Rayon lumineux

Un faisceau de rayons lumineux parallèles à l’axe optique converge en un point F’ appelé foyer image. La distance OF’ = f est appelée distance focale. Le rayon lumineux passant par le centre optique n’est pas dévié. b) Foyer objet et distance focale Un faisceau de rayons lumineux provenant d’un point particulier F, appelé foyer objet, émerge de la lentille parallèlement à l’axe optique. La distance OF = f est appelée distance focale. Le rayon lumineux passant par le centre optique

comportement des rayons lumineux. L’hypothèse : Nous croyons que l’angle réfléchi sera égal à l’angle incident, car la loi de la réflexion le stipule. La théorie : Schéma général: Symboles i = rayon incident r = rayon réfléchi n = normale (perpendiculaire) au point d'incidence (o) i (avec accent circonflexe) = angle d'incidence r (avec accent circonflexe) = angle de réflexion • Les rayons lumineux respectent la loi de la réflexion, soit θi = θr. • Le rayon incident, le rayon réfléchi et

d’entité invisible inconnue (schéma 1 et 2) 2. A quelle époque la réponse actuelle à cette question est-elle apportée ? Quelle est cette réponse ? A quels savants est-elle associée ? C’est au XVIIe siècle que la théorie moderne soutenant que les rayons de la lumière se croisent dans l’œil et forment une image renversée de l’objet sur la rétine a été développée par Kepler et Descartes. 3. Parmi les propositions de la figure a, laquelle correspond à la conception actuelle ? Parmi les propositions

 absorbées.  Ce  phénomène  est  aussi  utilisé  pour  la  radiographie  :   les  rayons  X  non  absorbés  sont  recueillis  sur  une  surface  sensible  aux  rayons  X  :  les  zones  les  plus  sombres  sur  l’image   correspondent  aux  tissus  transmettant  le  mieux  les  rayons.     La  fibroscopie  utilise  le  phénomène  de  réflexion  totale  :

idées ! .La lumière : La lumière est constituée de particules élémentaires appelées "photons" et d'une onde électromagnétique ondulatoire. Ces photons sont projetés en ligne droite et à très grande vitesse à partir d'une source commune. Les rayons lumineux sont considérés comme des trajectoires de corpuscules (très petite matière). La vitesse de propagation de la lumière dans le vide est 299 792,458 km/s soit environ 300 000 km/s. .La densité : Formule : d = Pcorps / Pref avec Pcorps correspondant

de la réfraction : Le rayon incident est le rayon qui frappe le dioptre qui est une séparation des deux milieux de réfringences diverses. Là où ce que le rayon a frappé s’appelle le point d’incidence. Une normale est une droite irréelle qui est issue de ce point et de manière perpendiculaire au dioptre. L’angle entre le rayon incident et la normale se nomme angle d’incidence. Le rayon qui en est résulté est le rayon réfracté puisqu’il est dévié. L’angle formé entre ce rayon et la normale se baptise

(2 minutes) Le professeur prsente le dispositif (webcam relie un ordinateur reli un vidoprojecteur) puis montre lanimation flash EDUMEDIA. (2 minutes). On rappelle alors le modle du rayon lumineux vu au collge ainsi que les notions de source primaire et secondaire de lumire. Les lves doivent tracer le rayon lumineux. Au besoin on explique que la pice agit un peu comme un miroir pour aider les lves raliser la construction. (5 minutes) On verse ensuite de leau doucement dans la tasse. Les lves observent

n’est pas refractée mais réfléchie.C’est la reflexion totale. La première loi de Snell-Descartes Cette loi indique dans quel plan se trouve le rayon lumineux réfracté :Le rayon réfracté appartient au même plan que la normale et le rayon incident. La deuxième loi de Snell-Descartes Cette loi permet de déterminer l'angle de réfraction :Si un rayon lumineux passe d'un milieu d'indice de réfraction n1 à un milieu d'indice de réfraction n2, alors il existe la relation suivante entre l'angle d'incidence

situation est la réfraction : le rayon lumineux du faisceau est dévié de sa trajectoire originelle à cause du changement de milieu. Ce dernier, va influer sur la vitesse du rayon lumineux et l’angle avec lequel il a touché le dioptre sur le plan d’incidence ne sera donc pas le même que l’angle du rayon dit réfracté. Le deuxième phénomène pouvant intervenir est la réflexion : elle survient lorsqu’un rayon lumineux entre en contact avec une surface. Ce rayon lumineux est alors réfléchi dans toutes les

conditions entraînent la formation d’un gradient thermique positif et d’un gradient d’indice négatif, ce qui entraîne la courbure des rayons lumineux vers le bas. C'est pourquoi l’observateur voit l’image de l’objet au dessus de sa position réelle. C’est l’origine du nom de « mirages supérieurs ». Si le gradient thermique est plus important au dessus du sol, les rayons lumineux se retrouvent fortement déviés et l’objet se situe alors haut dans le ciel. Et si le gradient thermique augmente encore plus l’image