Refoulement

l’inconscient » Schéma n°1 Censure : interdit aux désirs et contenus inconscients d’accéder aux sujets préconscients et conscients  Origine du refoulement Passage de l’énergie : Direction progradiente : Inconscient  Conscient Régression topique : Conscient  Inconscient L’inconscient est constitué par le refoulement La 2ème topique (1923) 3 « instances » : ça-moi-surmoi Ça : Instance de 1er dans le développement de l’homme, pôle pulsionnel de la

On le voit ici très clairement : l’hypothèse de l’inconscient telle que la formule Freud n’est, pour Sartre, pas tenable sans affirmer qu’au moment du refoulement on sait ce qu’on tente d’oublier. On pourrait croire que ce n’est finalement qu’une question technique, un débat de spécialiste. Mais en fait les enjeux de ce problème sont plus importants qu’on ne pourrait le penser. En effet, derrière le déterminisme

approfondit la représentation du psychisme. La technique de la cure, dès 1898 et d'abord sous la dehors de la système cathartique, avec joseph breuer, puis le suites de la cure type, est le vital montant de la psychanalyse. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de moi et d'idéal du moi, ou davantage métapsychologiques à l'exemple de les pulsions, la première topique et la assesseur topique, le complexe d'Œdipe ou le complexe de castration, parmi autres, vont, peu à peu, étoffer

contient aussi des idées et des désirs refoulés (empêchées de "remonter" vers la conscience par la force du refoulement) ; le conscient, qui ne peut pas apercevoir ces idées tant qu'elles demeurent dans l'inconscient ; enfin le préconscient, qui contient les pensées latentes, c'est-à-dire celles qui sont susceptibles de devenir conscientes, celles qui ont pu franchir la censure (ou refoulement) pour accéder à cette "zone" accessible à l'attention de la conscience. En 1920, Freud établit une seconde

écarté, mais que dans certains cas on réussit à rendre son activité inoffensive par le passage dans le conscient. Donc, la prise de conscience, que l'ancienne éthique sociale considère comme un danger capital, Freud l'envisage comme une remède ; le refoulement qu'elle estimait bien faisant, il en démontre le danger. Ce que la vieille méthode tenait à mettre sous le boisseau, il veut l'étaler au grand jour. Il veut identifier au lieu d'ignorer, aborder au lieu d'éviter, approfondir au lieu de détourner

Plus la censure est sévère, plus la déformation du désir devra être grande. Selon Freud, les névrosés souffrent du refoulement. Leurs troubles jouent un rôle de compromis : ils leur servent à se protéger (plus ou moins efficacement) des effets du refoulement (Freud montre en effet que toute libido refoulée se transforme en angoisse) et en même temps à maintenir ce refoulement. Car une des conditions essentielles de la névrose est que le malade ne sache pas ce qu’il refoule, c’est-à-dire ignore

défense du moi et provoquant le refoulement ». Ce dernier, est l’une des formes de la résistance. Celle-ci se définit « comme l’ensemble des actions ou des paroles de l’analysé qui s’opposent à l’accès de son inconscient. » Richelle. Elle est considérée comme un véritable obstacle à l’élucidation des symptômes. De plus ses mécanismes sont très proches de ceux mis en œuvre dans le refoulement. Comme le dit Freud dans Introduction à la psychanalyse, « le refoulement est un processus pathogène qui se

pulsion d’Éros et celle de Thanatos. Ces deux pulsions sont en opposition constamment. Éros est la pulsion d’autoconservation et celle de thanatos est celle de destruction. Dans l’inconscient il y aussi le refoulement qui est un mécanisme de défense qui repousse dans l’inconscient. Le refoulement est fait de façon inconsciente automatique. Ceci nous protège contre les pulsions menaçantes. La deuxième topique freudienne est la théorie dynamique de la personnalité. Il y a le Ca, le Moi et le Sur-Moi

contient aussi des idées et des désirs refoulés (empêchées de "remonter" vers la conscience par la force du refoulement) ; le conscient, qui ne peut pas apercevoir ces idées tant qu'elles demeurent dans l'inconscient ; enfin le préconscient, qui contient les pensées latentes, c'est-à-dire celles qui sont susceptibles de devenir conscientes, celles qui ont pu franchir la censure (ou refoulement) pour accéder à cette "zone" accesssible à l'attention de la conscience. En 1920, Freud établit une seconde

mécanisme de défenseA. Le refoulement, gardien de la conscience1 - Désirs incompatibles avec les exigences morales, Freud : Freud montre que l’existence humaine est traversée par un puissant conflit au sein duquel des pulsions opposées luttent les unes contre les autres : alors que le « ça » impose à l’homme ses désirs, le « surmoi », portant l’intériorisation des interdictions morales et familiales, censure les pulsions du « ça ». Cette censure se nomme « refoulement » : les désirs incompatibles