Rapport Brodeck

le guidant dans le débat. Narrateur= philosophe. Rapport de proximité entre narrateur et bramin. 2) Discours narratif entre coupé de dialogue. => structuré= 2 premier paragraphes: présentation développée des personnages présentés opposé. - Bramin: présentation longue et valorisante, fort sage. Riche - Indienne: Courte, bigote, imbécile. Pauvre Beaucoup de contraste entre eux. - Bramin: discours direct - Indienne: discours rapporté, discours narrativisé => montre qu’elle n’est pas

Madame Bovary, Gustave Flaubert : L’adultère et le procès L’adultère est le fait qu’une personne mariée ait un rapport sexuel volontaire avec une autre que son conjoint. Pour Emma, l’adultère est une échappatoire à l’ennui. Elle pense que cela lui permettra de sortir de la platitude du mariage. Cependant, ce sentiment ne persistera pas longtemps ; « Emma retrouvait dans l’adultère toutes les platitudes du mariage » (p.379). 1. Emma et Charles Emma apparaît comme une femme rêveuse, sans

légères. Il peut aussi arriver qu’une femme soit victime de viol de la part de son époux même si ces cas restent rares ou bien ne sont pas divulgués. En effet même dans le cadre du mariage lorsque la conjointe n’est pas consentante pour entretenir un rapport sexuel, la contraindre physiquement à le faire constitue un viol qui doit être sanctionné. Pour ce qui est des enfants on remarque qu’ils sont souvent victimes de viols et d’abus sexuels de la part d’adultes. Ces violences sexuelles peuvent être

Le rapport à la mère dans Pierre et Jean Malgré le fait que Pierre et Jean sont des personnages qui exigent des attitudes très différentes envers leur mère dans ce roman, tous les deux semblent avoir un complexe d'Œdipe à un point ou un autre dans ce roman. Pourquoi ces liens existent-ils? Est-ce que les deux frères ont réglé leurs problèmes à la fin du roman? Pour connaître les réponses, il faut bien analyser la situation familiale dans laquelle se trouvent Pierre et Jean, et aussi considérer

Godelier Introduction : Cet extrait est issue du chapitre « La nature des rapports homme / femme chez les Baruya » avec comme sous-titre « Violence et consentement, résistance et répression ». Le sous-titre est intéressant. En droit civil, la violence est une contrainte exercée sur un contractant en vue d’obtenir de celui-ci un consentement forcé. En les mettant côte à côte, Godelier représente ainsi les rapports homme / femme chez les Baruya. Les hommes exercent une violence pour obtenir un

élevée quand sa charge est réduite, on fait varier iB comme l’indique la courbe ci-dessous. T 15.00 10.00 IB (m A) 5.00 0.00 0.00 1.00m 2.00m 3.00m 4.00m Temps [s] 5.00m 6.00m 7.00m 2.1 2.2 2.3 2.4 Calculer la fréquence de hachage et le rapport cyclique. On constate que l’ondulation du courant dans l’inducteur est très faible. Montrer que l’on pouvait s’y attendre. Représenter uC, iC, iT et iD en fonction du temps en considérant que iC est continue. Calculer les valeurs moyennes des grandeurs

d’un moyen de contraception est une affaire individuelle qui nécessite un dialogue avec son médecin ou son médecin gynécologue et son partenaire… Utiliser une contraception efficace est une question de responsabilité quand on a décidé d’avoir des rapports sans pouvoir ou vouloir assumer une grossesse. Histoire de la contraception La contraception existe depuis bien longtemps… Déjà chez les mésopotamiens, 1600 avant JC, les femmes utilisaient des « pierres pour ne pas concevoir » : elles

Les moyens de contraception Introduction: D'après le Dictionnaire, le terme « Contraception » englobe l'ensemble des moyens employés pour rendre les rapports sexuels inféconds (empêcher d'avoir un enfant) chez la femme ou chez l'homme. Certains moyens contraceptifs dont nous allons parler sont également des moyens de protection contre les maladies sexuellement transmissibles (M.S.T.) . Nous ne considérerons donc pas, ici, l'abstinence totale, prônée par les religieux (et particulièrement

va du contact physique à 45 cm, est d’habitude réservée aux personnes les plus proches (partenaires, enfants) ; HALL précise que les seules circonstances où deux personnes confondent volontairement leurs espaces intimes sont le combat physique, le rapport sexuel et le réconfort. Ainsi le dépassement de cette distance renvoie à 3 registres : -la violence et l’agressivité -la sensorialité, l’érotisation et la sexualité -la tendresse, les gestes de réconfort et de protection

compte des exceptions. Néanmoins, le désir de la femme est sûrement plus fluctuant par rapport à la libido masculine, à cause des règles, des changements de cycles, de l'ovulation… Mais en moyenne, la femme a moins d'envies. J'en parle dans mon Traité des Orgasmes et c'est dû au fait qu'on ne différencie pas assez l'orgasme clitoridien du vaginal. Il ne s'agit pas de ressusciter les vues de Freud par rapport à cela. Je ne donne aucune espèce de valeur supérieure ni à l'un ni à l'autre. La femme