Question rhétorique

ponctuée par le prêche du père Paneloux, « jésuite érudit » apparu brièvement aux côtés du concierge Michel avant sa mort, dans la première partie du texte. Comment le narrateur rapporte-t-il ici l’interprétation religieuse de la peste ? [Autres questions possibles : quelle interprétation de la peste donne Paneloux ? D’où vient la force de persuasion du prêche de Paneloux ? Quelle vision Paneloux a-t-il de la peste ? Quel dépassement de l’Absurde Paneloux défend-il ? Quel portrait du père Paneloux

réflexion/défense sur le genre romanesque, sur la notion de réalisme. Pb : Comment l’auteur, dans ce passage, propose une défense du réalisme sous la forme d’une définition paradoxale (ce qui va à l’encontre de la « doxa », l’opinion commune) ? I. La rhétorique classique/traditionnelle/académique pour convaincre a. Un texte structuré comme une dissertation - énonciation impersonnelle : l’auteur se retranche derrière la 3ème pers. comme dans une dissertation  quand même « nous » l.17 et « je » l.28 en

utilisation controversée qui a conduit à son déclin.             L’histoire de la rhétorique, qui finit par se figer en un dogmatisme qui se condamne lui-même à la répétition, est alors celle d’un renversement du pour au contre : née de l’exercice de la liberté politique dans la cité athénienne, elle devient un code des convenances et des bienséances et, sous la forme de la rhétorique panégyrique ou épidictique (rhétorique d’apparat), un exercice de virtuosité gratuite ou de basse flagornerie exécuté

Dans quelle mesure ce texte est-il représentatif de la pensée humaniste ? Dans quelle mesure ce discours joue-t-il sur la persuasion ? etc. (Selon la problématique, il faut adapter le plan de base et chercher à montrer qu’on répond bien à la question posée) Voici une proposition de plan qui fait la synthèse de nos remarques. Il faudra vous replonger dans vos notes pour compléter ce que je ne fais qu’évoquer volontairement parfois, et repérer à quelles lignes se trouvent les passages cités…)

Rhétorique et la Métaphysique Les liens entre la Métaphysique et la Poétique sont nombreux bien que dispersés. Aristote distingue ainsi dans la Métaphysique trois types de sciences : les sciences théorétiques, les sciences pratiques et les sciences poétiques. La Poétique étudie la partie poétique dans une perspective descriptive et normative. Rhétorique et Poétique Les liens entre la Poétique et la Rhétorique sont très étroits. Dans ces deux textes, Aristote se penche en effet sur les mêmes

rendre leur discours d’autant plus insolent. • Discours direct, indirect et indirect libre (v. 4) se mêlent -> vivacité des débats et des exclamations de leur conversation. • Modalités exclamatives (v. 2) et interrogatives (v. 6, 8-9) -> questions rhétoriques soulignant l’inutilité des efforts du vieillard alors que la mort est si proche. • V. 2 : première remarque des jouvenceaux formulée de manière impersonnelle -> le vieillard est écarté de la conversation. • V. 4 : même effet, produit par

l’invocation au lac du début La 1ère partie est introduit par le thème du temps qui passe : Autant qu’un poème d’amour, Le Lac est une méditation sur la fuite du temps. Comment arrêter le cours du temps ? C’est la question que se pose le poète, sous la forme d’une question rhétorique qui exprime le désespoir (v.3-4). Lamartine reprend la métaphore de la vie qui coule comme un fleuve et de l’homme comparé à un bateau. Le thème du souvenir est présenté ensuite par l’invocation au lac car le

de vos pierres ou sur l’écorce d’un de vos arbres : ce pays est aux habitants de Tahiti, qu’en penserais-tu ? ». Les Tahitiens se contentent de ce qu’ils ont et ne cherchent pas à être supérieurs aux autres ni à les réduire en esclaves. La question rhétorique du vieillard accentue le fait qu’il veut que Bougainville réfléchisse à ses actes. C’est du registre polémique, le vieillard s’indigne du fait que les Occidentaux prennent leurs terres sans leur accord. Et l’exemple donné précédemment par le

Simone de Beauvoir : Le deuxième sexe Le deuxième sexe, écrit pas Simone de Beauvoir, est un roman paru en 1949. Ce texte a été étudié lors de l’objet d’étude n°1 sur la question de l’homme dans l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. .Philosophe et féministe la plus engagée de son époque, Simone fut la compagne de Jean-Paul Sartre, également philosophe. Ce roman s’interroge sur l’infériorité de la femme dans la société ; Simone remet en cause la féminité. En effet ce texte a comme but

vient après celui de « de l'homme ». La Bruyère y reprend la question du mérite, du caractère nocif de la nature humaine, ainsi que des questions plus précises sur l’entêtement, les habitudes des hommes… Il y a des effets de redondance avec le chapitre « De l’homme » ; c’est aussi un chapitre qui propose toute une réflexion du début à la fin sur les jugements humains, le danger des apparences, sur la figure du philosophe, ainsi que la question de la sagesse qui y est également évoquée en particulier