Rassemblement des gauches républicaines

Résistance (CDLR), Ceux de la Libération (CDLL), Libération-Nord, Front national, Combat, Libération-Sud, Franc-Tireur – ainsi que six tendances politiques – communistes, socialistes, radicaux, démocrates-chrétiens, Alliance démocratique et Fédération républicaine – et deux syndicats – CGT et CFTC. À ces seize membres s'ajoutait le président – Jean Moulin jusqu'à son arrestation, puis Georges Bidault, qui représentait les démocrates-chrétiens –; deux secrétaires participaient aux réunions sans voix délibérative

Paris. Bombardements, population mise à mal. Gambetta quitte Paris en ballon 7 oct. pour organiser la résistance : 3 armées levées, mais Bazaine capitule à Metz le 30 oct. et les prussiens peuvent se concentrer sur l’armée de l’Est ; la guerre républicaine échouera en janvier. Tentations centrifuges : Ligue du Midi (Marseille, Montpellier, Lyon, Grenoble) et commune de Lyon proclamée dès sept. avec la pression de Bakounine. Armistice de Versailles 28 janvier ; Allemagne exige de traiter avec une

l'influence catholique sont négligeable. Cette religion reste en France importante et joue un rôle dans la première guerre mondiale. La monté en France comme en Europe des mouvements d'extrême dès le milieu des années 20 inquiète, et pas seulement les republicains. L'essort du communisme et des ligues est présente dans la nation française et c'est pour pallier cela que le pape Pie XI condamne l'Action Française et le met a l'index en 1926. Le souverain pontif recadre également le journal La croix mais il

satisfaction. Le 13 mai, c'est au tour des usines Latécoère, à Toulouse, puis le 14 à celles de Bloch, à Courbevoie, d'être occupées. Le mouvement se répand comme une trainée de poudre, atteignant rapidement les entreprises voisines[31]. Le 24 mai le rassemblement en souvenir de la Commune de Paris rassemble 600 000 participants, brandissant des drapeaux rouges et chantant des hymnes révolutionnaires. Le lendemain, de nombreuses grèves débutent en région parisienne, qui obtiennent généralement rapidement

appauvrie, endettée. Il faut reconstruire le pays et retrouver la prospérité perdue. Dans les années 1930, la France doit faire face à la crise économique. La période de l'entre deux guerres voit l'alternance au pouvoir des partis de droite et de gauche. I- La France dans les années 1920 A) Les difficultés d'un pays victorieux Un pays dévasté par la guerre. -Les pertes humaines s'élèvent à 1, 4 millions de morts, 3 millions de blessés, 700 000 veuves, 750 000 orphelins. Des monuments

RND. Quelle signification donnez-vous aux termes extrémisme et radicalisme ? Comme en politique, on peut situer l'ensemble des idéologies religieuses sur un axe formé de trois cercles qui se recoupent partiellement : la droite, le centre et la gauche. Cet axe correspond à la position prise par rapport aux valeurs dans le temps. Le philosophe Gaston Fessard classe ces valeurs comme étant celles qui « ne sont plus là », « sont encore là », « sont déjà là » et « ne sont pas encore là ». Plus une

ça attachée à l'Algérie française, thème majeur des composantes d'extrême droite et nationalistes (la préservation de l'empire français et de la puissance française). Dans ce contexte, l'extrême droite cherche à se reconstruire et à s'opposer à la gauche d'une part mais aussi au mouvement gaulliste qui a abandonné l'Algérie. En 1965, une liste d'extrême droite est présentée aux élections présidentielles, sous la direction de Jean-Louis Tixier-Vignancour, célèbre avocat de l'écrivain controversé Louis-Ferdinand

agricole et industrielle est en baisse entre 1929 et 1932, bcp de faillites, salaires en baisse => les nazis trouvent un bouc-emissaires : les juifs. * Brutalisation de la vie politique => armées de droites nazis (les «SA») affrontent la gauche communiste. * Patronat pense qu’Hitler peut assurer l’ordre et la prospérité des entreprises. Hindenburg, président de la république allemand nomme Hitler chancelier en 1933. 1.2/ L’installation de la dictature (se fait de façon légale)

Les élections législatives anticipées qui font suite à la dissolution et au référendum, les 18 et 25 novembre, marquent une importante victoire pour la majorité, avec 233 sièges sur 482 pour les gaullistes de l'UNR-UDT et 35 pour leurs alliés Républicains indépendants de Valéry Giscard d'Estaing, représentants de la tendance libérale (au sens économique). Pompidou forme alors son deuxième gouvernement, le 28 novembre, qui durera jusqu'à 1966. Celui-ci a une composition semblable au premier. Georges

à Paris. Ce rassemblement est à la fois une victoire des révolutionnaires et une victoire des Jaurésiens. En effet, ils représentent le tiers de la direction, même si Jaurès lui-même n'y siège pas, car les élus ne peuvent en être membre. Partout, en Europe, les socialistes tentent de se regrouper au sein de partis de masse et au sein de l’internationale. En France, la pression de l’internationale fut décisive. - Courants : Après des premiers mouvements d’unification de la gauche française en 1901