Ratko Mladić

projet criminel commun visant dans un 1er temps à chasser à jamais les Musulmans et les Croates du territoire revendiqué par les Serbes de Bosnie. Sa volonté purificatrice était aussi partagée par d’autres comme par «l’état major de son armée» l7, Ratko Mladic qui affirme dans l’été 1995 que «Srebrenica est enfin serbe. Nous offrons la ville au peuple serbe». Le poids de la mémoire et l'idée de vengeance y sont clairement affirmés puisque ce massacre visant des musulmans est renvoyé au siècle précédent

crimes de guerre par la justice internationale, a été arrêté hier soir par les services secrets serbes au terme d'une traque de 13 ans. Radovan Karadzic était réclamé par la justice internationale en particulier pour avoir été, avec le général Ratko Mladic, ex-chef militaire des Serbes de Bosnie, l'instigateur du génocide de Srebrenica (est de la Bosnie) où près de 8.000 hommes musulmans ont été éliminés en juillet 1995, le pire massacre en Europe depuis la Seconde guerre mondiale. Selon l'avocat

la Cour internationale de justice. Les Bosniaques, comme les Croates, ne reconnaissent officiellement aucun crime sur les Serbes. Les principaux dirigeants de l'armée serbe de Bosnie, rendus responsables des évènements de Srebrenica, le général Ratko Mladić et Radovan Karadžić, ancien président de la République serbe de Bosnie. Après des années de fuite, Karadžić est arrêté en juillet 2008. En mai 2008, les 4e élections, ont eu lieu en Bosnie, et les clivages entre Musulmans, Serbes et Croates se

guerre de Bosnie, ces «initiatives diplomatiques» sont perçues par les nationalistes comme un feu vert pour agir: parachever l’épuration ethnique de l’ouest de la Bosnie qui n’a pas été complète en 1992-1993. En 1995, les choses s'accélèrent. Ratko Mladic, le général de l'armée serbe, décide d'en finir avec ces enclaves. Il se croit tout puissant et invincible, à tel point qu'il n'hésite pas à prendre des Casques bleus en otage et à marchander leur libération. Et l'ONU, fidèle à sa ligne de conduite

l'Organisation des Nations unies avait adopté la résolution 819 concernant la mise en zone de sécurité de la ville de Srebrenica, habitée principalement par une population musulmane et qui était assiégée par les forces serbes de Bosnie menées par le général Ratko Mladić. Le massacre de Srebrenica aura lieu deux ans plus tard, en juillet 1995. Peu après avoir reçu le prix Nobel, il fonde avec son épouse la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité[9],[3]. Durant plus de deux décennies, cette Fondation lutte pour

adhérer au « Partenariat pour la paix », premier pas vers la candidature de ces trois pays à l’OTAN. Il s’agit d’un revirement de stratégie pour l’OTAN qui privilégiait jusque-là la conditionnalité, à savoir l’arrestation des criminels de guerre Ratko Mladic et Radovan Karadzic comme préalable à tout rapprochement, et qui espère par cette décision favoriser les forces progressistes serbes et bosniaques.

Serbes. Juin: les Serbes prennent 370 casques bleus en otage.  Juillet : offensive serbe contre les «zones de sécurité». Ils s'emparent de Srebrenica, théatre d'un terrible massacre, et de Zepa. Les dirigeants serbes de Bosnie Radovan Karadzic et Ratko Mladic sont inculpés pour leur responsabilité dans le siège de Sarajevo. Ils le seront aussi en novembre pour le carnage de Srebrenica.  Août: l'armée croate reprend la Krajina et chasse 100 000 Serbes de Croatie. Début des frappes aériennes de l'Otan

Les auteurs du génocide juif ont eu des peines de mort, d’emprisonnement à vie. En mai 2013, l’ancien dictateur Guatémaltèque EFRAIN Rios Montt(président de 1982-1983) a été condamné à 80 ans de prisons dont 50 ans pour génocide. Le général Ratko Mladic a été condamné à perpétuité pour avoir commandité le massacre des musulmans à Srebrenica -Les dédommagements et réparations Activité d’application n° 2 Consigne : complète le texte par les mots ou groupes de mots suivants : 1-les génocides/

serbes cherchèrent à “purifier éthniquement” le territoire afin d’éliminer toutes les populations non-serbes et d’allier ce territoire à la Serbie.Menée par le gouvernement de Slobodan Milosevic, président de la Serbie, l’armée serbe, dirigée par Ratko Mladic, commença de nombreuses offensives contre la population. Durant cette guerre, plus de 38 000 militaires de l’ONU sont envoyés sur place mais sans succès. Cette guerre opposant les bosniaques et les serbes dura plus de 3 ans. Le dénouement de cette

diverses : certains sont plus attentifs à son caractère d’introspection, voire d’autobiographie; d’autres lisent surtout le drame de l’exYouloslavie. Et comme un avis tout à fait négatif n’est jamais inutile, on en trouvera un en finale. Et Ana Mladic, la fille du général serbe, se tira une balle Lionel Duroy a une longue histoire avec la Bosnie. Il y a passé tout l’hiver 1993, en a ramené un livre, vingt ans avant L’hiver des hommes, tout juste paru. Il s’y intéresse depuis 1991. « Cette guerre