Registre généalogique

à des didascalies au théâtre, notamment l.47-48 : « Elle recula et se dirigea vers la porte de la salle ». b) Le lieu peut être comparé à la scène, le dialogue se terminant lorsque le personnage sort. c) Très forte dramatisation liée au registre pathétique employé dans le discours de Kouame  avec le champ lexical de la mort violente : « le sang a coulé » « mort », « mains épuisées », « tête décapitée », « piétinée » l. 37 à 39 qui donne une force à l' évocation, proche du procédé de l'hypotypose

exclusivement tournée vers l'amour, Paul veut rejoindre Virginie. Ce texte appartient au registre pathétique. Une des caractéristiques essentielles de cet extrait est l'action. La persévérence et la rage de Paul sont également essentielles à cet extrait. Madame Bovary est cette fois du courant réaliste, toutes les femmes malheureuses en ménage peuvent s'identifier à son personnage. Cet extrait appartient au registre tragique. Les caractéristiques essentielles de cet extrait sont la passivité de madame

dépréciatif de la mort, elle veut en finir. A de nombreuses reprises elle fait référence à Dieu, la religion s’inscrivant dans un registre fantastique « Laisse-moi: je frémis! Dieu! C’est ce monstre encore! », « Le ciel a pris ta cause; il te venge d'une injure que tu as ignorée. C'est lui qui a lié ma langue et retenu mes paroles » étant très croyante, intègre. Le registre tragique apparait avec le destin fatal, la mort prochaine : « Je meurs, et personne ne pleure sur moi. Toute consolation m'est

les jours sont courts" " il fait bien froid " .Tous ces éléments, désolants contribuent à rendre le sort misérable de la jeune Melancholia. Le poète sensibilise le lecteur au sort de la jeune fille a travers un registre pathétique présent dans le poème. Il s'agit d'un registre mettant en scène une expression de le souffrance en vue de provoquer chez le lecteur une émotion vive comme la douleur ou même la compassion. Dans ce poème, l'émotion que cherche l'auteur à susciter chez le lecteur est

l'explication du texte et sous parties : I) Description de la guerre Description du champ de bataille (Champ lexical d'une armée, Point de vue omniscient puis interne. Il y a de la description : imparfait, plus que parfait.) Mélange des registres (Il y a le registre pathétique, un oxymore, une hyperbole et une exagération). Le parallélisme (construction rigoureuse, logique de l'organisation des deux camps de cette guerre). II) L'ironie prépondérante Les figures de styles spécifiques à l'ironie

conduit Candide à l’arrière où il va découvrir les effets de cette « boucherie héroïque » sur les populations civiles. La dénonciation prend dans la deuxième partie du texte la forme d’une vision réaliste de l’horreur. Premièrement, Voltaire exprime le registre ironique dans le but de critiquer la cruauté de la guerre. Les termes employés dans la première partie du texte nous montre qu'il se moque de la naïveté de Candide, donc du point de vue qu'il adopte pour qualifier la guerre. La description de la

romans (Madame de Montpensier, Zaide). Elle a écrit La Princesse de Clèves en 1678 sous le règne de Louis XIV. Problématique: En quoi, dans cet incipit, le récit historique fait-il place à une intrigue amoureuse ? I- Un roman historique    A- registre pathétique Dès la 1ère phrase ( 2 effets de réel viennent ancrés le récit dans l’histoire (« En France ; Henri II ») ( semble introduire une rétrospective historique (« Cœur des Valois ») Madame de la Fayette s’applique à faire revivre une période

retournement de casque : objet épique par excellence. RAPPEL : - Registre épique : registre qui cherche à provoquer l’admiration du lecteur à travers le récit d’exploit. Ici la casquette n’est pas que le diminutif du casque. Si la visière brille, ce n’est évidemment pas la gloire. - Registre burlesque : consiste à traité sur un sujet noble de façon triviale (ex : la guerre) - L’héroï-comique : est un registre qui consiste à traiter sur un mode grave et sérieux

CAPACITE : MAITRISER L’ORAL 1-1- écouter ses interlocuteurs avec une attitude attentive perceptible 1-2- articuler son propos à haute et intelligible voix 1-3- s’exprimer par phrases construites et non par bribes ou monosyllabes 1-4- choisir un registre approprié au sujet et/ou aux interlocuteurs 2-1- demander des précisions ou renseignements sur un sujet donné 2-2- répondre avec clarté à des questions posées sur un thème connu 2-3- lire un texte à haute voix avec ton et débit adéquats 3-

apparaît même une certaine forme de honte chez eux : « La femme n’osait toujours pas relever la tête » mais c’est l’incompréhension qui domine : « éberlué », « Ce noir n’avait encore, semblait-il, jamais vu de boutique, ni de blancs peut-être. » Le registre du passage est ambigu, constitué à la fois de comique et de mélodramatique. Le processus de transformation en victime est mélodramatique, le lecteur prend pitié du récolteur même si le narrateur se place du coté des colons : « notre gratteur ». La