Rabelais Et Les Excès

sur celui de réalité, Jarry a vécu comme il lui plaisait avec ses trois attributs : la bicyclette, le revolver et l’absinthe. Il leur sacrifiera la respectabilité et le confort. Dans une petite baraque proche d’une rivière, à côté d’un lit-divan, Rabelais composait l’essentiel de sa bibliothèque. L’humour lui a permis d’accéder à une liberté supérieure. « Jarry jouant Ubu, non plus sur scène mais à la ville, tend ainsi un terrible miroir aux imbéciles, il leur montre le monstre qu’ils sont. Il dit

correspond à la génération de François Ier qui correspond aussi à un de ses poètes courtisans : Clément Marot. Génération qui se situe dans un rapport de prolongement du Moyen Age où Clément Marot à ses débuts se rattache encore aux grands rhétoriqueurs. Rabelais illustre cette phase dans le domaine de la prose. 1550 – 1610 : A partir de 1550 il y a un rejet de la littérature antérieure, la volonté de rompre avec la tradition. Deux grandes phases avec la rupture dans la deuxième période. Poètes de la Pléiade

littéraire, artistique et scientifique qui apparaît dès le XVème en Italie et s'épanouit en France au XVIème, sous l'influence de la culture antique. La Renaissance connaît donc un prodigieux foisonnement littéraire, véritable hymne à la vie (Marot, Rabelais, La Pléiade). L'HUMANISME C’est une doctrine qui a pour objet le développement des qualités de l’homme par les livres (travail intellectuel) et par le sport (développement physique). Les Humanistes croient au progrès de l’homme. Le modèle culturel

sera Leconte de Lisle; les principaux poètes : Gautier, Théodore de Banville, Sully Prudhomme (pendant un temps), Coppée, Heredia, Baudelaire (qui dépasse l'école parnassienne et annonce le Symbolisme).   III- La doctrine:   Réaction contre les excès lyriques du romantisme : la poésie sera objective et non plus personnelle; impassible et non plus passionnée : « Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière... » (Leconte de Lisle)   « Le Poète devrait voir

différents et anonymes mais reprenant tjs les mêmes pers. * Les fabliaux : histoires courtes et satiriques caractérisées par leur grossièreté. 2) Le 16ème siècle Siècle de poésies mais certains auteurs histoire du roman français * Rabelais --> Garguantua, Pantagruel * Montaigne --> Les Essais * Marguerite de Navarre --> l’Heptaméron, ensemble de nouvelles. 3) Le 17ème siècle Le roman devient une forme majeure de la fiction. Roman = récit d’aventures amoureuses

par nature mauvaises, parce qu’elles  qui diminuent notre  » puissance d’agir  » tendent, en outre  à rendre les hommes ombrageux et inconséquents. Les passions joyeuses au contraire rapprochent les hommes. Elles ne sont dangereuses que dans leurs excès. Sens moderne : pour les romantiques, à partir de Rousseau, la passion est une structure durable de la conscience qui peut se sublimer en sentiment, en vertu. c) Chez Hegel, les passions ne sont pas les ennemies de la raison mais plutôt un matériau

sens large, comme la volonté de rendre par les mots la réalité elle-même, à partir d’une observation scrupuleuse des faits. Cet ancrage de la fiction dans un terreau réel peut se déceler dans de nombreuses œuvres au fil du temps, comme celles de Rabelais, de Boileau, de Diderot, de Stendhal ou encore de Balzac, le risque étant que son sens se dilue dans sa variété même. Au XIXe siècle, le terme est d’abord appliqué de façon péjorative par la critique à la peinture de Gustave Courbet. Passé à la littérature

Indes, en 1497, en contournant le Cap de Bonne-Espérance. C’est enfin le temps de la renaissance des arts : sous la férule des papes mécènes, le génie de Raphaël, de Michel-Ange et de Botticelli peut s’épanouir, la lettre de Shakespeare et de Rabelais peut jaillir. Protégée par François 1er, Léonard de Vinci laisse éclater sa science, celle de Copernic va révolutionner la façon de voir le cosmos. Dans son Eloge de la folie, Érasme montre déjà la voie d’un humanisme critique vis-à-vis des Seigneurs

comme un art exclusivement élevé et sérieux. Dès lors, il n’était même pas envisageable qu’elle puisse faire rire, et a fortiori , rire aux éclats. J-P. Dubost[footnoteRef:1], un poète français, reprend d’ailleurs un hapax de Rabelais, allant jusqu’à dire que la poésie française est agelaste, c’est-à-dire qu’elle ne rit jamais, toute pleine de suffisance qu’elle est. Il peine d’ailleurs à nommer des poètes qui parviendraient à dessiner davantage qu’un sourire sur les lèvres de

Indes, en 1497, en contournant le Cap de Bonne-Espérance. C’est enfin le temps de la renaissance des arts : sous la férule des papes mécènes, le génie de Raphaël, de Michel-Ange et de Botticelli peut s’épanouir, la lettre de Shakespeare et de Rabelais peut jaillir. Protégée par François 1er, Léonard de Vinci laisse éclater sa science, celle de Copernic va révolutionner la façon de voir le cosmos. Dans son Eloge de la folie, Érasme montre déjà la voie d’un humanisme critique vis-à-vis des Seigneurs