Raconter Un Reve En Espagnol

L'Écriture ou la vie, de Jorge Semprún L'Écriture ou la Vie est un livre de l'écrivain espagnol Jorge Semprún, publié en 1994. Il mêle un récit autobiographique sur la vie de l'auteur après sa sortie d'un camp de concentration, et une réflexion sur la difficulté de raconter directement l'expérience de sa déportation. L'auteur y raconte ses souvenir dans l'ordre de leur apparition dans sa tête. On retrouve chez Jorge Semprún ces même interrogations, ces même souffrances et difficultés à évoquer

Palo Alto "Et toi, où tu en es? -Où j'en suis sur quel plan? professionnel, affectif, artistique? -Tous. -Tu veux savoir? Affectivement, c'est pas la joie; à toi je vais pas raconter de salades: depuis qu'Evelyne est partie, j'ai couché trois fois, sur presque un an…je saurais même plus te dire comment elles s'appelaient ni quel visage elles avaient… jamais revues… Professionnellement, bon, tu connais le naufrage de l'Éducation Nationale et tu connais même les noms des naufrageurs… Tiens

La marche à l'étoile : Le narrateur raconte l'histoire de Thomas qu'il a connu dans son enfance. Thomas est le seul fils d'une famille allemande comptant 7 enfants. Son père est armateur et compte lui passer son affaire. Mais celui-ci est passionné par les livres et surtout la France. Quand il apprend que son cousin Latzi s'est suicidé (par honte d'être juif), il décide de réaliser son rêve : partir en France. Il économise et part à pied jusqu'à son rêve. Le premier aubergiste qu'il croise (un

La vie est un songe (titre original : La vida es sueño) est une pièce de théâtre espagnole métaphysique, écrite en 1635 par Pedro Calderón de la Barca. Cette pièce, qui s'inscrit dans le théâtre baroque espagnol, propose une réflexion sur l'illusion et la réalité, le jeu et le songe. La pièce est découpée en trois journées ; deux intrigues s'entremêlent. L'action se déroule dans une Pologne fictive, proche d'une forteresse, sans aucun souci de vraisemblance. Résumé de l'œuvre 1er jour Rosaure

adéquation avec le but ultime que nous aimerions tous atteindre, façonner notre monde matériel au gré de nos désirs. Je vous raconte d’abord l’histoire puis nous l’étudions ensuite. Elle se nomme : Le Sultan qui avait perdu toutes ces dents : Un jour, le sultan rêva qu’il avait perdu toutes ses dents. Il se réveilla, effrayé, et fit venir un homme sage pour interpréter son rêve. « Quel malheur ! dit le sage. Chaque dent perdue représente la perte d’un proche parent de Votre Majesté. - Insolent

nous voudrions rejeter. L’équivalence entre la vie et le rêve souvent répétée dans l’Ancien Testament (Job, David, Isaie..). « ne mento mori » (souvient toi que tu est mortel), « pulvises » (tu es poussière) Les habitudes des dramaturges espagnols sont tres contraire aux habitudes françaises d’un Corneille ou d’un Racine. Pedro Calderon de la Barca fait usage dans, la Vida es sueno, de deux metres fondamentaux ; l’octosyllabe (mètre espagnol) et l’hendecasyllabe (d’origine italienne). Pedro Calderòn

Don Quichotte De Cervantès I) L’auteur et l’œuvre Cervantès (1547,1616) est le plus grand des écrivains de langue espagnole de tous les temps. Cervantès a eu une vie mouvementée. Il a combattu à Lépante où il a perdu un bras. Il a été 5 ans prisonnier de pirates à la solde des turcs. Il est ensuite devenu commissaire aux vivres de l’invincible Armada. Il a été excommunié, emprisonné avant de devenir un familier de la cour de Philippe III. Cette vie lui a inspiré Don Quichotte, dont la première

Les conquérants Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Fatigués de porter leurs misères hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. Ils allaient conquérir le fabuleux métal Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines, Et les vents alizés inclinaient leurs antennes Aux bords mystérieux du monde Occidental. Chaque soir, espérant des lendemains épiques, L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques Enchantait leur sommeil

celui du réquisitoire contre le racisme, pour lequel nous avons pris l’exemple de Lily, une chanson de Pierre Perret racontant l’histoire d’une jeune immigrée somalienne, et celui du discours de Martin Luther King I have a dream (en français « j’ai un rêve »), prononcé le 28 août 1963 à Washington DC, qui parle du racisme envers la population Noire des Etats-Unis d’Amérique. La deuxième cause choisie est celle de la paix, avec pour l’illustrer les Essais de Montaigne, et plus particulièrement l’extrait

profond que l'horreur de la mort. Le visage de la guerre, par Salvador Dali, à partir de 1940 a été peint pour dépeindre une époque où les Espagnols, y compris Salvador Dali, ont été des moments difficiles à la suite d'une dure depuis trois ans, la Seconde Guerre civile espagnole (Visage Dali de la guerre). La guerre civile espagnole a affecté les Espagnols sévèrement en raison de leur objectif de devenir une République, ce qui a été écrasé et a quitté l'Espagne se transformer en une dictature répressive