Rationalisme

public (Zadig ou Candide ou l'Optimisme de Voltaire). Le romantisme : Le romantisme se développe en Allemagne et en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle. Il apparaît ensuite en France au XIXe siècle, en réaction à la rigueur classique et au rationalisme des Lumières. Dans la littérature, parmi les auteurs majeurs de ce mouvement, on peut citer Chateaubriand, Lamartine, ou encore Musset mais l'incontestable chef de file est Victor Hugo. Les aspects privilégiées du romantisme sont l'expression des

Le mouvement classique Symétrie, ordre, retenue, couleurs plus douces, … Pascal est plutôt baroque mais il y a du classicisme car son écriture est très organisée. Au XVII, richesse intellectuelle. Beaucoup de débats, grand développement du rationalisme. Réflexion scientifique qui va débouché sur une réflexion philosophique. Libertins à la base de la pensée, expliquent le monde par la matière. Pascal a fréquenter ces libertins. Débats religieux aussi à cette époque : les jésuites (grâce suffisante

«romantisch» qui s’opposait à «classique» : quelques années déjà avant la fin du XVIIIe siècle, en Angleterre et en Allemagne, surtout, avec le mouvement «Sturm und Drang» - «Tempête et Élan» - des écrivains dits préromantiques réagissent contre le rationalisme du siècle des lumières. Entre 1820 et 1830, romantique va supplanter le mot romanticisme inventé par Stendhal (avec un sens plus large que romantisme). «Romantisme» (même si ce mot n’a jamais eu de définition précise) désigne donc un art, une

influencée par le terme allemand « romantish » qualifiant la poésie chevaleresque médiévale, Madame de Staël lui attribue son sens littéraire. Le romantisme se construit sur le rejet des contraintes esthétiques du classicisme et en réaction au rationalisme du siècle des Lumières. Il prône l'affirmation de la liberté créatrice, le règne de l'imagination et de la sensibilité. Le mouvement s'inspire dans un premier temps des littératures anglaises et allemandes. Le romantisme éclôt et se développe

être agnostique peut signifier aussi qu'on ne sait pas s'il y a une puissance divine ou non, et qu'on envisage les deux possibilités, sans pour autant considérer que la vérité à ce sujet soit, par principe, entièrement inaccessible. - rationalisme : Le rationalisme est la doctrine qui pose la raison discursive comme seule source possible de toute connaissance réelle. s'entend de toute doctrine qui attribue à la raison humaine la capacité de connaître et d'établir la vérité. - mécanisme : En philosophie

tendance proprement humaine à l’affabulation alors même que son argumentation prend la forme d’un récit ? Dans une première partie nous analyserons la critique de l’obscurantisme avant de nous attacher dans une seconde partie à la défense du rationalisme des Lumières. I. La critique de l’obscurantisme A) Un apologue - Court récit au passé simple + morale à la fin : définition de l’apologue (court récit a visée morale) - Les savants sont les éléments perturbateurs du récit, ils sont

sur la raison. On y a parfois vu l'influence du rationalisme de Descartes mais il s'agit plutôt d'un intérêt pour la lucidité et l'analyse. Les héros et héroïnes classiques ne sont en général pas rationnels mais leurs passions, souvent violentes, sont analysées par l'écriture qui les rend intelligibles5. Le classicisme est donc davantage influencé par une volonté de soumettre le déraisonnable à l'ordre de la raison que par un véritable rationalisme qui inspirera plus tard les philosophes des Lumières

de constat et de déduction « j’ai vu », « j’ai jugé », « m’ont fait connaitre », « j’ai remarqué », « j’ai compris » montrent la démarche scientifique à adopter avant d’émettre un jugement. Cette procédure scientifique met en valeur la force du rationalisme des Lumières contre la servitude et la soumission de la justice. - Les moyens de la satire. • Les questions hâtives et déductives de l’eunuque et le grand veneur : « vous l’avez donc vue ? », « quel chemin a-t-il pris ? où est-il ? » présentent

Philo vendredi : * Deux grandes voies pour justifier la morale : sentimentalisme (1) et rationalisme (2). (1) risque d’une justification insuffisante des jugements moraux Au niveau individuel : qu’est-ce qui justifie que ma sensibilité morale est « meilleure » que celle des autres ? (pluralité des sensibilités amenant à une pluralité des jugements moraux) Le désaccord vient peut-être de la considération de la justice, mais déjà l’on s’éloigne du sentimentalisme pour aller vers une

du mouvement "Romantisme" | Apparu tout d’abord dans la littérature vers la fin du XVIIIème siècle en Angleterre (Constable), le romantisme s’étendra sur toute l’Europe durant le XIXème siècle. Le mouvement romantique se base sur le rejet du rationalisme et du classicisme, s’affranchissant de l'étroite réalité et du froid bon sens. On y préfère l’atmosphère propice aux rêves que l’on trouve dans les romans, on aspire plus à l’idéal, aux sentiments, à l’exotisme, au mystère et à l’imagination qu’à