Ravage

plusieurs descriptions et procédés stylistiques. D’abord, Lamartine est dans le deuil de la nature lorsque l’automne démontre ses premiers signes. Ensuite, il perd tout espoir en la vie puisque la nature est en train de mourir. Premièrement, les ravages causés par l’automne sur la nature plonge Lamartine dans un profond deuil puisque de voir disparaître la vie et la lumière le rempli de tristesse. D’une part, l’automne amène une telle obscurité que Lamartine pense qu’il voit la lumière pour la dernière

B - La Guerre de tranchée (1915-1918) Le front de l'ouest va de la Suisse ) la Mer du Nord, les offensives sont des percées, elles échouent les unes après les autres et sont très meurtrières : les canons, les mitrailleuses, les gaz faisant des ravages. La seule bataille de Verdun (1916) a tuée plus de 600 000 soldats. En 1917 de nombreux soldats de toutes les armées se révoltent devant cette "boucherie" : ces mutineries sont impitoyablement réprimandées.  C - La victoire alliée (1918) 1918

arrêter leur croissance économique. On pourrait aussi voir un événement majeur apparaitre bientôt : la disparition de la Russie en tant qu’Etat fort, car il y a une chute de la natalité, perdre 20 millions de personnes dans 15 ans, ravagé par l’alcool et le sida, économie ravagé par la corruption, fuite des cerveaux et armée en ruine. Les pays du golfe pourraient attirer grâce à leurs énormes investissements. 3ème tendance : Retour des Etat providence Retour des Etats nationalistes (surtout en Europe)

Parus en 1578 les sonnets pour Helene ont été ecrit a la demande de Catherine de Medicis qui souhaitait voir celebrer la beauté et la sagesse de l'une des demoiselles d'honneur ; Helene se Surgere. Il aborde le theme traditionnel du TEMPS et de ses RAVAGES, reflexion sur la PERENNITE. I-Une vision REALISTE et SYMBOLIQUE du temps qui passe. Pendant 12 vers : projection de la jeune femme et du poete dans l'avenir ( nbreux futurs v.1-3-5-9-10-10) le poete imagine ce qui adviendra a Helene et a lui

enchanteresse mais dévasté apparaît au vers 2, 3,4 : « Chio, qu’ombrageaient les charmilles ». on a des images de la guerre avec un champ lexical développé : « tout est ruines et deuil » ver 1. Un fort contraste entre la beauté de la nature orientale et les ravages de la guerre. L’Enfant grec apparaît au ver 8 et lui aussi comme la nature il a subi des blessures. b- La nature est cependant resté pure et renaissante on a « la blanche aubépine » au ver 11, on a « les feuilles sur le sol » ver 24, « lys » ver

retrouver Giuseppe, un de ses amis, qui se tiendrait aux alentours de Manosque. Lors de son périple en Provence, il découvre les ravages d’une épidémie ; le choléra. Malgré la peur et l’effroi envers la maladie, Angelo décide de se rendre quand même dans cette région. Il sera très vite confronté à de nombreux obstacles ; en partie l’horreur de cette maladie qui ravage tout autour d’elle, sauf lui. Pour survivre, Angelo se réfugie sur les toits de la ville de Manosque. Il y vit grâce à ses explorations

poète y décrit les saisons de sa vie : qui fut tantôt un été bouleversé par les intempéries, tantôt un automne morne et morbide, puis un printemps élans d’espoir et de rêve dévasté par un hiver glacial et destructeur. La jeunesse du poète est un été ravagé par les vicissitudes du temps ponctué par une alternance d’ombre « ténébreux orage » et de lumière « brillants soleils ». Cette alternance est métaphoriquement celle de l’espoir et du désespoir, des élans vers l’idéal et du poids du spleen. Il ne

dansant de jeunes filles.Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis,Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis,Courbait sa tête humiliée ;Il avait pour asile, il avait pour appuiUne blanche aubépine, une fleur, comme luiDans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux !Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleusComme le ciel et comme l’onde,Pour que dans leur azur, de larmes orageux,Passe le vif éclair de la joie et des jeux,Pour relever ta tête

Macbeth « Ô horror ! horror ! horror ! » L’île n’est plus qu’un « sombre écueil » où « tout est ruine et deuil », ce « n’est plus qu’un désert »… L’emploi du passé montre ici le découragement de l’auteur face à la guerre, mais aussi la cruauté des ravages faits par les hommes et la guerre. La Nature est détruite sans raison et cette dernière est victime de toutes ces abominations. Il ne reste des « palais », « charmilles », « grands bois », qu’une « blanche aubépine », ayant échappée par miracle

Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur ». La liberté d'expression souvent réprimée. ravages de la censure : les artistes ne peuvent pas critiquer le roi, le pouvoir; Les auteurs ne doivent pas s'exprimer ou alors qu'ils publient à l'étranger. Ex : Le roi s'amuse de Victor Hugo, représenté en 1832 à Paris est interdit le soir de la première représentation. Les ravages de la censure : prison, exil de nombreux auteurs comme Marot, Hugo, Mme de Staël .... Si les auteurs