Refoulement

santé mentale devrait avoir une grande part du «moi». La personne utilise également divers mécanismes de défense pour se protéger inconsciemment contre des idées ou des émotions qui pourrait provoquer l’anxiété chez elle. Les mécanismes sont le refoulement, la régression, la rationalisation, le déplacement, la projection, la formation réactionnelle, le déni et la sublimation.

fois un certain nombre de données, d’informations, d’injonction tenue hors de la conscience. Mais y englobe aussi l’ensemble des processus qui empêche certaine données de parvenir à la conscience, et permettent aux autres d’y accéder, comme le refoulement, le principe de réalité, le principe de plaisir, la pulsion de mort. Freud considère l’inconscient comme l’origine de la plus part des phénomènes conscients. Dans sa première théorie, Freud distingue trois instants : L’inconscient, le préconscient

pour évacuer sa frustration. La Projection Attribuer à une autre personne son propre comportement inacceptable. La Formation Réactionnelle Adopter des comportements contraires à nos réelles pulsions et envies pour éviter de les accepter. Le Refoulement Empêcher l’accès aux pensées douloureuse et menaçante dans le niveau conscient. L’Intellectualisation Utiliser des concepts ou des mots pour ignorer les aspects émotifs d’une expérience douloureuse. L’approche behavioriste Le concept behavioriste

conscient et l’inconscient. (violent désir en contradiction avec le moi). A la suite de ce conflit, le refoulement s’effectue afin de protéger la personne psychique. Ce désir refoulé continue à exister dans l’inconscient et est remplacé par son substitut dans le conscient auquel s’attachent toutes les impressions de malaise. Il peut apparaitre sous la forme d’un symptôme physique. Le refoulement est le processus d’oubli de scènes pathogènes ainsi que la résistance à leur rappel au conscient. Le but

correspond au caractère de la névrose. Le traitement cathartique empêche la sujétion des malades au passé. Breuer élabore une théorie selon laquelle les symptômes hystériques auraient été provoqués durant des états d’âme spéciaux, dit hypnoïdes. Le refoulement des événements traumatiques dans l’inconscient du malade disparaît, et les scènes refoulées passent de l’inconscient à la conscience. Le malade se libère alors de ses émotions refoulées, le rappel, la réminiscence des scènes qui l’ont traumatisés

conscience, mais ils se différencient des contenus de l'inconscient en ce qu'ils restent accessibles à la conscience.   L’inconscient : L'inconscient contient le pôle pulsionnel de la personnalité dirigé par le principe de plaisir. À l’aide du refoulement, les processus mentaux sont maintenus hors de la conscience. Par ce fait, l'inconscient est tous les processus mentaux qui échappent à la conscience. Le conflit menant à l’angoisse : Au départ, il faut savoir que l’angoisse est une réaction

concourent à la formation d'un but intermédiaire, d'un compromis. Il n'y a dans ce système ni négation, ni doute, ni degré dans la certitude. Tout cela n'est introduit que par le travail de la censure entre Ics et Pcs. La négation est un substitut du refoulement à un niveau supérieur. Dans l'ics, il n'y a que des contenus plus ou mois fortement investis." " L’inconscient est pareil à un grand cercle qui enfermerait le conscient comme un cercle plus petit. Il ne peut y avoir de conscient sans stade antérieur

symptomatiques et accidentels Dans la pensée : * souvenirs * superstitions Trois axes : mécanismes qui participent à la production de ces formations de l’inconscient * Processus primaires : déplacement et condensation. * Le refoulement et la levée du refoulement (retour du refoulé) * formation de compromis Forces à l’œuvre : * détermination, surdétermination * désir inconscient * la résistance Dimensions mobilisées * mémoire, souvenir * temporalité * réalité psychique * langage

contient aussi des idées et des désirs refoulés (empêchées de "remonter" vers la conscience par la force du refoulement) ; le conscient, qui ne peut pas apercevoir ces idées tant qu'elles demeurent dans l'inconscient ; enfin le préconscient, qui contient les pensées latentes, c'est-à-dire celles qui sont susceptibles de devenir conscientes, celles qui ont pu franchir la censure (ou refoulement) pour accéder à cette "zone" accesssible à l'attention de la conscience. En 1920, Freud établit une seconde

commentaire de texte a été rédigé par une élève (corrigé complet). Texte étudié «Une violente répression d’instincts puissants exercée de l’extérieur n’apporte jamais pour résultat l’extinction ou la domination de ceux-ci, mais occasionne un refoulement qui installe la propension à entrer ultérieurement dans la névrose. La psychanalyse a souvent eu l’occasion d’apprendre à quel point la sévérité indubitablement sans discernement de l’éducation participe à la production de la maladie nerveuse, ou