Réforme agraire

peintre gothique et pionnier des prémices de la renaissance. A 19, il réalise des portraits, compositions religieuses, décorations murales, cartons de vitraux et des gravures principalement sur les thèmes religieux pour la bourgeoisie. Fuyant la Réforme protestante, il quitte Bâle, haut lieu de l’humanisme et la ville dans laquelle il résidait avec sa famille, pour Londres en 1526. Grâce à l’aide d’Erasme, ami de longue date, il va travailler pour un de ses amis : Thomas More, humaniste et homme

religieuse de l'Occident, une nouvelle vision du monde apparaît. Ceci se manifeste par une curiosité intellectuelle due à la redécouverte de l'Antiquité. L'Homme redevient le centre des préoccupations comme chez les Anciens. L'Humanisme prépare ainsi la Réforme protestante qui divisera la chrétienté et la Renaissance qui transposera dans l'art la pensée des humanistes. Tous les philosophes sont conquis et ainsi la majorité des artistes se convertissent à l’Humanisme. Ce mouvement a tant de succès que de

s'établissent en Amérique. Plusieurs colons espagnols émigrent et exploitent les richesses sur place. La main-d’œuvre constituée d'esclaves noirs robustes et résistants représentent une amélioration dans le rendement du travail. Par ailleurs, la Réforme soulève un mouvement de pensé, chez certains peuples, qui préoccupe les monarques : le nationalisme. « [...], les monarchies en pleine ascension aimeraient bien soumettre l'Église à leur autorité, afin d'assurer l'obéissance de leurs sujets. »[2]

renforcer jusqu'à l'arrivée de la monarchie absolue réalisée par le roi Louis XIV (1643-1715). Du coté religieux, après les troubles des guerres de Religion, l'Église catholique essaie de susciter une hausse de ferveur. Les jésuites mènent la Contre-Réforme catholique contre les protestants. Tous les arts sont mis au service de la propagation de la foi. Des architectes, comme le Bernin (1598-1680), construisent des églises somptueuses.

(triomphe du classicisme). Contexte historique : Le baroque naît en Italie à Rome, Mantoue, Venise et Florence et se développe partout en Europe dans le contexte religieux de la Contre-Réforme : dès la fin du XVIème siècle, l'Eglise catholique, sous la conduite des Jésuites, tente de réagir contre la Réforme protestante (Calvin, Luther... Vous vous souvenez ?), en proposant une représentation de la religion grâce aux arts ; l'esthétique qu'ils feront évoluer correspond justement au "baroque".

où est enfin publiée sa traduction du nouveau testament qu’il a mit 12 ans à traduire. Et enfin de 1514 à 1530 Erasme voyage à travers toute l’Europe. Durant cette période il est contre les idées de Luther (moine, théologien qui a influencer la réforme protestante) , car il reste fidèle à l’église catholique et il publie des écrits contre lui comme « le libre arbitre » en 1524. Il est mort à Bâle en 1536. Erasme est donc le prince des humaniste par son grand érudisme et ses nombreux écrits, son

protestants la liberté de conscience et l’autorisation de célébrer librement leur culte religieux, mais suite a cette édit il se fait assassiner le 17mai 1610 par François Ravaillac qui est un fanatique du catholicisme et qui est en désaccord avec les reformes religieuses dont le roi a fait preuve. Le protestantisme se nomme aussi le christianisme protestant, il réunit diverses églises (luthérienne, réformées, anglicanes,…) qui rassemblent trois affirmations fondamentales qui sont l’autorité souveraine

L’art baroque* valorise le mouvement, la ligne courbe, l’inconstance, la démesure, l’illusion ou le mystère. Il est en tout cela conforme à l’esthétique que préconise la Contre-Réforme catholique, prenant le contre-pied de la Réforme protestante, qui est bien plus austère, en général. Certains critiques voient dans le développement de l’art baroque* le signe de la crise que traverse cette époque. Sortant à peine des guerres de Religion, la France se trouve, en effet, encore soumise aux révoltes nobiliaires

l’histoire de l’art. II.Le rayonnement du Baroque. A.Le contexte historique. Les 1ères manisfestations du Baroque sont apparues à Rome à la fin du XVIème siècle. Le Concile de Trente, pour réagir conte la réforme protestante, veut donner une grande place au culte catholique (c’est la Contre-Réforme) et favorise pour cela l’art religieux. Au XVIIème siècle, l’Europe connaît des difficultés économiques : guerres, famines et épidémies. Mais les puissances monarchiques veulent des demeures somptueuses

prononcée par l’officiant. Les troupes du duc étaient des mercenaires espagnols (le roi Philippe III d’Espagne était le cousin du duc) ou italiens. L’installation de la réforme calviniste à Genève 12 fit d’Annecy, par contrecoup, le nouveau siège de l’évêché, et de la Haute-Savoie, une place forte du catholicisme, de la Contre-Réforme, de l’art baroque, de la démocratie chrétienne. La débâcle napoléonienne a forgé la place du canton de Genève dans la Suisse moderne. Genève est rattachée à la Confédération