Quinte

blanche. *  Art, outil de parade visant à impressionner son adversaire C.Quint La venue d’artistes les plus compétents a aussi un autre enjeu pour François Ier. En effet comme l’indique la ligne 27 «  l’an 1540, lorsque l’empereur Charles Quint vint en France, le Rosso et le Primatice de Bologne furent chargés de la conduite de toutes les décorations ». Ils décorent principalement la galerie. La Galerie de François Ier n’est en fait qu’un passage d’une pièce à une autre construite entre 1523

il existe une opposition politique indiquée par la présence de "seigneurs républicains". De plus, la mention de Roberto Corsini, "provéditeur de la forteresse" et celle d’ "un officier allemand" rappelle une situation historique précise : Charles Quint a imposé des troupes étrangères à Alexandre pour protéger son autorité. L’importance de l’art à Florence est suggérée par le personnage Tebaldeo "peintre". On remarque aussi de nombreux personnages ayant un lien de parenté avec Lorenzo, on peut donc

théologien Juan Ginés de Sepúlveda en deux séances d'un mois chacune (l'une en 1550 et l'autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid. Il réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu'elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience [1]. La question était de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser

| Henry VIII roi d’Angleterre | | Erasme : Eloge de la folie | De Vinci au service de Louis XII.Michel-Ange commence la chapelle Sixtine | 1514 | Mort de Louis XII | Traduction par De la Forge des Triomphes de Pétrarque | | | 1516 | Charles Quint roi d’Espagne | Erasme : Institutio Principis Christiani | Arioste : Orlando furiosoMachiavel : Le Prince (publication en 1532)Thomas More : Utopia | | 1517 | Publication des 95 thèses de Luther : début de la Réforme | | | | 1521 | | | Luther

convocation du concile, alors que plus personne n'y croyait. Il s'ouvrit finalement le 13 décembre 1545 dans la ville de Trente (territoire à la fois italien et impérial) après la signature de la paix de Crépy-en-Laonnois entre l'empereur Charles Quint et François 1er. Une déception pourtant : à son ouverture, le concile ne comptait que 29 évêques et 3 supérieurs d'ordres ; serait-ce l'échec ? Beaucoup le pensaient. Il s'agira en fait d'un très grand concile, dont l'oeuvre sera considérable. Il

énormément sur sa carrière, qui connaît alors une « crise maniériste », marquée par des compositions plus hardies et un coloris aux forts effets de contraste. En 1548 il se rend à Augsbourg où se tient la Diète du Saint-Empire, présidée par Charles Quint, occasion pour lui de peindre de nombreux portraits de notables et de l'empereur lui-même. Puis il commence à travailler à sa série de Poésie pour le roi Philippe II. Ces peintures représentent des nus féminins mythologiques, telles Danaé, Vénus et

tonalités de transition (ré mineur et do mineur). Bach fait faire entendre une série d’accord en do majeur où on remarquera une similitude avec la partie en sol. En effet, les mesures 8-11 sont identiques aux mesures 16-19, avec une transposition à la quinte inférieure, puisqu’on passe de sol majeur à do (on le remarque plus facilement sur l’analyse harmonique car les quatre accords se chiffrent à l’identique, vu qu’ils ont la même fonction et le même état). Le compositeur restera ensuite au ton principal

essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda entre 1550 et 1551 au collège San Gregorio de Valladolid. Il réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu'elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience 1. La question était de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser

de Constance, avait été arrêté et condamné au bûcher pour crime d'hérésie. Aussi, Luther, sommé de venir à Worms se justifier devant la Diète d'Empire, bénéficie-t-il d'un sauf-conduit impérial. En dépit des pressions exercées à son égard, Charles Quint (1519-1556) laisse le rebelle, mis au ban de l'Empire, quitter la ville. Dorénavant, les disputes peuvent servir à une cité ou à un prince aussi bien à légitimer le choix de la Réforme, à élaborer une concorde religieuse ou, au contraire, à affirmer

romaine, affirmant que l'Ecriture est la seule source de la Foi. Les écrits de Luther rencontrent un grand succès en Allemagne, entraînant l'adhésion enthousiaste de clercs, de bourgeois, d'intellectuels ou de princes. Convoqué par l'empereur Charles Quint en 1521 devant la diète de Worms (assemblée politique allemande), Luther y réitère ses principes, refusant ainsi de se rétracter. Ayant définitivement rompu avec l'Eglise romaine, il trouve une protection chez le duc Frédéric de Saxe et se réfugie