Rassemblement des républicains

cultures qui ont fait l'identité du pays Démographie : Taux de croissance de la population : 0,98 % Âge médian (population totale) :29,7 ans Régime politique : jusqu’en 2011 ,la politique de la Tunisie s'inscrit dans un régime républicain de type présidentiel. Toutefois, de nombreuses ONG1,2 et de nombreux chercheurs en science politique qualifient le régime d'autoritaire. II- Histoire 1. 1956 (20 mars) : La Tunisie obtient son indépendance à la suite de l'abrogation

délassement -sens de l'ancien français « desport »   B. la fête est avant tout un moment de réjouissance partagée, à l'occasion d'un rassemblement    collectif ; elle a souvent une fonction cérémonielle (et toute cérémonie est un spectacle) ; la fête sportive correspond à une déclinaison sur un mode euphorique de l'attachement des individus aux valeurs républicaines (liberté, égalité, fraternité) le sport est fédérateur et la fête est une ouverture aux autres : mais les manifestations sportives ne

mars 1830 en votant lʼAdresse dite «des 221», la chambre manifeste son inquiétude au roi. Charles X leur répond en dissolvant la chambre et en réaffirmant son droit a nommer lui seul les ministres. Sʼen suit une montée des oppositions libérale et républicaine. Les nouvelles élections de juillet 1830 renforcent encore plus la poussée de lʼopposition 274 opposants sur 417 députés. Charles X rentre en conflit direct avec le pays, le 25 juillet il signe quatre ordonnances qui traitent des points suivants

protestation contre le régime absolutiste de Metternich. Il souhaitait l'indépendance de son pays, et pour ce faire, il estimait qu'il était dans la nécessité d'avoir une Italie républicaine et unitaire afin de s'allier contre l'oppresseur Autrichien (ainsi qualifié dans le texte). Il  croyait fortement que seul le rassemblement de chacun des états italiens était dans la capacité de balayer le pouvoir de Metternich. Il pensait également que l’instruction des Italiens était primordiale et il déclarait

(SFIO, PCF, MRP). En 1947, les ministres communistes sont révoqués et le Général de Gaulle crée le RPF (Rassemblement du Peuple Français). De 1947 à 1958, le jeu des partis se caractérise donc pas deux partis d’opposition aux régimes : les communistes, et le RPF (devenus Républicains Sociaux). Les autres partis constituent la « troisième force », composée de socialistes, de radicaux et de républicains populaires. Les partis « d’opposition au régime » vont s’opposer aux investitures des Président du Conseil

cherche donc à être un rassemblement de tendances gaullistes, libérales et démocrates chrétiennes (ou des tendances bonapartistes et orléanistes )) de la droite française. Lors du congrès fondateur le 17 novembre 2002 au Bourget, Alain Juppé devient le premier président du mouvement et Philippe Douste-Blazy son premier secrétaire général. Le RPR et DL sont dissous à l'interieur de l'UMP. Seuls deux partis fondateurs substistent en tant que tel : le Forum des républicains sociaux (présidé par Christine

radical au pouvoir avec Herriot 32, puis Daladier et Sarrault 33 : position centre-droit alors que majorité parlementaire socialiste * Communistes et socialistes : faut-il faire la révolution après l’échec radical de 32 ou sauver le système républicain ? * Division de la SFIO sur la question d’une action commune avec le PCF ou d’une alliance avec le centre-gauche ; « néo » et « Action socialiste » écarté du parti, ils réclamaient un front unique ; discours de gauche mais soutien aux radicaux

de Bordeaux Ils ne sont pas d'accord sur la religion : affaire privée // Ultramontain (suivre les lois papales) Ils ne sont pas d'accord sur le parlementarisme. Les républicains reprochent également au roi sa légitimité : il n'a pas conduit la révolution de 1830, pour eux, ce n'est qu'un usurpateur. Les républicains auraient dû avoir le pouvoir. → Louis-Philippe sera donc en quête de légitimité pendant toute la durée de son règne. → Au niveau international, les monarchies étrangères

référendum a lieu le 21 octobre 1945. Les Français approuvent le Gouvernement provisoire et décident (96 %) que la prochaine Assemblée nationale sera « constituante ». SFIO : Section française de l’Internationale ouvrière (socialiste) MRP : Mouvement républicain populaire (démocratechrétien) Tripartisme : le Parti communiste, la SFIO et le MRP représentent chacun un quart des voix. Les électeurs de droite votent pour le MRP, car les anciens partis conservateurs, compromis par la collaboration, ont quasiment

participé à des manifestations républicaines). Ensuite, la loi sur la liberté de la presse de 1868 permet l'émergence publique de revendications économiques anti-capitalistes : le programme de Benoît Malon et Eugène Varlin pour les élections législatives de 1869 prône la « nationalisation » des banques, des assurances, des mines, des chemins de fer... Lesblanquistes, partisans de l'insurrection, se manifestent de plus en plus, ce qui inquiète l'opinion et les élus républicains. Les classes populaires