Reconnaissance de nullité du sacrement de mariage

qu’un seul empereur. C’est son fils aîné qui héritera du trône : Lothaire. Les autres fils recevront respectivement un royaume. L’idée est de conserver l’empire carolingien, sans bousculer trop les traditions. Charles le Chauve, issu d’un deuxième mariage, naît après 817. Sa mère le considère lésé : l’ordination imperi ne le prend pas en compte. Sa mère décide de lui constituer un empire, ce que les autres frères n’approuvent pas. Grosse bataille durant des années. Louis le Pieu meurt en 840. Bataille

manquait pas de partis à choisir. Pour arriver à ses fins, la mère Bovary fut obligée de les évincer tous, et elle déjoua même 24 fort habilement les intrigues d’un charcutier qui était soutenu par les prêtres. Charles avait entrevu dans le mariage l’avènement d’une condition meilleure, imaginant qu’il serait plus libre et pourrait disposer de sa personne et de son argent. Mais sa femme fut le maître ; il devait devant le monde dire ceci, ne pas dire cela, faire maigre tous les vendredis, s’habiller

transgresse la loi divine est infligée par Dieu lui même dans l’au delà. 
 Le caractère laïque dans deux types de règles coexiste: les règles religieuses et les règles de droit. Le mariage constitue par exemple un lieu indissoluble aux yeux de la religion chrétienne tandis que pour le droit il ne s’agit pas d’un sacrement mais d’une institution du fait que le droit autorise le divorce. Considérons le plaisir sexuel que l’Eglise considère comme un pêché capital (luxure) tandis que le droit le considère

peut considérer l’existence de pouvoirs unilatéraux, l’autorité implique une réciprocité, un échange de sens. Auctor, d’où dérive autorité, aurait signifié en latin « possédant le pouvoir d’imposer l’obéissance » : l’autorité suppose une forme de reconnaissance, d’adhésion, passant par un certain acquiescement de celui-celle qui la subit, ce dernier reconnaissant à son-sa détenteur-rice le droit de l’exercer. La subjectivité joue également un rôle plus important, la légitimité différant de la légalité

Elle est monothéiste, s’agit d’une religion du salut. Il s’oppose à la religion romaine. Les chrétiens vont refuser de participer au culte romain. Au départ, ils sont rejeter, pourchassé, persécuter surtout au III ème siècle. PARAGRAPHE 2 : LA RECONNAISSANCE OFFICIELLE DE L’EGLISE A. L’EDIT DE MILAN (313) (Voir document n°3). L’Empereur Constantin se convertit au christianisme. Il inaugure la paix de l’Eglise, il reconnait la religion comme licite et décide de rendre aux Eglises les biens qu’ils leur

cet enfant de devenir un citoyen libre (plus de respect du statut de la mère). => la cité qu’il a conçue est une cité totalitaire, les citoyens n’y seront pas forcément heureux car il n’y a pas de place pour la liberté ou pour la spontanéité. Le mariage y était obligatoire sous menace de sanctions pénales. Les citoyens ne pourraient pas se rendre librement à l’étranger, ils devaient obtenir une autorisation du conseil des sages. Après leur retour ils devaient enseigner à leur compatriote que les

sauf en cas de mariage. 2. Les cas de conflit des lois Si les deux parties ont le même groupe ethnique, c’est facile, mais si elles sont de deux nations différentes, il faut décider quelle loi va être utilisée. Pour ce, on détermine des critères, des règles qui tranchent en fonction de la nature du conflit, etc. Ce système mis en place vers les 6e et 7e s. se modifie puis disparaît au 9e s. pour plusieurs raisons : plus le temps passe, plus les races se mélangent (par mariage), plus les systèmes

Entre 15 et 20, l’écuyer accède à la chevalerie à la faveur de l’adoubement, rite où l’écuyer se fait appeler chevalier. A l’origine, cette cérémonie était purement profane mais l’Eglise en a réorienter le sens en faisant de cette cérémonie un sacrement. Cet esprit du chevalier, l’Eglise l’a pris en charge et a entretenu le chevalier dans une identité chrétienne. Ainsi le chevalier doit prier une nuit, et ensuite le chevalier reçoit une épée bénite et reçoit aussi ses éperons. Le chevalier s’engage

seigneur, qu’il est son serf, « en quelque sorte que sa personne lui appartient ». - 2ème élément : le formariage : le mariage des serfs est reconnu à l’église mais cela peut poser des problèmes pour le seigneur : quand les serfs se marient entre eux, cela ne lui pose guère de problème. En revanche, par exemple un homme libre (forgeron par ex) se marie avec la serf, le mariage reste valable pour l’église, mais imaginons que la coutume dise que la loi du père l’emporte, les enfants seront donc libres

Introduction Historique au Droit : Les institutions : c’est ce qui est établit par les Hommes par opposition à ce qui est naturel. Ex : l’acte sexuel: naturel MAIS le mariage est une institution ou encore, la mort: naturel MAIS la succession du patrimoine est une institution. Se sont les structures/formes fondamentales d’organisation sociale qui sont établies par la loi ou par la coutume d’un groupe humain. * Institut ere = établir quelque chose qui reste/DEMEURE