Quirites

Les conflits sociaux qui opposent les gentes et la plèbe aboutissent à l’égalité politique, religieuse et sociale. Les plébéiens obtiennent peu à peu la faculté d’utiliser le même droit privé que les patriciens, devenant comme eux des citoyens (quirites/cives) : en même temps, ce droit privé tend à rompre avec la solidarité clanique. L’ancien droit romain, comme tout droit primitif, est un droit très formaliste, et essentiellement coutumier (mos majorum, consuetudo). Il est le privilège des pontifes

elle traite de droit prié, de droit pénal et les délits publics contre l’État. Il n’y avait pas de droitisteministratif, commercial… Ces lois étaient invoquées au début de l’empire. Elle définisse le juste « quiritiun » c’est-à-dire le droit des quirites (ce sont les plus romains). Les 1er romains tenait la lance pour surveiller romain il était donc « quiritus » ce qui signifie la pointe. S’ajoutent au fils du temps les lois « leges » ce sont les lois votées par les comices. On réuni les assemblée

et chaque tribut a ces propres rythmes. - Les RAMMES - Les LUCERES - Les TITIES Toutes ces tributs se divise en des GENS ce sont des grandes familles aristocratiques en tout il y en a 50. Et le rassemblement de ces 50 familles s’appelle les QUIRITES. C’est tributs sont constituer de famille non aristocratique appeler la PLEBE. Chaque GENS réuni tous le membre d’une même famille qui par les Zones descende d’un ancêtre commun, c’est ce que l’on appelle une famille AGNATIQUE c’est homme sont

pour se faire reconnaître son droit. Ex : S’il s’agit d’un propriétaire à qui on aurait volé son esclave, et qui voudrait donc le reprendre, il doit amener le voleur devant le juge et prononcer « Je dis que cet esclave est mien en vertu du droit des Quirites ». De même, pour intenter un procès, le plaideur doit disposer d’une action dont la régularité est contrôlée par les pouvoirs publics. Section 3 : La loi à Rome, la lex rogata. C’est une loi dont le vote est demandé. Demandé en général par

La conception de la liberté n’est pas la même. La conception antique de la liberté n’est pas la même. Elle n’est pas individualiste contrairement à la notre. Dans l’antiquité, il y a deux sens du mot liberté : libertas d’abord désigne la condition quiriter, c'est-à-dire la condition du citoyen par opposition à la condition de l’esclave. Dans l’antiquité, la liberté du citoyen est conçue comme liée à la liberté de la cité. Le citoyen grec ou romain considère sa vie comme liée à la vie de la cité.

on été détruites. Cette façon de voir l’histoire a été dominante jusqu’aux années 70 et aujourd’hui on en est revenu. - Les curies : Le mot curie viendrait peut-être de cum et vir qui signifierait une réunion d’hommes. Peut-être apparenté aux quirites qui désigne les romains. Une curie serait une unité militaire de 100 hommes. Il y a avait trente curies dans la société romaine primitive. 3ème observation : la royauté romaine archaïque Cette période est celle de la royauté primitive (pour

procès romain en 2 phases : - Devant le magistrat (in jure) : il faut que les parties soit présentes en personne. Le demandeur convoque son adversaire devant le magistrat. Ils doivent affirmer leurs prétentions, leurs revendications. Le droit des quirites (citoyens romains). Ce n’est pas le magistrat qui juge, il constate qu’il y a un débat, il transmet ce procès à un juge qu’il nomme. - Devant le juge : nommé par le magistrat. Il juge seul le procès, il doit apprécier les faits, les preuves et prononcer

dehors des frontières était destiné à remodeler la carte sociale de l’Europe afin de favoriser l’émergence de nouvelles élites sociales = politique d’expansionnisme juridique. Comparaison avec les autres empires : Le droit romain, le droit des quirites n’était que le droit des citoyens romains. Les autres peuples vaincus gardaient leur droit et leurs coutumes. Seul est imposé le culte à l’empereur et les règles publiques qui concernent l’ordre et le droit pénal. En 212, la citoyenneté romaine est

chose . Il faut que les 2 partis et la chose soient présents devant le magistrat. Les partis devant le consul vont devoir porter des paroles. Pour celui revendiquant son droit de propriété : " J'affirme que cette chose est à moi en vertu du droit quirite ". Pendant qu'il prononce ces paroles, il pose sa main sur l'esclave pour montrer que c'est sa chose et son adversaire fait de même. Le consul va vérifier que toutes les conditions de la loi des XII Tables y soient : conditions de forme et de fond

daiis 1;i foriiiatioii priiiiitive de l’accord ; c’est-A-dire que la fondnmeittale conserve toujours son noiii de Foiidanieiitale lors inêiiie que, p a r sa transposition à l’aigu, elle se trouve au-dessus des autres notes de l’accord ; la tierce, la quirite, etc., conservent aussi leur dénoiiiiiiation de tierce, de quinte, etc., à qiielqiie ciistaiice qu’on les place, soit au-dessus, soit au-dessous de la fondainentale, et l’accord lui-mêiiie est toujours désigné par le nom de sa fondainentale. . EXEMPLE