Redingote

c'est le coeur serré qu'il quitte à nouveau sa femme et ses deux enfants. Ses premiers pas dans ce pays sont plutôt difficiles… A mon arrivée à Durban, en Afrique du Sud, je me sens dévisagé par les personnes alentour. J’ai l’impression que ma redingote et mon turban déplaisent… En observant un peu le comportement des gens dans le port, je m’aperçois que les Indiens ne sont pas respectés et cela me blesse… Après avoir passé une semaine à Durban, je me rends à Pretoria par le train. Je m’installe

Dit qu’il ne doit plus voir ses amis ou famille + ne pas donner l’argent à son père + doit être mieux habillé devant les enfants et autres domestiques -> lui donne une de ses redingotes Julien impose son sérieux devant les enfants en récitant par coeur des pages de la bible en latin, tout le monde en était étonné —> le soir, tous les gens de la ville venaient pour voir « la merveille » , M de Rênal avait peur de se faire acheter

 aussi variés soient­ils, ont tous pour modèle  de base la mode Empire. Elle se caractérise par une taille haute, mettant en valeur la  poitrine, des jupes longues et droites et des petites manches ballons pour les femmes.  Les hommes en revanche, semblent troquer la redingote, bien que certains comédiens  continuent à la porter, contre un costume évoquant mieux la période (costume à braies  pour la Renaissance, armure de chevalier etc.).  Mais peu à peu, au fil du temps, les  costumes s’adaptent à la mode de l’époque (contextuelle de la pièce)

lyrique • Portrait physique du condamné  Jeune, sain et fort • Situation familiale  Marié et père d’une fille de 3 ans. Il a une mère de 64 ans • Situation sociale du condamné  Instruit, éduqué, appartient probablement à la bourgeoisie (redingote, …) • Crime commis  Crime de sang • Prénom de sa fille  Marie • Son amour d’enfance  Pepa • Figures de style  Des métaphores, des comparaisons, des antithèses, des hyperboles, des anaphores, des gradations, … • Lieu de l’exécution

apparaissent totalement opposés par leurs physiques antithétiques: « Le plus grand » et le « Plus petit ». Ils se distinguent également par leur allures et leur vêtements :  Le grand« vêtu de toile », « la cravate à la main » et le petit vêtu de « sa redingote », « baissait la tête dans une casquette ».  Mais, après quelques instants, les deux copistes se révèlent très semblables parce qu’ils s’arrêtent au milieu du boulevard, en même temps, font les mêmes gestes, ont les mêmes manies , font le même métier

dans sa loge, pour ne pas s'attabler seule avec tous les hommes qui mangeaient, à côté. La concierge raconta qu'elle allait à deux pas, rue de la Charbonnière, pour trouver au lit un employé, dont son mari ne pouvait tirer le raccommodage d'une redingote. Ensuite, elle parla d'un de ses locataires qui était rentré avec une femme, la veille, et qui avait empêché le monde de dormir, jusqu'à trois heures du matin. Mais, tout en bavardant, elle dévisageait la jeune femme, d'un air de curiosité aiguë

côté il éprouve de la peine envers lui à propos de son passé et compatie avec lui de ce qui lui arrive et c’est pour cela qu’après avoir entendu l’histoire de cet homme et parce qu’il est de force physique supérieure à lui, le narrateur échange sa redingote, contre la veste de ce monsieur.

progressivement un phénomène de société incontournable. La mode masculine La mode masculine est influencée à partir des années 1780, par l'Angleterre où de nombreux aristocrates vivent à la campagne et privilégient des vêtements pratiques comme la redingote le gilet court, les bottes de cuir. Les vêtements se simplifient sans pour autant cesser d'être ornés dans les fêtes officielles et à la Cour impériale. la mode masculine est toujours inspirée par le chic anglais : sobriété des couleurs et des

touches de couleurs vives qui parsèment le tableau, comme le vermillon des enfants de chœur et des bedeaux, le jaune cuivré du vase et du crucifix, les bas bleus, la culotte verte, la veste verte du fossoyeur, le gilet brun du révolutionnaire et sa redingote grise. Cela contraste avec l’évènement triste de l’enterrement. Cette œuvre s’inscrit dans la rupture et dans la continuité. Gustave Courbet représente une cérémonie de funérailles qui est un sujet ‘’trivial’’ sur une toile panoramique, alors que

disparaît à la vue des sous-sols. Remis par l’huissier au directeur, celui-ci est enfermé dans un cabinet en compagnie d’un autre condamné qui attend transfert à Bicêtre. Après avoir entendu l’histoire du vieux, le narrateur a échangé, par peur, sa redingote (habit de noblesse) contre la chemise abîmée du vieillard. Il est ensuite installé dans une autre cellule avec de quoi écrire. Il rédige alors une lettre pour sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et son amertume. L’attente de l’exécution