Ravage

ni d’enfants. Ils sont tous morts. Les églises sont toutes détruites Du vers 7 au vers 10 : « Plus de rires » et « Plus d’amour » signifie qu’il n’y a plus d’habitants. « Plus de toits, plus de greniers » signifie que toutes les maisons ont été ravagés. « Plus de vin, plus de chansons » signifie que le village est totalement mort. L’auteur se répète du vers 37 au vers 40. On pourra aussi dire que Jean Tardieu utilise une anaphore « Oradour » du vers 1 au vers 6 ainsi que du vers 33 au vers 40. Au

Waterloo s'est produite en 1815 en Belgique. L'auteur ne nous décrit pas Fabrice comme un héros épique qui réalise des exploits prodigieux mais comme un simple soldat plutôt rêveur et sensible au massacre de la guerre. A) Un paysage ravagé. - paysage ravagé, « labouré » l28-34-38 B) Mort omniprésente et affreuse - « Souffrance », « blessés », « agonie » l8-9, pleins de cadavres « jonchés de cadavres » l4 gros plan sur le cheval meurtri l30-35 dégoût. C) Guerre -} déshumanisation.

tôt, a fait des ravages pour l'essentiel parmi les populations urbaines, entraînant une pénurie d'artisans spécialisés, d'où d'importantes hausses des outils nécessaires aux paysans, qui sont fabriqués dans les villes. À ces problèmes démographiques et économiques s'ajoute, en 1356, la capture du roi, Jean II le Bon, et l'imposition par les Anglais d'une rançon énorme, que le royaume doit payer : la fiscalité s'appesantit d'un coup sur les ruraux. Poussés à bout par les ravages des bandes armées

Dany Laferrière raconte dans le livre, Tout bouge autour de moi, son témoignage du séisme qui a ravagé l’île d’Haïti le 12 janvier 2010. L’auteur est à l’hôtel Karibé de Port-au-Prince. Invité pour le 13 janvier 2010 par le festival littéraire « Étonnants Voyageurs » qui commence le lendemain : 12 janvier 2010 à 16 h53, un séisme de magnitude 7 fait trembler les murs et, en soixante secondes, ravage son île natale, occasionnant 250 000 morts. Écrit durant les mois suivants et publié une première

sa conception de l’existence humaine . Pour lui, chaque homme dispose d’un capital d’énergie vitale que le désir et la volonté détruisent peu à peu. Cette philosophie est le moteur de ce roman qui met en scène les ravages du désir et offre une peinture de la société tout entière du Paris des années 1830. En observant les divers protagonistes de la peau de chagrin , on peut se demander dans quelle mesure il est juste d’affirmer que

journaliste dans un quotidien de Moulins et il y rencontre un éditeur renommé qui lui propose une place de chef de fabrication à Paris. A cette époque, il collabore à divers journaux dont Le Merle Blanc et il entame la rédaction de son premier roman, Ravage qui paraîtra en 1943. Quand la guerre éclate, il la fait comme caporal cuisinier dans un régiment d'infanterie. Mais elle ne dure pas et il fonde à Montpellier un journal pour jeunes et publie dans la foulée sa série de romans extraordinaires

le noir qui nous renvoie à la mort, on ne sait pas quel parti prendre. En tant que spectateur, on est pris en étau et ni l'un ni l'autre ne nous paraisse un choix arrêté.... On ne peut détacher son regard de ce tableau, sûrement lié aux visages ravagés des deux vieilles. On peux remarquer que le titre que Goya donne à son œuvre « les vieilles » est aussi impitoyable que l'image, qu'il a perdu les usages. La vieillesse a rongé, érodé, redessiné ces femmes. Elle a même fait disparaître jusqu'à la

penser à "Ravage" de Barjavel, roman qui m'avait beaucoup marqué dans mon adolescence. On y retrouve le voyage dans un pays dévasté par les flammes, la peur latente de l'inconnu, la fin de la civilsation moderne, la recherche d'un hypothétique monde meilleur. On peut trouver également une similitude dans les fins des deux récits, où les auteurs prouvent chacun à leur manière, en faisant ressortir une sorte d'absurdité dans l'entettement de leurs héros (le patriarche de la fin de "Ravage", et le père

toute ça réalité. Il évoque les ravages de la guerre, des corps déchiqueté sont visible à droite. Sur un arbre à gauche, au dessus de tout les corps flotte un squelette embroché sur un débris de charpente, il montre avec son doigt les corps qui s'entassent plus bas. Pratiquement invisible a gauche de l'image il ne reste qu'un survivant, il porte un maque et une cape, sur le champ de bataille, il assiste à ce massacre impuissant. A l’arrière plan le paysage est ravagé par la guerre. Au fond de l’arrière

filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée ; Il avait pour asile, il avait pour appui Une blanche aubépine, une fleur, comme lui Dans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux ! Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus Comme le ciel et comme l'onde, Pour que dans leur azur, de larmes orageux, Passe le vif éclair de la joie et des jeux, Pour relever