Rassemblement des républicains

|l’impulsion de Jacques Chirac au lendemain de sa réélection en 2002 | | |pour réunir la droite dans un parti unique. Le Rassemblement pour la| | |République (RPR), néogaulliste, et Démocratie Libérale (DL) sont | | |dissous. Une fraction de

plusieurs groupes politiques (montrer sur le PowerPoint): *      UMP (union pour un mouvement populaire) (132 membres) *      SOC (groupe socialiste) (128) *      UCR (union centriste et républicaine) (31) *      CRC (communiste, républicain et citoyen) (21) *      RDSE (rassemblement démocratique social et européen) (17) *      ECO (groupe écologiste) (12) *      RASNAG (réunion administrative des sénateurs ne figurants sur la liste d’aucun groupe) (7) Le Sénat, qui

1945 du MRP, il en diverge à propos des institutions à donner à la Quatrième République. Finalement, il démissionne du gouvernement et lance les bases d'une nouvelle politique dans son discours de Bayeux (1946) avant de créer un nouveau parti, le Rassemblement du peuple français (RPF) en avril 1947. Se voulant un parti au-dessus des autres partis (de Gaulle était parti du gouvernement en 1946 en dénonçant le « régime exclusif des partis »), il va inventer les bases du gaullisme. Opposé dès sa création

voie de la religion et s’allie au trône, ce qui lui garantit un pouvoir conséquent. Mais le gouvernement de Mac Mahon va être confronté à des difficultés majeures, notamment en raison des divisions internes des monarchistes. L'opposition des républicains qui perdure, exploite alors ces faiblesses. Quelle politique l’ordre moral applique t-il entre 1873 et 1877, et à quelles fins ? Dans un premier temps nous verrons les enjeux de l'ordre moral. Ensuite, nous étudierons la politique mise en

Les Forces politiques sous la IV République Le Mouvement Républicain populaire 1944- 1965 Au lendemain de la Libération, la structure politique de la France est affaiblie. La population, qui a fait l’expérience de l’abus de pouvoir personnel sous le régime de Vichy craint le retour d’un despotisme politique => Reconstruction politique urgente – mise en place de la IV République le 27 Octobre 1946. La IV République se compose de 3 principales forces politiques qui se sont rénovées par

d’habitants peuvent voter. Cet écart engendre des débats politiques sur l’élargissement du cens. François Guizot, homme politique conservateur, membre du gouvernement depuis 1840, s’oppose à cette idée et à l’opposition monarchiste de gauche. Les républicains sont également favorables à un élargissement du cens. Ils relaient leurs idées politiques avec prudence car depuis 1835 des lois interdisent de critiquer la monarchie. Enfin les socialistes, font également partie du champs politique français

stratégies de conquête du pouvoir politique qui seront basé sur l’association, ça les contraints à mettre en commun leur ressource. On va voir se développer les 1er lobbys. 1er parti qui se créait à gauche c’est la parti républicain. En 1901 plusieurs partis républicains en association avec d’autre organisation qui vont décider de créer une grande fédération dans la perspective des élections législatives de 1902. Chacun va mettre à la disposition de tous, les ressources qu’ils ont en leur possession

nationalisations, mettre en place un Etat-providence, telle est l’ambition des hommes qui ont libéré la France. En 1944, nouveau gouvernement provisoire, le tripartisme : alliance des trois partis majoritaires à la libération (SFIO, PCF, Mouvement Républicain Populaire) qui s’entendent pour gouverner la France et fonder la IV République, cette alliance disparaît en 1947 avec le renvoi des ministres communistes. La Constitution d’octobre 1946 fonde la IV République, un régime d’assemblée où le président

Restée au pays, la petite noblesse n'a fait que suivre l'insurrection paysanne, avant de la récupérer définitivement et de lui donner une coloration franchement et explicitement royaliste et catholique, surtout à partir de juillet 1793[24]. Le camp républicain est alors divisé entre girondins et montagnards, qui s'accusent mutuellement de favoriser la Contre-révolution. Tandis que les insurgés bretons sont écrasés à l'extrême Ouest, l'agitation réprimée en Alsace, au sud de la Loire, les insurgés parviennent

parlementaires continueraient à travailler avec le gouvernement en dépit des pleins pouvoirs, que la future Constitution qui irait dans le sens d'un pouvoir plus stable et plus fort serait ratifiée par la vote de la nation entière. Les appels au rassemblement autour du maréchal Pétain, conjugué avec de multiples promesses qui quoique apaisantes demeuraient absentes du texte lui-même et la menace d'un coup de force des militaires sur le pouvoir civil en cas de rejet du texte emporta les dernières réticences