Quintal

pendant ce temps, il lui apprenait à écrire en lettres gothiques3, et Gargantua lui-même recopiait tous ses livres. En effet, l’imprimerie n’était pas encore en usage. D’ordinaire, il portait également une grosse écritoire4 pesant plus de sept mille quintaux, dont l’étui était aussi gros et grand que les larges piliers de Saint-Martin d’Ainay5, et l’encrier y pendait par de lourdes chaînes de fer ayant la capacité d’un tonneau de marchandises. Puis il lui lut Les Modes de signification6, avec les

végétales et animales dans la promotion de l’économie régionale. La céréaliculture occupe 48% de la superficie agricole utile (SAU) et assure une production de l’ordre de 4,7 millions de quintaux. Les légumineuses sont cultivées de manière extensive sur 11% de la SAU pour une production avoisinant les 460 000 quintaux. Les cultures maraîchères (surtout celle de la fraise) sont pratiquées sur 23 200 ha dans la province de Larache, disposant d’infrastructures hydro-agricoles et agroindustrielles plus

Victime d’une dépossession foncière continue et de la fermeture des pâturages forestiers, la paysannerie voyait ses troupeaux et ses récoltes diminuer inexorablement. La moyenne annuelle de sa production céréalière, qui était de 19,6 millions de quintaux entre 1901 et 1910, descendait à 16 millions entre 1921 et 1930, et à 14 millions entre 1941 et 1948. Le cheptel ovin, qui avait atteint 8 millions de têtes avant 1865, tombait à 6,3 en 1900, 5,3 entre 1921 et 1930, 4,8 entre 1941 et 1948. Durement

s'impose donc pour rentabiliser l'exploitation agricole. Le pas est franchi en 1926. Des pois sont plantés sur seize hectares - 110 000 aujourd'hui, tous légumes confondus -, et mis en boîte. Les Dutour fêtent leur première campagne : six cents quintaux dans 90 000 boîtes en trois semaines (aujourd'hui, la moyenne horaire). Avec 230 hectares en 1936, l'usine de Bergues fabrique, durant trente à quarante jours par an, 120 000 boîtes, soit 120 tonnes par an (l'équivalent de la production quotidienne

croissance global de 3,3%. Cette croissance a été portée principalement par: - la reprise enregistrée en matière d'exportation des phosphates, - la réalisation d'une bonne campagne agricole, même si elle est en recul par rapport à 2009 (75 millions de quintaux en 2010 contre 102 millions en 2009), - la poursuite du dynamisme de la demande interne soutenue par une politique d'amélioration des revenus des ménages, notamment par des mesures fiscales et le soutien des produits de première nécessité par la

Remise en question de la violenceIl n'y a plus seulement des parents, des médecins et quelques chercheurs illuminés qui dénoncent la culture de la violence et les commotions cérébrales. D'anciens joueurs de hockey, comme Stéphane Quintal, sont maintenant contre les bagarres et se demandent quelles séquelles ils garderont de leurs batailles passées. Oui, vraiment, il se passe quelque chose d'étrange...(à l’endos)Plusieurs anciennes vedettes de la LNH aussi bien que la NFL dénonce de

d’élevage sous la forme de la vaine pâture[5]. Mais il s’agit d’un système bloqué qui limite les rendements. Extrêmement variables d’une année sur l’autre, ceux-ci ne dépassent pas, en moyenne, la valeur de quatre à cinq fois la semence, soit 8 à 10 quintaux par ha. 5. Du terroir aux paysages ruraux Les trois éléments, enclos, labours, saltus, associés à des formes d’habitat, sont inégalement répartis selon les types de terroir. C’est en fonction de leur importance et de leurs

Les efforts demandés brisent les corps et les accidents ne sont pas rares. Les conditions de vie et de travail des ouvriers agricoles sont particulièrement dures: salaires médiocres, couchage dans l'étable. Les rendements restent faibles: 13 quintaux de blé par hectare en moyenne, 19 dans la Beauce, parfois seulement 4 à 5. Il s'agit plus d'une polyculture de subsistance, qui n'emploie pas d'engrais chimiques, que d'une agriculture vouée à la commercialisation. Les années 1900 sont cependant

témoigne, quant à elle, de la grande inquiétude des agriculteurs. On enregistre, à cet effet, qu'à ce jour, la campagne en cours n'a produit que 17 842 hl, avec un rendement estimé à 16 l par quintal d'olives. La campagne précédente avait connu des records en atteignant 42 466 hl avec un rendement par quintal estimé à 21 l. Selon les services agricoles, l'aspect physique des fruits de cette année caractérisé par une nette modicité laissait déjà entrevoir cette chute. Dans ses explications, un cadre

523 milliers de quintaux durant la période 1980-1989 à 847 milliers de quintaux durant la période 1990-1995, puis elle a baissé à 609 milliers de quintaux Durant la période 1996-2000. Durant la période 20012007, cette production a une nouvelle fois diminué à 397 milliers de quintaux. La production des arachides a connu une baisse entre 1980 et 1995, suivie d’une hausse entre 1996 et 2007 : 336 milliers de quintaux en moyenne durant la période 1980-1989 contre 248 milliers de quintaux en moyenne durant