Regard caméra

Nous allons commenter un le chapitre 6 du romans le rouge et le noir . I ) Le jeu de regard entre les personnages . Lors de la première rencontre , Stendhal a choisi de se focaliser sur le jeu de regard qu'il y a entre les deux personnages qui est souvent une des première étapes du jeu de séduction , c'est une façon d'analyser et apprendre l'autre sans qu'il n'y ai de dialogue échanger , le regard joue un rôle important lors de la première rencontre pour les futurs amoureux. Le champs

Le regard plein de sous-entendus du dealer est vécue par le promeneur comme une souillure :" sachez que ce qui me répugne le plus au monde c’est le regard de celui qui vous présume plein de plaisirs illicites et familier d'en avoir." C'est l'occasion de superbes mises au point sur le regard. Page 22 : " Si toutefois je l’ai fait, sachez que j'aurai désiré ne pas vous avoir regardé. Le regard se promène et se pose et croit être en terrain neutre et libre, comme une abeille dans un champ de

toucheriez pas ! Aboya Louis. -Je ne t'ai pas touché. Si tu as des problème de vue, cela ne me concerne pas. Mais, ta tête était sur mon épaule. -Qui me dit que vous ne m'avez pas mis là !? Répliqua-t-il avec hargne. Le bouclé se contenta de lui jeter un regard ennuyé en observant les joues rougies par l'outrage. Ce petit morveux lui rappelait les femmes de l'ancien temps qui se devaient de protéger leurs vertus contre les hommes sans foi ni loi. -Je ne m'intéresse pas aux gamins. Expliqua-t-il. -Hier

Sonobservation attentive, son implication rigoureuse nous invitent à la plus grande proximité avec cette expérience. Il atteste que seul l'engagement de chacun dans un projet thérapeutique d'équipe peutgarantir l'espace du soin. Chaque fois qu'un regard, qu'un geste trouve une adresse, une ouverture symbolique émerge, tel est le témoignage d'espoir clinique que l'auteur propose à notre attention.Au départ, il s'intéressait aux personnes autistes, il avait le désir de vérifier quelle mesure serait

essayer de les séduire, de plus il parle en souriant. Il montre son assurance « proclama bien fort ». on peut comparer Duroy a un avocat qui « plaide pour une cause, sa cause. ». Les femmes sont complices avec Duroy. Mais leurs échanges se font par le regard « contemplaient » et aussi par le silence. L’oxymore (l 27) : elles avouent, par le silence, leur culpabilité.

par un comportement. Il est possible de distinguer : La posture  Position du buste, des jambes, des bras… La gestuelle Mouvements des mains pour renforcer nos idées, traduire un comportement de défense. Le regard et sa mobilité Regard direct pour montrer l’intérêt, regard fuyant pour montrer sa gène. Les mimiques du visage Le sourire pour une marque de sympathie. Un froncement de sourcil pour dénoter l’incompréhension.

les jeux de séductions ainsi que leurs succes. Premièrement, les trois héroines sont présentées comme des figures féminines puissantes à travers les yeux du narrateur. La description de chaque femme rassemble le point commun de la divinité sous le regard d'un homme qui est donc le narrateur dans le but de les décrire à travers les yeux masculins. Chacune d'entre elles portent une tenue provocante dans les tons du rouge "un jupon rouge fort court" dans le texte de Mérimée ; "la plume rouge de son chapeau"

batelier » (v. 2). Ce dernier célèbre l'apparition de « sept femmes » aux « cheveux verts » (v. 3‑4). Effroi du poète : il tente de conjurer leur puissance maléfique en s'entourant de jeunes filles ordinaires, « blondes » (v. 7), inexpressives (« Au regard immobile », v. 8) et sages (« aux nattes repliées », v. 8). Progression dans l'ordre de l'étrange et de l'inquiétant. Le poète découvre l'ivresse du fleuve lui‑même, le chant du batelier est associé à un thème de mort. L'éclatement inattendu du

sont éphémères puisque seule la photographie les peut reconstituer. Son outil principal est aussi l’anamorphose : C’est en fait un mode de figuration éclaté dans l’espace où les éléments peints ne peuvent qu’être reconstitués si on les regarde d’un certain point de vue, qui correspond à l’emplacement de l’appareil photo. Sa technique implique l’utilisation d’: Une chambre (grand appareil photo) De l’argentique («obtention d'une photographie par un processus photochimique comprenant

déplacement dans la ligne droite. Le miroir empêche la reconnaissance et projette de fausses perspectives: loin de refléter la sincéritéet la vérité, il en signale le détournement. Il est pour Duroy le signe d'une dépossession, d'un décalage entre le regard et la réalité de son objet. Combien de fois le miroir trompe Duroy dans son parcours! Chez Forestier d'abord, où «en s'apercevant dans la glace, il ne s'était pas reconnu; il s'était pris pour un autre» (p. 50), puis chez Walter, où «il se trompa