Enfance : d'où lui vient cette idée de rébellion, vengeance ? Pour mieux répondre à la question posée dans l'introduction (à savoir le fait qu'Emile Zola soit un rebelle ou non), nous allons décrire les principaux évènements de sa vie. Tout d'abord, il est important de cibler quelques points dans les origines de Zola. Le père de Zola se

phénomènes. L’apport de l’histoire littéraire est à cet égard irremplaçable. Néanmoins, on se gardera d’identifier nécessairement un texte ou un auteur à un courant ou à une école. Plus précieux apparaîtront les rapprochements avec d’autres textes du même corpus ou avec des œuvres antérieures ou de la même aire, la mention d’une évolution relevant de l’histoire de la sensibilité, la prise en compte des conditions de la réception. Une appréciation esthétique modérément personnelle sera particulièrement valorisée

Yves Le Bozec propose donc de définir l’ekphrasis comme figure typologique du discours qui a recours à une figure d’expression, l’hypotypose «  qui réunit différents procédés aboutissants à l’effet d’évidence ou enargeia »3. L’évidence dont il est question pour l’ekphrasis comme l’hypotypose, c’est la clarté, la visibilité, des qualités qui permettent de toucher le lecteur, de lui communiquer une vision. Quintilien définit déjà l’hypotypose comme  «  l’image des choses, si bien représentée par la parole

décrire, dévoiler un caractère – insister, focaliser sur un caractère. * Pour critiquer (-) : dénoncer d’une manière acerbe un vice – tourner en dérision, en ridicule un défaut – ridiculiser un personnage – attaquer, rejeter, des travers – mettre en question, mettre en exergue une imperfection – s’écarter, se distancier, prendre des distances, se mettre à l’écart vis-à-vis d’un défaut. * Pour (louer) faire l’éloge (+): louer des mérites – célébrer des qualités – valoriser, apprécier, glorifier une qualité

Synthèse Français Juin 2013 Le roman au 20ème siècle 1. Essai de définition Deux conceptions du corpus littéraire. * Ségrégationniste : grandes œuvres à valeur exemplaire, étudiées à l’école. Conception limitée de la littérature. * Intégrationniste : grandes œuvres + œuvres récentes pas forcément textuelles (BD, chansons, roman policier, légende, nouvelle, fables, …). Conception bcp plus large. * littérature à 2 niveaux. Œuvres= exemples à suivre pour comprendre d’autres

sert avant tous l’Homme. L’intégrisme religieux est contre car une civilisation = une religion * Sens faible 16ème siecle : humanisme de la renaissance ERASME et MONTAIGNE issu de Socrate « connais-toi, toi-même » Il dit Homme occupe toi de l’Homme, intéresse toi a l’homme plutôt qu’aux Dieux. C’est ce que va faire Montaigne. * Sens fort : humanisme des Lumières Cette humanisme se radicalise et devient celui de Diderot ou Condorcet : le sophiste Protagoras dit que l’ « homme est la mesure

Écriture poétique et quête du sens, du Moyen âge à nos jours. ✔ La question de l'homme dans les genres de l'argumentation, du XVIème à nos jours. 2 objets spécifiques, série L. ➔ Vers un espace culturel européen : Renaissance et humanisme. ➔ Les réécritures du XVIIème siècle à nos jours. « L'étude de trois œuvres au moins et de trois groupements au moins sur une année est obligatoire » Pour chaque objet d'étude, le corpus précise que les groupements seront construits en relation soit avec

interroge surtout les présupposés, les mobiles, les modèles et les mutations de l’autobiographie, ne seront pas prises en compte. Je considérerai, sans plus de raffinements et subtils distinguos méthodologiques, que toute « peinture » (dans le sens où Montaigne écrit : « car c’est moi que je peins ») d’un écrivain par lui-même relève de l’autoportrait. Il n’y a pas d’autoportrait « en soi », pour rien. Tout exposition de soi requiert l’attention et l’approbation du lecteur, toute autobiographie est peu

Pourquoi choisir cette œuvre ? « Le premier goût que j’eus aux livres, il me vint du plaisir des fables de la Métamorphose d’Ovide. Car, environ l’âge de sept ou huit ans, je me dérobais de tout autre plaisir pour les lire » (Montaigne, Essais, I, 26). - Il s’agit d’une « bible » de la mythologie pour toute l’Europe, inépuisable répertoire d’aventures et de tableaux, montrant les dieux et leurs interventions, sur les lisières, d’une part, du monde humain, de la nature animale