Râle

ça. Père Et depuis quand tu tags toi ? Elève J’ten pose des questions moi ? Mère D’où tu parles ainsi à ton père ? Ça ne se fait pas voyons. Elève Roh vous me soulez là ! ‘Faut savoir maman si tu es contre ou avec Papa. Moi j’en ai râle le bol de vos histoires. Vous voulez divorcer mais au fond vous vous aimez toujours. Prof Mon dieu je n’en peux plus de vous ! En 10 ans de carrière cela ne m’était encore jamais arrivé. Elève ‘Faut une première fois à tout m’dame, si je peux

verbaux : l’imparfait, temps duratif ; mais aussi le passé-simple • Le champ lexical dominant est celui du feu associé aux couleurs chaudes : « braisillaient , s’embrasaient, flambaient, brûlant ». Il y a aussi le champ lexical de la violence ; « râle des fusillés, saccagés, éventrés, ruines, souffrances »; et en contraste celui de la fête « beau dimanche, gerbe finale ( feu d’artifice ), vol de flammèches et d’étincelles, la joie, le rire, l’heureuse promenade ». - Les adjectifs « immense, hauts

est totalement au service du moment. Toute cette séquence est une épreuve que Julien traverse avec humanité et compassion. Ce passage descriptif continue le champ lexical du corps avec bouche dans poitrine ventre vertèbre. La présence de substantif râle + accélère vient souligner une fois de plus l'extrême faiblesse de cet organisme. La convocation du ventre qui se creuse jusqu'au vertèbre à une valeur hyperbolique qui soutient cet effet de dégradation finale du corps avant la mort. Le texte continue

un peu plus, y a le jazz qui s’installe Alors la rage au cœur La java fait la malle Ses p’tites fesses en bataille sous sa jupe fendue Elle écrasa sa gauloise et s’en va dans la rue COUPLET 2 Quand j’écoute béat uns solo de batt’rie V’là la java qui râle au nom de la patrie Mais quand je crie bravo à l’accordéoniste C’est le jazz qui m’engueule, me traitant de raciste COUPLET 3 Pour moi jazz et java c’est du pareil au même J’me saoûle à la Bastillle et m’noircis à Harlem Pour moi jazz et java, dans

Jette fidèlement son cri religieux, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente ! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis Elle veut de ses chants peupler l'air froid des nuits, Il arrive souvent que sa voix affaiblie Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie Au bord d'un lac de sang, sous un grand tas de morts, Et qui meurt, sans bouger, dans d'immenses efforts. La cloche fêlée se situe dans la partie « Spleen et Idéal » des fleurs du mal. Ce poème va mettre en scène

inexpressive « regard immobile » sages « nattes repliées » Strophe 3 : L’ivresse du Rhin Surprise car REPETITION x2 du « Rhin » et PERSONNIFICATION du Rhin METAPHORE des étoiles qui « tombent » dans l’eau Au chant est associé le thème de la mort « râle » « mourir ». On découvre le vrai visage des Ondines, sorcières jeteuses de sorts car « incanter » = ensorceler Dernier vers : L’éclatement du verre Alexandrin, éclatement du verre COMPARAISON avec un éclat de rire, triomphe du surnaturel Poème

cyprès. L'enfance (1822) les contemplations Victor HUGO(romantisme) L'enfant chantait; la mère au lit, exténuée, Agonisait, beau front dans l'ombre se penchant ; La mort au-dessus d'elle errait dans la nuée ; Et j'écoutais ce râle, et j'entendais ce chant. L'enfant avait cinq ans, et près de la fenêtre Ses rires et ses jeux faisaient un charmant bruit ; Et la mère, à côté de ce pauvre doux être Qui chantait tout le jour, toussait toute la nuit La mère alla dormir sous

réorganiser les données recueillies pour fournir un condensé exact de l’information initiale (dimension énonciative) et en trouver la signification (dimension compréhensive et interprétative) ;– l’ analyse sémiotique étudie, à partir d’une analyse structu- rale, la façon dont le mode d’organisation de signes dans un document engendre une signification déterminée. L’applica- tion des modèles d’analyse portant sur les structures élémen- taires de la signification, comme le « carré sémiotique » ou le « schéma

soi-même, il était mauvais, naturellement mauvais et ses bonnes action n’étaient que ruses permettant de soulager sa conscience. Gagné par la colère il saisit le même couteau qui avait transpercé Basil et frappa le tableau et mourra sur le coup dans un râle retentissant. Quand tout le monde vint voir le cadavre, il trouvèrent un homme vieux et laid par terre, le tableau lui, ayant retrouvé sa beauté originelle. 

Philinte se parlent à cœur ouvert, ils sont amis. Hypocrisie et politesse : • Une certaine retenue doit toujours limiter les rapports sociaux (le respect ?). III - Les caractères : Alceste : - emporté, excessif, colérique : il s’énerve, il râle toujours ; il ne peut faire preuve de modération - têtu : il ne démord pas de ce qu’il dit et il ne change jamais d’avis - donneur de leçon - pessimiste, mais moins que Philinte : ce dernier pense que les hommes sont incorrigibles, alors qu’Alceste