Récupération informelle des déchets

(Kenya, Kamalondo). L’exploitation artisanale du cuivre et du cobalt a lieu sur la commune Annexe, dans d’anciennes mines. Les commerces avec registres sont pratiquement inexistants. Les sources de revenus dans la ville sont donc essentiellement informelles, comme c’est souvent le cas dans les pays en développement. En 1960, la Gécamines générait à elle seule plus de 40% des revenus de l’Etat (O KAPI, 2009). Actuellement à Lubumbashi, la STL emploie 360 personnes (STL, 2010). Lubumbashi possède plusieurs

• Les ressources « naturelles » vont-elles se raréfier : ressource en eau (chapitre 3), ressources énergétiques fossiles (chapitre 4). • La « ville », où vit plus de 50 % de la population mondiale, pourrait être « invivable » avec ses quartiers informels, ses violences, ses pollutions, ses mobilités croissantes liées à l’étalement de l’espace urbanisé (chapitre 5). • Les activités humaines pourraient détruire des milieux convoités et fragiles : celui des mondes arctiques (chapitre 6) et des littoraux

marché cible (Douala et Yaoundé) des produits finis; disponibilité d’un terrain pour l’installation industrielle; disponibilité du service public d’approvisionnement en eau; disponibilité du système public d’égouts pour l’évacuation des eaux et des déchets solides; disponibilité et régularité des approvisionnements en électricité; disponibilité de cadres pour les postes qui nécessitent plus de qualification. En revanche, cette proposition ne couvre pas: • les infrastructures et les connexions nécessaires

vie s'est considérablement dégradé à cause de l'absence de systèmes efficaces de gestion des déchets urbains6 et industriels et des rejets de gaz dans l'atmosphère. A cela s'ajoutent la faiblesse du taux de raccordement à l'égout7, la couverture territoriale incomplète des réseaux d'égout et la vétusté des infrastructures, la mauvaise utilisation des réseaux par les populations, les rejets bruts de déchets vers les milieux récepteurs et l'absence de latrines dans certaines zones urbaines; - la gestion

Martha  Hinostroza   Les  bidonvilles  abritent  une  proportion  de  plus  en  plus  importante  de  clandestins  des   tiers  mondes.  Ils  sont  fait  de  matériaux  de  récupération.   D. La   ville   artificielle   ou   nouvelle   est   une   nouvelle   capitale.   Les   plans   ne   suivent   aucun  model  classique   -­‐ Crée  pour  équilibrer  les  réseaux

entre l’expressionnisme abstrait, l’abstraction lyrique et l’informel d’un côté. De l’autre côté on a l’abstraction construite, les monochromes mais aussi un débat autour des conceptions contradictoires de la sculpture : métal soudé, PAS de socle, déchet comme matériau versus les matériaux nobles utilisés pour la statuaire (marbre, bois, bronze). Encore ignorées du « grand public » de l’époque les débats sur ces sujets prennent place .Des galeristes, des collectionneurs, des critiques d’art se positionnent

programmes d’ajustement structurel Au premier chef, la situation des populations du Sud doit être examinée par la lunette de l’économie populaire et de la création de richesses en contexte de précarité : cette montée en puissance de l’économie dite informelle dans les pays du Sud a fini par interpeller de nombreux mouvements sociaux (syndicats, ONGD…) et la prise de conscience de la nette insuffisance de politiques macroéconomiques ont fini par questionner la communauté scientifique et les experts

régions de monoculture ( attention au maniement) BICÉPHALIE • Quand un pays est dominé par deux grandes villes. Ex : Le Caire/ Alexandrie, Casablanca/ Rabat BIDONVILLE • Forme d’habitat précaire caractérisé par l’emploi de matériaux de récupération et la forte marginalisation de ses habitants BIENS INTERMÉDIAIRES • Biens transformés servant à la fabrication d’autres biens, de consommation ou d’équipement BILAN RADIATIF • Différence entre l’énergie reçue et l’énergie émise

gestion des Déchets ANS : Adjusted Net Savings APD : Aide Publique au Développement APPE : Alliance Publique Privée pour l’Environnement BOT: Built Operate Transfer BTO : Built Transfer Operate CNDD : Commission Nationale du Développement Durable CPL: Collectivités Publiques Locales CPSCL : Caisse de Prêt et de Soutien des Collectivités Locales EIE : Etude d’Impact Environnemental FODEP : FOnds de DEPollution GIC : Groupement d’Intérêt Collectif GIDDS : Gestion Intégrée et Durable des Déchets Solides

hybride au garage, du café équitable dans les placards, le thermostat du chauffage bien réglé, des cartouches d’encre recyclées pour l’imprimante…, ce qui était autrefois un cliché, celui du consommateur écologiste triant consciencieusement ses déchets, caractérise aujourd’hui un segment de population de plus en plus important, partout dans le monde. Chacun se réclame du développement durable, chacun le cherche sans trop savoir ce qu’il signifie, ni ce qu’il implique concrètement, à l’image d’une