Raisonnement

puis, dans une seconde partie nous traiterons des genres qui s’y rattachent et enfin nous nous intéresserons à leur portée sur l’Homme et la société. Nous allons commencer par définir la notion d’argumentation, puis planter les différents raisonnements, et, dans un deuxième temps, distinguer les différentes actions argumentatives. Qu’est ce qu’argumenter ? Argumenter c’est émettre des opinions, des pensées, des idées, des réflexions, des jugements ou encore des enseignements ou des conseils

caractère scientifique en faisant appel à la logique. Argumenter c’est proposer une série d’argumentation et/ou d’exemples pour défendre une opinion par les sens discutables. C’est aussi chercher à convaincre son destinataire en faisant appel à un raisonnement. Persuader concerne l’art de la suggestion ou de la manipulation et vise une cible. L’argumentation cherche à établir une efficacité. Convaincre et persuader ne se situe pas sur le même plan.

et à sa volonté. 2. Les modes de raisonnement et de management. Les modes de pensée diffèrent selon la région dans laquelle on se situe. En Occident, les individus ont une certaine tendance à l’action, tandis qu’en Orient et particulièrement en Asie, « tout se crée et tout se fond de manière cyclique sans cause et sans effet ». De ces modes de pensée découlent deux modes de raisonnements : * Le raisonnement inductif : il passe par l’observation de faits ou

sous-entend l’auteur aux lignes 4 et 5 « il faut bien que l’autorité d’autrui soit le fondement de nos jugement ». En d’autres termes, si ce qu’on dit est issu de notre propre parole, c’est qu’il y a eu un moment ou un autre, une source de réflexion, de raisonnement. Si nous avons vécu ce que nous venons de dire, c’est que c’est la vérité puisqu’elle vient de notre propre expérience, de notre expérience personnelle, on la vécu. Prenons comme exemple, deux enfants en train de frapper injustement un de leur

Fiche 12 b, annexe : "STRATEGIES ARGUMENTATIVES" STRUCTURES DE RAISONNEMENT ET TYPES D'ARGUMENTS (DAL, p. 23 a) |STRUCTURES DE RAISONNEMENT |TYPES D'ARGUMENTS | |et RELATIONS |Arguments de type AFFIRMATIF |VALORISATION |Arguments de type | |ENTRE LES IDEES |

autres avec cohérence, harmonie et sans aucune contradiction. Pour ce faire, ses arguments doivent reposer sur un raisonnement de type inductif, déductif, analogique ou dialectique, ce que l’on appelle les fondements de l’argumentation. Cependant, il peut faire appel même à plusieurs formes de raisonnement. Les fondements de l’argumentation 1. L’induction L’induction est le raisonnement qui part de l’observation d’un fait ou d’un cas particulier et en tire une règle générale. Toutefois, une induction

exemples sont cités. Aller à la ligne au début de chaque paragraphe. C. LA CONCLUSION Ne pas : - Répéter l’introduction - Développer des idées nouvelles - Dresser un réquisitoire (donner votre avis personnel) C’est l’aboutissement du raisonnement, il faut : - Faire un bilan de la discussion menée dans le développement (récapitulation des conclusions partielles des différentes parties) - Répondre à la problématique - Elargir le sujet : prolonger la réflexion, suggérer un thème proche

rhétorique, vos grandes parties doivent être reliées entre elles par des transitions qui constituent en même temps des articulations dialectiques. Vous pouvez vous servir d’un exemple pour faire le lien. Les transitions marquent les étapes du raisonnement, elles sont donc très importantes et doivent apparaître clairement, graphiquement, dans vos copies. CONSEILS POUR LA RÉDACTION L’introduction. Plusieurs étapes : - Accroche : introduire le sujet à partir d’une exemple, d’une réflexion

utilisant la démonstration (les maths) et les sciences inductives utilisant l'expérimentation (la physique). La vérité scientifique lorsqu'elle est vérifiable ne peut être réfuté car elle repose sur l'objectivité universelle. Elle laisse place au raisonnement EX: Galilée La vérité scientifique: "Comment cela fonctionne?" La démonstrations: une série de propositions que l'on démontre l'une par rapport à l'autre jusqu'à aboutir à une proposition qui se vérifie d'elle même: un axiome L'expérimentation

du pronom « on » indéfini aussi souvent que possible / démonstration incomplète car l'énonciateur ne s 'efface pas totalement avec présence du pronom « je » (l1,3,10) + champ lexical de la pensée « considérer » (l1) « j'ai pensé » (l 10) - un raisonnement inductif : recours à l'exemple du roi dans le paragraphe 3 (l14-21), présenté comme l'homme le plus heureux du monde grâce à une idéalisation avec superlatif « le plus beau poste du monde » mais contraste avec la fin de la phrase « le voilà malheureux »