Rainer Maria Rilke

chair humaine pour qu’elle vive, il faut à l’Homme une raison de vivre ». Objet=> quelque chose qui ne peut pas se définir lui-même Sujet=> Etre qui peut se définir lui-même. Auteur de lui-même Déréliction=> abandon, non- sens Thèse de Rainer- Maria Rilke=> Quelle attitude adopter à l’égard de nos questions ? Mieux vaut vivre sans réponses plutôt que d’en trouver sans notre propre réflexion. Il faut se faire confiance, la vie nous apportera sûrement des réponses. Les q° sont moteurs de notre

Les avatars du mythe d'Orphée dans les oeuvres au programme (La princesse blanche et Les cahiers de Malte Laurids Brigge) de Rainer Maria Rilke. La princesse blanche [PB] (1898/1904) et Les Cahiers de Malte Laurids Brigge [CMLB] (1904/1910) font partie d’un tournant dans l’œuvre de Rilke puisque ce sont deux œuvres qui sont postérieures à sa rencontre avec Lou Andreas-Salomé (mariée, mais restée vierge) puis à son mariage avec Clara Westhoff (peu avant la 2e version de la PB), à son départ de

La vie « normale », qui n’est pas destinée à la création, et ne remet pas en cause les décisions des instances supérieures mais respecte des règles et des normes latentes, et rejette ceux qui ne les respectent pas : voilà les « adultes » que Rainer Maria Rilke mentionne dans le même esprit à son ami M. Kappus, jeune poète, dans une lettre du 23 décembre 1903 : « [...] les adultes allaient et venaient, pris dans des affaires qui leur semblaient importantes et considérables, les grandes personnes avaient

sagesse sans passivité ? Quel amour sans passivité ? La passivité n’est pas l’inaction ou la paresse, c’est se laisser porter par le courant. Les contraires de la douceur La douceur c’est le contraire du ‘’mâle prétentieux et impatient’’, disait Rilke, le contraire de la rigidité, de la précipitation, de la force butée ou obstinée. L’humanité n’invente pas la douceur, elle la cultive, elle s’en nourrit et c’est ce qui rend l’humanité plus humaine. C’est le refus de faire souffrir, de détruire

sculpture. | 1857 | 17 ans | Il quitte "la Petite École" et tente d'entrer à l'école des Beaux-Arts. Il échoue par trois fois. | 1858 | 18 ans | Rodin travaille chez plusieurs décorateurs et ornemanistes. | 1862 | 22 ans | Mort de sa soeur Maria. Frappé par ce décès, Rodin entre chez les Pères du Très-Saint-Sacrement jusqu'en 1863. | 1864 | 24 ans | Début de la collaboration avec Carrier-Belleuse. Il rencontre Rose Beuret, âgée de 20 ans.Naissance de Camille Claudel. | 1866 | 26 ans

d'enfanter le texte. La poésie est « en avant de toute chose », ce qui signifie qu'elle est par essence incomplète, de même que tout travail artistique. La musicalité recherchée par le poète est donc plus qu'un jeu formel, elle est une exploration. Rainer Maria Rilke reprend donc le mythe orphique pour en faire dans ses Sonnets à Orphée une définition de sa recherche.

sur une page, la majorité de l’espace est occupé par du vide, vide qu’on interprète en musique par le silence. Or, le silence est considéré comme une musique à part entière par les musiciens : on retrouve une allusion au poète mythologique. Maria Rainer Rilke, poète orphique comme Apollinaire, écrit d’ailleurs dans ses Sonnets à Orphée : « Et tout se tut. Mais ce silence était lui-même un renouveau : signes, métamorphose. » Le poème tout entier est donc sémantiquement une réécriture du mythe d’Orphée

de la Seine Un médecin légiste de la fin du XIXe siècle aurait trouvé le visage énigmatique d’une jeune noyée si beau, qu’il aurait demandé à un mouleur d’en faire un masque mortuaire. « L’inconnue de la Seine » fascine le poète allemand Rainer Maria Rilke en 1902 et devient par la suite un phénomène photographique et littéraire, fascinant par exemple Louis-Ferdinand Céline et Louis Aragon par son sourire mystérieux. Crédit : Private Collection/Bridgeman. Au XVIIIe siècle, la poésie est un

en Allemagne. Son père, Peter Franz Remark, est relieur et sa mère Anna Maria (née Stallknecht). Il se fait appeler Erich Maria Remarque dès 1924, le changement de prénom, Maria, datant de novembre 1922. Ce changement de prénom est un hommage à sa mère bien que sa belle-mère porte ce même prénom et prenne cet hommage pour elle. Il aurait cependant avoué à d'anciens amis de collège que c'était un hommage à Rainer Maria Rilke. À la fin de ses années de Volksschule (école obligatoire) (1904-1912),

s) Comment encore reconnaître Comment encore reconnaître  ce que fut la douce vie ?  En contemplant peut-être  dans ma paume l'imagerie de ces lignes et de ces rides  que l'on entretient  en fermant sur le vide  cette main de rien. Rainer Maria Rilke (20e s) La fourmi Une fourmi de dix huit mètres  Avec un chapeau sur la tête  Ca n'existe pas ! Ca n'existe pas ! Une fourmi traînant un char  Plein de pingouins et de canards  Ca n'existe pas ! Ca n'existe pas ! Une fourmi parlant français