Rassemblement démocratique et social européen

d’assemblée comme c’était le cas sous la IIIe République. Dans ce discours de Bailleux, GDG insiste sur le renforcement de l’exécutif avec la fonction du chef de l’Etat qui deviendrait « la clé de voute » de la Ve République. Le GDG va fonder le rassemblement du peuple français, il s’agissait d’un mouvement politique et non d’un parti. Suite à l’échec relatif de ce mouvement aux élections de 1951, le GDG va se retirer de la vie politique, appelée « la traversée du désert ». Chapitre 1 : La vie de

information, communication, et construction d'une Europe politique. Dans l'introduction, on se rend compte qu'il ne suffit pas d'informer les Européens sur les effets bénéfiques de l'Europe politiquement mais aussi économiquement pour faire croître un sentiment d'appartenance à un même et grand ensemble. De plus, l'intêret porté par les habitants des différents pays européens pour la construction européeenne est minime, et l'euroscepticisme s'accroît. Par exemple, aujourd'hui, un français quelconque se sent

commune où il est inscrit et lui permet de participer au choix de conseillers lors des élections locales, ou de député(s) lors des élections nationales et européennes. Montesquieu (De l'esprit des lois) : séparation entre pouvoir exécutif, pouvoir législatif, et pouvoir judiciaire. Dans quelle mesure le vote s’inscrit-il comme l’outil démocratique par excellence ? I/ Le droit de vote Quelles sont les principales caractéristiques du droit de vote ? A/ Les conditions du vote En France, depuis

régime démocratique parlementaire: La IIIème République. La France connait alors une crise économique consécutive au Krach Boursier de Wall-Street, qui débouche sur une crise sociale (chômage) et politique. Le 6 février 1934 une tentative de renversement du régime de la IIIème république a été tentée mais celle-ci échoue en raison de l'intervention des forces de l'ordre. Les partis politiques de gauche décident de s'unir en créant le Front-Populaire. I]. La crise économique et sociale. Terriblement

sur l'Union Européenne entrée en vigueur un an plus

respecter le principe de laïcité. La République a un projet pour la société : construire la paix et la cohésion sociale. Comment aujourd’hui définir ces 2 espaces ? Distinguer ce qui relève du « public » de ce qui relève du « privé » est au cœur de tous les débats sur la laïcité. Définition de l’espace public L’espace public représente d’abord un espace physique : un lieu de rassemblement ou de passage, à l’usage de tous, l’espace de vie collective de ses riverains. C’est un lieu qui n’appartient à

des objectifs à court terme (rythme des consultations électorales, relations des forces politiques, etc …) Ces problèmes existent, doivent être pris en compte. C’est l’enjeu de la vie démocratique même limitée qui s’est construite et qui est elle-même un enjeu. Institutions, syndicats, associations, rassemblements sont nécessaires. Les communistes y participent. MAIS IL Y A BESOIN D’UNE FORCE QUI APPUIE SON ACTION QUOTIDIENNE, QUI LA NOURRIT D’UNE VISEE A LONG TERME, D’UN IDEAL, DE LA RECHERCHE

** Formation Géographique Sociale – 2012 – 2013 Notre Dame des Champs Uccle Quels sont les impactes de la guerre sur les femmes et les les enfants à l'est du Congo ? 1 Table des matièresTable des matières Introduction3 Analyse des documents4 Structurogramme5 Texte argumenté6 Références bibliographiques8 2 Introduction Pour ce dossier j'ai choisi de m’intéresser à la guerre

Irak, où le régime de Saddam Hussein venait d'être renversé par la force. Et le mouvement devait se répandre tout naturellement dans la région pour aboutir à des démocraties plus ou moins exemplaires, en tous cas amies de l'Amérique et du monde démocratique en général, voire d'Israël, qui avait appuyé l'intervention en Irak. Aujourd'hui le vent de la démocratie balaye le même Grand Moyen-Orient, mais d'une toute autre manière. L'Irak est certes débarassé de son dictateur mais, loin d'être un modèle

officiellement adopté en 1999 contre l'opposition d'une partie de la droite (UDF et RPR)[1]. Au Parti socialiste, il a fait partie de l'aile gauche jusqu'en novembre 2008, date à laquelle il quitte ce parti pour fonder le Parti de gauche (PG). Élu député européen le 7 juin 2009 dans la circonscription Sud-Ouest, il reste sénateur jusqu'à la validation des résultats dans cette circonscription, en janvier 2010. Titulaire d’un CAPES de lettres modernes et d'une maîtrise de philosophie, il a été professeur