Qui Parle Quand Je Dis Je

votre père lui−même ne prend que trop de soin de vous justifier à tout le monde ; et l'excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants pourroient autoriser des choses plus étranges. Pardonnez−moi, charmante Elise, si j'en parle ainsi devant vous. Vous savez que sur ce chapitre on n'en peut pas dire de bien. Mais enfin, si je puis, comme je l'espère, retrouver mes parents, nous n'aurons pas beaucoup de peine à nous le rendre favorable. J'en attends des nouvelles avec impatience

Sorbin veut vivre dans l’histoire et non pas dans le monde. ARTHÉNICE Je vous garantis un nom immortel. MADAME SORBIN Nous, dans vingt mille ans, nous serons encore la nouvelle du jour. ARTHÉNICE Et quand même nous ne réussirions pas, nos petites-filles réussiront. MADAME SORBIN Je vous dis que les hommes n’en reviendront jamais. Au surplus, vous qui m’exhortez, il y a ici un certain Monsieur Timagène qui court après votre cœur ; court-il encore ? Ne l’a-t-il pas pris ? Ce serait là un

illustrations de Jean- Philippe Chabot Gallimard Jeunesse, 2002 Pour Ina 3 4 1. Crastaing Kamo avait imaginé un jeu. Il s’agissait de fermer les yeux et de deviner si Crastaing, notre prof de français, était arrivé ou non. Neuf fois sur dix, quand je rouvrais les yeux, le bureau était vide. Kamo empochait un Carambar. La dixième fois, Crastaing était là. - Vous dormiez, mon garçon ? A peine avait- il refermé la porte qu'il était déjà derrière son bureau, rapide et silencieux comme une ombre

Très bien, hum ! Merci, père Pettersen ! Vieil ami. Merci. (Entre les dents.) Andouille ! (Il passe dans les bureaux ; PETTERSEN referme la porte derrière lui.) JENSEN. — C'est un employé des bureaux, ça ? PETTERSEN. — Non, on lui donne de la copie quand ça presse. Mais dans le temps, ma foi, c'était un fameux lapin, que le père Ekdal. JENSEN. — En effet, il a une certaine allure. PETTERSEN. — Je crois bien. Il a été lieutenant, imaginez-vous ! JENSEN. — Diable ! il a été lieutenant ! PETTERSEN. —

intime, la première fois que j'en ai écrit un, c'était il y a assez longtemps, j'étais encore en primaire, sa me change d'aujourd'hui avec la seconde. Quand je dis la première fois, c'est parce que je l'ai déchiqueté, et mis dans une satané poubelle. Pourquoi ? Car je savais que ma mère était tombé dessus et avait mis son nez dans la moutarde. Quand j'ai sus cela, ça piquait, Hou que oui et avec ma sœur qui partait tout le temps à la chasse aux hérissons dans ma chambre, je l'ai achevé à la manière

elle en a pas une autre de son autre enfant. Elle me dit qu’il est mort. Je lui demande quand est ce que c’était mais je vois qu’elle commence un peu à s’énerver. Cela m’a rendu triste de voir le visage de Mme B. se renfermer à cause de ma question. Je ne voulais pas l’a rendre triste ou lui rappeler de mauvais souvenir mais seulement lui parler pour qu’elle soit plus en forme. Je n’ai donc pas insisté et j’ai parlé d’autre chose. Je remarque alors qu’elle a un bleu sur sa joue gauche. Je lui demande

promis de n'pas s'en aller. Il est parti, &' tout est fini. » « Dis moi pourquoi je t'accorde toute cette importance? Dis moi pourquoi je pourrais tout te pardonner, en peu de temps? Dis moi pourquoi je t'idéalise, pourquoi je ne veux que toi? Dis moi pourquoi je ne pense qu'à toi, pourquoi j'écris tout ça, pourquoi, trop souvent, tu me manques? Dis moi pourquoi je ne supportes plus tout ça, pourquoi j'ai peur de tout perdre? Dis moi pourquoi je me souviens de tout comme si c'était hier? Pourquoi

La liste est Trop longue :p Stranger: Celui que tu regardes maintenant alors? You: Guilty Crow Stranger: Ah je connais de nom et ça fait un certain temps que je me dis qu'il faut que je regardes You: Franchement moi je l'aime bien mais bon je profite des épisodes car y en a pas bcp :/ Stranger: Oui c'est toujours frustrant quand c'est comme ça You: Surtout qui l'ai très accrochant Stranger: Je me doute ^^ You: ET tu dessine quoi ? Stranger: Des dessins sombres, étranges, avec très peu de

votre père lui-même ne prend que trop de soin de vous justifier à tout le monde, et l’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants, pourraient autoriser des choses plus étranges. Pardonnez-moi, charmante Élise, si j’en parle ainsi devant vous. Vous savez que, sur ce chapitre, on n’en peut pas dire de bien. Mais enfin, si je puis, comme je l’espère, retrouver mes parents, nous n’aurons pas beaucoup de peine à nous les rendre favorables. J’en attends des nouvelles avec impatience

de la proclamer. Hier en écrivant ces lignes j’écoutais une chanson qui disait, « je veux entendre ta voix, qu’elle soit bien claire comme tu as parlé à Samuel. Tu me parles mais je ne t’écoute pas… Tu me dis ne va pas là bas, mais j’y vais et je tombe et je me blesse et je crie et je lève le point vers toi…  et toi avec toute ta tendresse tu me dis je suis là. » Mais qu’est-ce-qui se passe lorsque nous n’entendons aucune réponse ? L’auteur de cette chanson a cité Samuel. Nous allons nous aussi