Raymond VII de Toulouse

1965). Sur la notion de lien de droit.- V. Pierre de L'Hommeau, Maximes générales du droict françois divisées en trois livres, Rouen, 1614, Paris, 1657 et 1665, max. 9 ; Antoine Despeisses, OEuvres.., Lyon,1665-1696, t. 1, p. 464, rééd. Toulouse, 1778 ; Gerhard Beseler, « Bindung und Lösung », Zeitschrift der Savigny-stifung für Rechtsgeschichte : Romanistische Abteilung, 51, Weimar, 1931, pp. 398-401 ; Gérard Sautel et Marguerite Boulet-Sautel, « Verba ligant homines, taurorum cornua funes

les siens. Les cultivateurs, les bourgeois même restèrent encore longtemps hommes de poest, hommes de puissance attachés à la glèbe, ainsi qu'ils le sont encore en plusieurs provinces d'Allemagne. Ce ne fut guè­re en France que du temps de Charles VII que la servitude fut abolie dans les princi­pales villes. Enfin il est si difficile de faire bien, qu'en 1778, temps auquel je revois ce chapitre, il est encore quelques cantons en France où le peuple est esclave, et, ce qui est aussi horrible que contradictoire

qui serait surpris manquant à ses devoirs, par action ou par simple consentement, serait coupable de perfidie et de parjure. 33. Charte de ROGER de BEZIERS (éd. dom J.J. de VAISSETE, dom C. de VIC et al., Histoire générale de Languedoc, éd. Toulouse, Privat, 1875, vol. V). Au nom du seigneur, moi, Roger de Béziers, je donne en fief mon château appelé Calamont, que je bâtis et fais bâtir dans mon comté du Razès, dans mon propre fief, avec les fortifications qu’il comporte et qui pourraient

marqués par les valeurs romaines. SECTION 3 : Le premier essai de la conceptualisation du droit. JUSTINIEN Ier est un empereur byzantin né en 482 et mort en 565. Il succède à son oncle. Il est le promoteur du Droit romain. J. CUJAS est né à Toulouse en 1522 et mort en 1590 de père artisan, il est un professeur de Droit considéré comme le père fondateur de l’histoire du Droit. Il enseigne à Bourges et à Valence et se rapproche des protestants. Il y a une analyse linguistique, grammaticale

bien dire il faut encore avoir une belle âme » Par ailleurs, sous l’ancien régime l’avocat commencé ses études très jeunes. A 15 ans il commençait une licence en art durant 3 ans. Puis il devait s’inscrire dans une université de droits romains : Toulouse, Orléans, Paris. Durant 6 ans l’étudiant apprend le droit et lui permet d’acquérir le nom de « maitre ». Vers 23 ans il va passer 10 ans dans un cabinet d’avocats à étudier des dossiers puis il va commencer à plaider « avocat plaidant » doté d’un

réseaux Présidence : Jean Charbonnel, ancien ministre et ancien maire de Brive 10h : Edmond Michelet et Charles Péguy, par Jérôme Grondeux, université de Paris IV-Sorbonne. 10h30 : EM et les Équipes sociales, par Pascal Bousseyroux, université Paris VII. 11h : E. M. et les associations de déportés, 1945-1958, par Olivier Lalieu, Mémorial de la Shoah. 11h30 : L’esprit œcuménique, par Jean-Dominique Durand, université Lyon III . 14h à 17h : Le ministre Présidence : Philippe Vial, Service historique

comtes de Poitiers, à la maison d’Auvergne, à celle de Toulouse et de nouveau aux Poitevins. A la mort de Guillaume X, sa fille unique Eléonore (ou Aliénor) épouse, en 1137, Louis VII, futur roi de France quadruplant ainsi son domaine. Elle lui apporte en dot le duché de Guyenne, le Perigord, le Limousin, le Poitou, l’Angoumois, la Saintonge, la Gascogne, la suzeraineté sur l’Auvergne et le comté de Toulouse. 15 ans plus tard, en 1152, Louis VII répudie sa femme, et Eléonore, outre sa liberté,

l’Aquitaine a éclaté en 2 entités : l’une autour du Poitou ou le comte Guillaume Tête d’Etoupe à pris le pouvoir en 934 et l’autre autour de Toulouse où le comte à mis la main sur la Gothie et a installé un des ses parents à Narbonne dès 922. Le lignage comtal a partagé la région en 2 comtés alliés : le Rouergue tenu par Ermengaud et Toulouse tenu par Raymond. Les autres principautés en Catalogne et en Gascogne sont moins abouties en raison des jeux de successions. La Bretagne se stabilise en un duché

comtes de Poitiers, à la maison d’Auvergne, à celle de Toulouse et de nouveau aux Poitevins. A la mort de Guillaume X, sa fille unique Eléonore (ou Aliénor) épouse, en 1137, Louis VII, futur roi de France quadruplant ainsi son domaine. Elle lui apporte en dot le duché de Guyenne, le Perigord, le Limousin, le Poitou, l’Angoumois, la Saintonge, la Gascogne, la suzeraineté sur l’Auvergne et le comté de Toulouse. 15 ans plus tard, en 1152, Louis VII répudie sa femme, et Eléonore, outre sa liberté, recouvre

On observe une structure à deux degrés : • Les consuls sont des magistrats qui vont exercer collégialement le pouvoir, leur nombre est très variable (2 à Uzès, 7 à Béziers, 24 à Toulouse,…). • On remarque l’existence d’un conseil de notables, dont le nombre de membres varie (24 à Carcassonne, 120 à Toulouse,…). La direction des consulats a une allure bicéphale : on remarque l’assemblée délibérante et les consuls chargés de l’exécutif et du judiciaire. Comme dans les communes, le choix