Radeau

deux (crépuscule et feu). Quand a la touche elle est impulsive et large c’est l’expression d’une vision personnelle, la lumière est dramatisé ce qui donne un effet de clair-obscur, ainsi qu’une audace des coloris avec des couleurs chaudes. § Le radeau de la méduse 1818 (Géricault) 491x716cm : Cette peinture de l’évocation d’une tragédie moderne quand la frégate de la méduse qui vogue au large des cotes sénégalienne, fait naufrage et ou sel 15 personnes vont survivre. C’est une composition classique

une forme de nouvelle beauté. Les romantiques l’ont d’ailleurs bien prouvé, comme Baudelaire avec le Désespoir de la vieille, ou une Charogne. La nature n’est plus évoquée seulement positivement, elle est terrifiante, négative, dangereuse, laide. Le Radeau de la méduse de Géricault n’est pas une ode à la vie, ni un éloge de la nature. Mais ce tableau renvoie pourtant une grande beauté. La beauté n’est alors plus une notion positive. Les arts visuels se concentrent d’ailleurs maintenant plus sur l’horreur

randonnée en montagne, né avec Rousseau, qui apprécie l’altitude car il en tire un sentiment de supériorité et d’isolement. La présence d’une étendue d’eau est aussi caractéristique du genre romantique, on retrouve notamment l’océan déchaîné dans le Radeau de la méduse de Géricault ou l’Albatros de Baudelaire. Cet élément naturel est propice aux réflexions métaphysiques. La nuit, les étoiles et la lune, particulièrement le crépuscule et le clair de lune, sont très répandus, jusqu’à devenir des clichés

soldat mort tenant l'épée brisée est placé à la base du triangle. La colombe, la bougie et l'œil ( ?) sont placés dans la partie supérieure. Picasso joue sur des schémas de composition traditionnels observés par exemple chez Géricault : Géricault Ŕ Le radeau de la Méduse Ŕ 1818 3°) Ŕ Selon les codes du cubisme qui n’est pas un mouvement d’imitation de la réalité, diverses lignes de fuite et des raccourcis de perspective troublent l’espace de l’œuvre d’une façon conséquente. La scène ne se déroule ni

Emmanuel-Pierre Gaillard, historien et archéologue, né en 1779 Charles-Louis Havas, publiciste, né le 5 juillet 1783 Pierre Louis Dulong, physicien et chimiste, né en 1785 François-Antoine Harel, écrivain, né en 1789 Théodore Géricault, peintre (Le Radeau de la Méduse, né le 26 septembre 1791 Esprit Blanche, aliéniste, né le 15 mai 1796 Ulric Guttinguer, poète et romancier, né le 31 janvier 1787 Armand Carrel, journaliste, né le 8 mai 1800 Théodore-Éloi Lebreton, poète et biographe, né le 1er décembre

d’habitants 9,4 (INED) 1920 1865 1975 6,8 10 8 6 4 2 0 1700 1750 1800 1850 1900 1950 2000 2050 2100 2150 Juin 2009 Hypothèses d’évolutions après 2007 : un taux de fécondité égal à 2,07 (en 2150, avec un taux de 1,55 : 3 Ghab ; de 2,55 : 25 Ghab) Le Radeau de la Méduse – Théodore GERICAULT ( 1791 – 1856) Académie des Sciences – Michel COMBARNOUS – 6 octobre 2009 Académie des Sciences – Michel COMBARNOUS – 6 octobre 2009 Académie des Sciences – Michel COMBARNOUS – 6 octobre 2009 Claude

referait au cadavre du Christ tout comme le Christ mort de Mantegna en 1480. Au XVIIeme siècle Rembrandt peignait l’anatomie des cadavres. Le romantisme a également beaucoup travaillé sur la représentation réaliste des cadavres, Géricault avec le radeau de la méduse en 1818 ou encore Delacroix la mort de sardanapale en 1827. Andrea Mantegna, le Christ mort, 1480 6 les contraintes de la vie sociale. Ils communiquent sur les tabous liés à la société en parlant de nos propres peurs en déjouant les

à dire sans génie ? Gautier échappe à toutes les classifications réductrices, il n'en est que plus représentatif des contradictions romantiques. GÉRICAULT (Théodore, 1791-1824). Il passe comme un météore dans les premières années du Romantisme; le Radeau de la Méduse, exposé en 1819, crée un choc qui retentit sur tout un versant de l'art romantique, la fascination pour la laideur, la férocité, l'horreur, la mort. GOETHE (Johann Wolfgang, 1749-1832). Malgré une rupture précoce avec le mouvement romantique

n’avait jamais lu ce grimoire ». - Ils sont imperméables à l’art, à la beauté des œuvres : « c’était très vilain », « ce n’était rien ces machines ». Les tableaux deviennent des images. Ils commentent sans approfondir leurs impressions : ils disent du Radeau de la méduse que « c’était tapé ! ». Ils passent très vite devant un bric-à-brac d’œuvres qu’ils regardent à peine. L’abondance des pluriels montre qu’ils passent trop vite devant et qu’ils baissent les bras. - Ils sont impressionnés et respectueux

Aix-En-Provence Cedex 1 Tél. 04.42.17.28.62 – 04.91.13.74.74 – Fax. 04.91.55.61.41 « Il n’y a pas de bon vent pour qui ne connaît pas son port. » Sénèque —————————— En couverture : Le Radeau de la Méduse, 1819 ; Théodore Géricault (1791-1824) ; Musée du Louvre, Paris PLAN SOMMAIRE Page Plan sommaire 2 Résumé 3 Abstract 4 Introduction 5 Chapitre 1 – Champ d’application