Quintal

blé les diverses impuretés (morceaux de paille, grains d’avoine, d’orge ou de mais…). La quantité de déchets récupérés est estimée en moyen de 1,6% (2 736 Q) du poids du blé obtenu après nettoyage. Ces déchets sont vendus au prix de 35 DH le quintal et c’est sur la base de ce prix que ce fait l’estimation du coût des déchets, coût venant en déduction du coùt de traitement du blé. - Le second traitement : tout le blé nettoyer passe dans un atelier de « Préparation » pour que les grains de blé

cet hiver et au début de l’année va accroître considérablement le rendement agricole. Les récoltes de l’année 2009 seraient exceptionnelles, parait-il. Le ministre de l’agriculture annonçait que la production de céréales atteindrait 100 millions de quintaux. Les conséquences attendues de ces récoltes exceptionnelles sur les populations rurales sont très importantes : la population des compagnes représente 45%, l’accroissement de leurs revenus permet au paysans d’acheter des biens d’équipement et des

ainsi que la France a vu ses rendements augmenter et principalement dans les cultures de blé : Par exemple pour un hectare de culture (10000 m²) de blé : -avant 1850, les rendements étaient de 10 quintaux (une tonne) - De nos jours, grâce à l’agriculture intensive la moyenne est de 70 quintaux soit 7 tonnes. La production de blé sur un hectare a donc augmenté de 6 tonnes. 2) Les débuts de l’agriculture intensive L’agriculture intensive a permis au cours du XXème siècle

SEMOULES DE FRANCE, TENDANT A L'ANNULATION POUR EXCES DE POUVOIR, DES DECISIONS DU MINISTRE DE L'AGRICULTURE AUTORISANT EN FRANCHISE DU PRELEVEMENT PREVU PAR LE REGLEMENT N° 19 DE LA COMMUNAUTE ECONOMIQUE EUROPEENNE, L'IMPORTATION EN FRANCE DE 400 000 QUINTAUX DE SEMOULES EN PROVENANCE D'ALGERIE ENTRE LE 1ER NOVEMBRE 1963 ET LE 31 OCTOBRE 1964 ; VU LE REGLEMENT N° 19 DU CONSEIL DE LA COMMUNAUTE ECONOMIQUE EUROPEENNE EN DATE DU 4 AVRIL 1962 ; LA LOI DU 13 AVRIL 1962 ENSEMBLE L'ARTICLE 50 DE LA LOI DU 15

contrôle de Madagascar, de la Réunion et de l’Afrique du Nord. Ceci se voit dans ses importations : par exemple, celles de céréales qui dépassaient 15 millions de quintaux par an entre 1934 et 1938, tombent à 2 millions de quintaux en 1941 et sont remplacées par des exportations en direction de l’Allemagne de l’ordre de 7 millions de quintaux à partir de 1942. Ainsi le commerce extérieur de la France devient quasiment nul et le territoire est privé de certaines ressources notamment de 15% des ressources

est très difficile (la culture est souvent perdue) alors que le maïs ou le tournesol sont capables d'atteindre des rendements comparables. Dans des pays moins performants l’écart est plus faible. En France le rendement du blé biologique est de 25 quintaux contre 70 en conventionnel. Les rendements en condition contrôlée, réalisés par des scientifiques. Ces chiffres sont souvent comparés au rendement de référence et annonce des résultats 20 à 30 % inférieurs. Pour autant ces performances sont très

enjeu important en Italie, où l'alimentation populaire se compose essentiellement de pain et de pâtes. La bataille du blé ou bataille du grain aura donc pour but d'arrêter les exportations de blé, trop coûteuses (l'Italie importait 25 millions de quintaux de blé par an ce qui lui coûtait extrêmement cher). Mussolini a toujours souhaité une agriculture forte, occupant au moins 50% de la population. Il considérait le travail de la terre comme un moyen de faire l'éducation fasciste des masses. Les “vertus de

vivre les situations les plus cruelles. Cette coopérative travaille au désavantage des producteurs ". S.M. nous parle des gains faramineux que la C.A.S.S.AP. a pu réaliser : " Elle avait en stock 1.000 quintaux de semences de céréales qui nous revenaient à 100 DA le quintal. Flambée des prix : le quintal de ce type de semences a sauté à 450 DA. Il en est de même pour l'E.D.M.M.A. ". S.M. cite l'exemple du tracteur de 45 CV acheté par l'E.A.C. : " en Juin 1990 l'engin coûtait 82.000 DA, il a atteint

législation en vigueur. 2 La taxe de commercialisation, principale ressource de son budget, est appliquée sur les céréales et légumineuses, dont les taux en vigueur sont comme suit : Blé tendre et blé dur 1.90DH au quintal Autres céréales 0.80 DH au quintal Légumineuses 1.00 DH au quintal 10  Organe de décision L’O.N.I.C.L. est géré par un conseil d’administration composé pour moitié des représentants de l’état, du Directeur de la Caisse National de Crédit Agricole et de l’autre moitié des représentants

des terres dédiées à cette spéculation. Le département de l’agriculture a mis en place le dispositif permettent de mettre a disposition des agriculteurs une quantité record de 1.2 million de quintaux de semences de blé, subventionnées a hauteur de 130 dh par quintal pour le blé tendre et de 115 dh par quintal pour l’orge et le blé dur. La stratégie agricole nationale accorde également un intérêt particulier à la vocation exportatrice du pays en matière d’agrumes et primeurs. le plan vert a fixé un