Rassemblement des gauches républicaines

municipales remportées par le parti cette même année marquent la progression du FN en France. 1998-2011 
: Une normalisation politique  1998 : c’est la « scission » au sein du parti : Bruno Mégret quitte le parti pour fonder le Mouvement national républicain (MNR). Avec lui, partent 50 % des élus FN et 40 % des secrétaires départementaux. De son côté, Jean-Marie Le Pen donne de plus en plus de pouvoir à sa fille, qui incite son père à faire évoluer le discours du FN vers des thématiques sociales.

par la gauche comme une tentative de coup d’état fasciste, a provoqué dans les rangs des militants un très vif désir d’union. Tactique « classe contre classe » : les dirigeants communistes continuent à dénoncer les socialistes comme des sociaux traitres. Radicaux et socialistes sont séparés par les rancœurs consécutives à l’échec des deux tentatives de cartels. Mai 1934 : les choses évoluent. Tirant la leçon de l’arrivée au pouvoir de Hitler, favorisée par la division des partis de gauche en Allemagne

fort et autoritaire, les ligues font peur aux gens et dénoncent les comportements des hommes politiques liés aux scandales. Le 6 février 1934, les ligues essayent de s’en prendre à l’état. La gauche qui interprète cet acte comme un coup d’état va organiser des contre- manifestations et de grands rassemblements avec la S.F.I.O, les communistes et les radicaux (front populaire) En 1936, le front populaire gagne les élections législatives, à partir de ce moment, Léon Blum est le président du conseil

lendemain, le Conseil constitutionnel nomme le président du Parlement Foued Mebazaa, président par intérim. Âgé de 78 ans, c’est un cacique du régime issu du parti El Destour, fondé en 1920 afin de lutter pour l’indépendance de la Tunisie, devenu Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) avec l’arrivée au pouvoir de Ben Ali. En attendant, Mohammed Ghannouchi, a réuni le 16 janvier des représentants des partis politiques et de la société civile pour préparer le processus de transition jusqu’aux

nouvelle « équité sociale » A. L’abrogation de la Loi Le Chapelier * Enoncé dès le début du texte, dans l’article premier. * Loi qui date de la Révolution (1791), proscrivant toute organisation ouvrière, les corporations de métier, les rassemblements paysans et ouvriers, le compagnonnage…Défendre ses intérêts n’est donc pas un droit collectif. * Loi « antisocial » qui ne visait pas les clubs patronaux ou les trust. * Les grèves sont de fait interdites, et réprimées tout au long du

française Titre I : La IIIème République : L’affirmation d’une nation politique République des paradoxes, la IIIème République l’est incontestablement. Elaborée dans un contexte politique où les républicains n’étaient pas majoritaires, elle va consacrer la République parlementaire et forger l’idéal républicain. Considérée par ses initiateurs, comme un régime d’attente, fruit d’un compromis laborieux, elle reste aujourd’hui le régime politique français le plus durable. Ne comprenant aucune déclaration

élections mettent une nouvelle majorité au pouvoir de la chambre basse (majorité républicaine)==> opposition gouvernement/chambre. MacMahon veut afire voter des textes, mais la chambre basse ne le soutient plus et refuse, le gouvernement doit démissionner, mais MacMahon ne tient pas compte de la chambre et renomme un gouvernement Royaliste puis dissout l'AN. Les nouvelles élections de chambre redonne la majorité aux républicains, le président est désavoué par les urnes, il démissionne en 1879. J. Grévy

Pb : Quelles sont les grandes étapes de la vie politique française de 1945 à nos jours ? Comment expliquer l’éphémère durée de vie de la IV° Rép et la longévité de la V° ? I. A la recherche de la stabilité politique : 1944-1962 Régime Républicain est une valeur enracinée mais les français hésitent sur le type de régime : parlementaire ou présidentielle. A. Le tripartisme : 1944-1947 2 assemblées constituantes, 2 projets constitutionnels et 3 référendums pour parvenir à doter la Fr

sous Pétain (pensait que partis pol ne faisaient que / pop). * PC de Thorez, rôle déterminant dans Résist dès juin 40. revendique titre des 75,000 fusillés. * SFIO (Section Française de l'Internationale Ouvrière) de Blum et d'Auriol. * MRP (Mvt Républicain Populaire), Bideaux à sa tête. proche de DeG et anti-Commu. * radical. vu comme responsables de la défaite de juin 40. parti des notables. * droite totalement discréditée suite à collabo de Vichy. => pluripartisme rétabli après période d'autoritarisme

écouté à l'époque : en octobre, les électeurs approuvent le texte qui devient la Constitution de la IVe République et qui donne un poids important au pouvoir législatif. Entré dans l'opposition, De Gaulle lance un nouveau mouvement politique, le Rassemblement du peuple français (RPF). Son but est de lutter contre le poids des partis et de favoriser une réforme constitutionnelle. Mais le mouvement, qui connaît tout d'abord plusieurs succès électoraux, s'essouffle : en 1953, De Gaulle s'éloigne de la