Réel, symbolique et imaginaire

L’identité est-elle une construction imaginaire ? On définit souvent l’imaginaire comme quelque chose d’irréel, qui n’existe que dans l’esprit d’une ou plusieurs personnes –bien que l’on pense qu’il agit d’une manière certaine sur nos actes. L’identité quant à elle se définit souvent par la reconnaissance de ce que l'on est, par soi-même ou par les autres. Les questions que l’on pourrait se poser, sur « l’identité est-elle une construction imaginaire ? », sont les suivantes : Peut on vraiment

d’accéder au registre imaginaire c’est-à-dire que l’image qu’il voit dans le miroir, c’est la sienne, c’est son propre corps. Le stade du miroir est le temps de l’élaboration du Moi qui est la forme primordiale de toute identification imaginaire. A travers, une illustration clinique, l’auteur nous explique qu’une carence survenue lors de ce stade peut engendrer une psychose. Lorsque l’enfant dispose de l’Idéal du Moi, il a accès au registre symbolique, à une identification symbolique, hors miroir et il

force sur quelqu’un ou quelque chose, et violentus, abus de force. L’étymologie nous renvoie donc à deux concepts bien différents : aller vers ou agir de force. « L’agressivité c’est " l’ensemble des tendances qui s’actualisent dans des conduites réelles ou fantasmatiques, celle-ci visant à nuire à autrui, à détruire, à contraindre, à humilier ». (Pontalis, 2008) L’agressivité s’agit toujours d’un mélange de plaisir, d’érotisation, donc de libido avec une volonté d’attaquer l’objet (sadisme)

situe essentiellement au niveau symbolique - Il n'y a pas à proprement parler, dirons-nous, de symbolisation du sexe de la femme comme tel. - L'accès de la femme au complexe œdipien, son identification imaginaire [finalement en tant que femme], se fait en passant par le père, exactement comme chez le garçon, en raison de la prévalence de la forme imaginaire du phallus - 199 - [Mais] Le fait ne peut s'interpréter que dans la perspective où c'est l'ordonnance symbolique qui règle tout. 1955/56

antérieurs à ceux du temps présent.Il represente egalement une histoire symbolique, simple et frappante qui se caractérise par le fait qu’elle possède une forme narrative, l'action des personnages s'inscrivant dans un déroulement chronologique précis. Passé dans le latin"mythos" signifie "fable, mythe" Dans le langage courant il est un récit fabuleux transmis par les traditions qui met en scène des êtres incarnant, sous une forme symbolique, des forces de la nature, des aspects de la condition humaine; il

constitué de 3 registres : Imaginaire, Symbolique & Réel. On peut comprendre ces registres qu’en les observant les uns par rapport aux autres mais ils sont interdépendant. - IMAGINAIRE : C’est le registre du leur & de l’identification. L’imaginaire n’est pas une fantaisie. Lieu des illusions du Moi. - SYMBOLIQUE : C’est l’ordre du langage & le signifiant. Supporté par la fonction paternelle qui est le nom du père. - REEL : Produit par le symbolique & correspond à ce que

désigne l’homme-mari comme Père lorsque sa femme-mère des enfants l'approuve. Le père dans la transition freudienne : Après le père de la Horde, la Loi des fils : Le père séparateur incarne la Loi, instaure les tabous, incarne une nouvelle menace symbolique structurante pour l’enfant (séduction, identification,…). Le père moderne : Il est un figure auxiliaire (qui aide la mère accessoirement ou temporairement) Le mariage homo, l’insémination, l’adoption, la mère porteuse, le mettent en mode «

© ERES 84 • Essaim n° 15 « Sarrasine, porteur d’un pénis mal assuré pour ne pas l’avoir reçu deux fois, ne peut que le remettre en question sitôt que confronté, dans le réel, à un homme amputé chirurgicalement du sien. Sarrasine est frustré de la castration symbolique et cette confrontation à la castration réelle ne peut que produire l’angoisse de la subir aussi 4. » 2. 3. 4. Barthes donne comme exemple le fameux propos de Pascal dans le Mémorial : « Tu ne me chercherais pas si

du mal, Révolte et La Mort. Tout d'abord, le poète introduit son œuvre à l'aide d'un poème intitulé « Au lecteur » qui fait augure de prologue. Cette structure renvoie à son parcours, ses idées : spleen et idéal représente un constat du monde réel d'après le point de vue de l'auteur. « Tableaux parisiens », « Le Vin » ainsi que « Fleurs du Mal »en témoignent, puisqu'il s'agit d'une succession de réponses qu'il essaie d'apporter à sa première partie étant « Spleen et Idéal ». Le poète se plonge

dangereuse ce qui lui provoque de l'angoisse. Lacan expose la situation en disant que la mère est symbolique et est le premier élément symbolique pour l'enfant qu'elle soit présente ou non. Quand elle refuse l'amour du petit hans, la compensation est trouvée dans le sein réel par écrasement sur la satisfaction réelle, la mère devient un élément réel toute puissante qui refuse son amour. L'enfant n'est pas imaginaire mais le désir du phallus de la mère. Deux introduction d'élément réels sont venus compliqués