Rafle du Vélodrome d'Hiver

réfléchir à leur bien-fondé, toujours les remettre en question et cela pour pouvoir lorsqu’une loi inhumaine est votée, savoir s’y opposer. Si les français sous le régime de Vichy s’étaient imposés une telle rigueur peut être aurait on évité la rafle du vélodrome d’hiver. Car on peut espérer que les policier se seraient rendus compte de la barbarie de leur acte et se seraient insurgés contre l’antisémitisme de la France. Dès lors on comprend mieux le devoir de cet exercice d’une remise en question des lois

victimes de ces violences. Le document soumis à notre étude est un extrait de l'Allocution du président de la République Française Jaques Chirac, prononcé le 16 juillet 1995 lors des cérémonies commémorant le 53ème anniversaire de la grande rafle du Vel d'Hiv des 16 et 17 juillet 1942. Jacques Chira est homme politique de droite fondateur du mouvement RPR, est le cinquième président de la Vème République. Il fut à deux reprises Président et Premier ministre. Par ce discours, et pour la première fois

exclue de la communauté nationale ( octobre 1940 ). LA COLLABORATION Elle commence en octobre 1940 par l'entrevue Pétain / Hitler à Montoire. L'État Français collabore de différents manières. => Il participe à la déportation des juifs ( Rafle du Vélodrome d'hiver → juillet 1942 ) => Il met en place le STO ( def p 106 ) => À partir de 1943, création de la Milice ( def p 106) VIVRE SOUS L'OCCUPATION Voir p 108 – 109 IV) la résistance Charles de Gaulle ( 1890 – 1970 ) est né a Lille. Officier de

France concernant cette période tragique. En effet, le gouvernement de Vichy a grandement facilité les déportations vers les camps d’extermination, il a ce qu’on appelle « collaboré » avec le gouvernement nazi. L’évènement appelé « la rafle du vélodrome d’hiver » survenu les 16 et 17 juillet 1942 illustre parfaitement cette affirmation, 4500 policiers ont procédé à l’arrestation de 13 152 juifs d’origine étrangère qui seront ensuite déportés. Face à ce drame, l’attitude des français non juifs

puis supprimé par Giscard en 1974, au nom de la réconciliation puis rétabli en 1981 par Mitterrand. Il existe d’autres journées de commémoration pour la seconde GM mais qui n’ont pas du tout le même sens. Par exemple, le 16 juillet 1942 la rafle du Vélodrome d’hiver, devenue en 1995 une journée nationale de la mémoire des crimes racistes de l’état français et d’hommage aux justes de France. «Ce qui est tristement mémorable ne peut être facilement commémorable » Il y a des mémoires extrêmement concurrentes

guerre atroce. Le souvenir de Buchenwald l’emporte sur celui d’Auschwitz.
 Les témoignages des Juifs, nombreux dans les toutes premières années de l’après-guerre mais difficilement reçus par la société, se tarissent ensuite à tel point n 1953, le vélodrome d’hiver est détruit dans l’indifférence et l’oubli.
 Le film Nuit et Brouillard (1956), d’Alain Resnais et Jean Cayrol, qui concerne le système concentrationnaire dans son ensemble et présente une vision univoque du camp et du déporté, apparaît révélateur

1961, en 2001 par Bertrand Delanoë _ Mémorial à la mémoire des soldats Français mort en Tunisie, Maroc et Algérie sur lequel on trouve aussi les noms des soldats Harkis. _ Monument à la mémoire des victimes de la rafle du Vélodrome d'Hiver inauguré en 1994 par François MITTERRAND, quai de Grenelle . _ Monument à la mémoire des victimes civiles et militaires tombées en Afrique du Nord, inauguré en 1996 à Paris par Jacques CHIRAC, mais qui n'honorait pas les supplétifs

Monsieur Klein. Séquence à analyser : la saisie de l’appartement de Monsieur Klein. 1h21min/ 1h25. Cette séquence arrive juste après celle du récit secondaire ou l’on voit la police française réaliser un entrainement en vu de la rafle du vélodrome d’hiver. La séquence à étudier nous confirme que Robert Klein n’a toujours pas pu prouver les origines d’une de ses grandes mères et se voit ainsi saisir tous les objets de valeurs de son appartement, sa voiture, ses papiers d’identité. De plus

et devient même légal, la "milice" est créée. Avec la collaboration, Pétain, tente d'alléger les conditions d'occupation. Mais cette collaboration va devenir une soumission exagérée : les Français expatrient les enfants juifs lors de la Rafle du Vélodrome d'Hiver, ce qui n'a jamais été demandé par les autorités Nazies. De Gaulle refuse l'Armistice et lance, le 18 Juin 1940, un appel a continuer le combat. Il a le soutient de Wilson Churchill qui le reconnait comme "chef des Français libres" et

non occupée. Pétain va donner son accord à la déportation des juifs apatrides (non reconnus comme des juifs français). La police parisienne disposait d’un fichier de 150 000 noms de juifs qu’il va mettre à disposition. 16 juillet 42 : rafle du vélodrome d’hiver. Stockage de 12 000 juifs, dont plus de 4000 enfants. Ces juifs vont être envoyés dans des camps. Ils vont être envoyés en Allemagne et a Auschwitz, je juillet Aujourd’hui : Associations juives relèvent chaque année plusieurs actes