Ravageur

de la même culture sur les mêmes parcelles plusieurs années de suite peut entraîner des effets négatifs par suite de l'épuisement de certains éléments nutritifs du sol et par le développement excessif de certains ennemis des cultures (parasites, ravageurs, maladies...). La monoculture peut aussi être une gêne pour la biodiversité, si une espèce choisie est développée dans des quantités trop importantes elle peut perturber un écosystème. On connaît les conséquences : maïsiculture intensive, utilisation

adjacentes car c’est un refuge pour les auxiliaires de culture puisqu’en protégeant un auxiliaire comme le reptile et son biotope on empêche la prolifération des ravageurs des cultures comme les mulots. Si les auxiliaires étaient peu présent, nous aurions recourt à l’utilisation de produits phytosanitaires pour lutter contre ces ravageurs. Ceci nous permet donc de limiter l’utilisation de pesticides. 2- L’intérêt d’une haie face au vent Pour un brise-vent efficace, il faut une perméabilité

doses suivantes sont recommandées (cf. : fiches techniques C.D.H.) Culture Fumure de fond / are Matières organique (en Kg) Engrais minéral (10-10-20) en kg Chou 200 – 300 2,5 – 3 Pour la protection de ces cultures contre les ravageurs Cultures Ravageurs Organes attaqués Dégâts Moyens de lutte Chou CHENILLES : les choux sont attaqués par plusieurs chenilles : -la teigne des crucifères -le borer du chou -le ver gris, etc… Feuilles Fruit (pomme) -dégâts très importants Perforations

possibilité de croisements entre les variétés de chaque culture - la possibilité de croisements entre les cultures et les espèces environnantes. 3 2/ Apparition d'insectes résistants aux plantes transgéniques Chaque culture a son principal "ravageur ", un insecte qui se nourrit inlassablement de cette culture et produit des dégâts plus ou moins gros. En France, le maïs a donc son ennemi : la pyrale du maïs, un papillon capable de créer une à trois générations par an suivant les régions. Jusqu'à

aspergée d’eau pour effectuer un premier rinçage. Les principaux types de ravageurs sont les rats et les insectes. Des mécanismes de lutte contre ces ravageurs doivent être installés par endroit à l’intérieur et aux entrées des locaux, particulièrement dans les endroits où les fruits doivent êtres stockés ainsi que les emballages. Des mesures internes et externes doivent être prises pour empêcher la pénétration des ravageurs à l’intérieur des locaux. Les insectes doivent être combattus à l’aide de

schématiquement en 5 étapes successives : 1 - Repérage d’un caractère intéressant dans un autre organisme vivant (plante, bactérie, champignon, ...) et identification de la protéine responsable de ce caractère, par exemple un composé toxique pour un insecte ravageur. 2 - Identification et isolement du gène correspondant à cette protéine. 3 - Intégration du gène dans un vecteur (autre ADN provenant d’un virus par exemple) afin de permettre le transfert de ce gène dans des bactéries où il sera multiplié en grand

dégager les prolongements pour laisser pénétrer la lumière à l'intérieur de la frondaison. Quinze à vingt minutes suffisent pour tailler un arbre adulte. V. MALADIES, RAVAGEURS ET PROTECTION PHYTOSANITAIRE Les maladies cryptogamiques comme la moniliose, l'anthracnose, le coryneum et plus récemment le verticillium ainsi que les ravageurs tels que les pucerons, les scolytes, les acariens et le capnode sont les principaux agents biotiques qui compromettent la production et la longévité des amandiers.

moyens pour lutter contre les parasites, les ravageurs et les plantes adventices. Les agriculteurs disposent de divers moyens de lutte phytosanitaire :  chimiques : pesticides, insecticides et herbicides  biologiques : utilisation d'animaux mangeurs comme la coccinelle, OGM Pour les cultures, les freins à la production sont les autres plantes qui se développent (plantes adventices) contre lesquels on peut utiliser des désherbants, les insectes ravageurs contre lesquels on peut utiliser des insecticides

pousser sur des terres assécher et limité l’utilisation de l’eau, résistant à des températures basses, aux virus et aux ravageurs tout ces avantages permettent un très grand rendement que l’agriculture biologique mais ces OGM sont invasives, elle peut réduire la biodiversité que ce soit la faune ou la flore, les gènes peuvent être transmis à cause de pollinisation et les ravageurs peuvent, peut-être, s’habituer à ces OGM et devenir beaucoup plus résistant même si ils permettront une meilleur productivité

; ils doivent avoir une période de repos végétatif (pendant les périodes de grand froid). Voilà qui constituaient donc un terrain de jeux parfait pour notre semeur de troubles, le scolyte. En effet, il forme une grande famille d’insectes dit «ravageur ». Ce sont des xylophages* de l’ordre des coléoptères. Ils ont sans doute étaient attirés par les hêtres malades et déshydratés qui émettaient des hormones de stress. Conséquence : L’attaque des scolytes Le développement larvaire et la