Rapport sur la richesse mondiale

mesure la quantité de richesses produites en terme de biens et services sur un territoire donné. Il totalise les valeurs ajoutées des entreprises qui opèrent sur le territoire national toutes nationalités confondues. Au niveau macro-économique : PIB + M = C + I + X (I = FBCF + Variation de stock) En terme de revenus distribués : PIB = somme des salaires + cotisations sociales + impôts liés à la production + EBE (excédent brut d’exploitation) PIB = PIB marchand (richesse créée par les entreprises

des rythmes différents selon les périodes et selon les pays. A Les Trente Glorieuses (1945-1974) Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les pays les plus industrialisés (dits « du Nord ») produisent des richesses en quantités de plus en plus importantes. Cette augmentation de la richesse porte le nom de croissance. On mesure cette croissance de la richesse grâce à des indicateurs économiques comme le PNB (Produit national brut) ou le PIB (Produit intérieur brut). La différence entre ces deux

traiter au même niveau les aspects économique, social et environnemental. Le développement durable interroge la croissance apparemment sans limite des transports de personnes et de marchandises au profit des couches les plus aisées de la population mondiale. Il permet d’analyser sous un jour nouveau les évolutions des transports dans les pays en développement, en sous-tendant notamment une analyse systémique des transports. Introduction Le développement durable devient un mot très, trop à la mode

fois la richesse nationale et mondiale ; une réduction des coûts d'achats des biens non-produits dans l’économie domestique et acquis auprès de fournisseurs étrangers ; une multiplication des opportunités de choix pour les entreprises et les consommateurs ; une diffusion plus rapide des innovations et du savoir faire qui favorise l'amélioration de la productivité. On observe donc historiquement une coïncidence entre la progression des échanges et celle de la croissance économique mondiale. Entre

(socialisme scientifique -›marxisme). Le marxisme détruit les libertés fondamentales et l’économie (ex : Cuba). La naissance de l’économie remonte à 1776 avec le 1er Traité d’économie d’Adam Smith : Recherche sur la Nature et des Causes de la Richesses des Nations. L’UE est un système libéral, les Etats ne doivent pas intervenir directement dans l’économie de leur pays. C’est la loi de l’économie post-industrielle. Constitutions des économies industrielles : La Révolution industrielles n’est

développement. Les BRIC sont devenues les BRICS, le 14 avril 2011 avec l'arrivée de l'Afrique du Sud dans ce rassemblement. Le Brésil fait aussi partie du G20 ou Groupe des 20 qui est un forum économique rassemblant les 20 plus grandes puissances mondiales et se réunit une fois par an, lors des fameux "sommets du G20".  2) L'économie Dans le cadre de la mondialisation, le Brésil est aujourd'hui, une puissance politique et économique avec qui il faut compter. Sa croissance économique, amorcée

La mondialisat° contemporaine, rapports de force et enjeux Mondialisation:· Laurent Carroué, début = années 70-80· Ce processus définit cm l’expansion du sys capitaliste à l’échelle M· Cette expansion débouche sur la convergence des prix et des salaires, homogénéisation des marchés, densificat° des échanges, densificat° des flux de tt sortes (financiers, éco, cul, migratoires…)·  Immanuel Wallerstein appelle cela un « sys monde »Principale caractéristique de la mondialisation :

Japon et elle est désormais 2e puissance économique mondiale derrière les Etats-Unis d’Amérique. Le produit intérieur brut est l’indicateur de richesse utilisé par les pays du monde entier pour calculer leur croissance économique. Mais cet indicateur renseigne sur la situation économique d’un pays, sans prendre en compte certaines économies (souterraine, solidaire …) et il prend en compte les réparations écologiques en tant que richesses produites et non comme pénalité. C’est

proposé que le politique reprenne avec force l’initiative. Dépassant le stade de la globalisation pour rejoindre celui d’universalisation du monde, il proclamera solennellement l’existence et la reconnaissance d’une « commune humanité » comme valeur mondiale partagée. Il s’agit là pour le XXIème siècle de faire le pari de la confiance en une humanité commune forgeant l’unité dans le respect de la pluralité des cultures et de la diversité des territoires, formant ainsi un véritable antidote à la défiance/méfiance

LE DEVELOPPEMENT DURABLE Novembre 2001 Le « développement », un concept à préciser Depuis les années 1990 et le Rapport du P.N.U.D.,1 le développement a été désigné comme humain, dépassant ainsi la simple référence à un développement économique (croissance) tel qu’on l’entendait auparavant. Le niveau de développement humain est calculé selon un indice, l’I.D.H. (Indice de Développement Humain), qui se compose des indicateurs suivants : Espérance de vie Taux d’alphabétisation Taux brut de scolarisation