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Critique littéraire La triste histoire du fou du village Comme plusieurs d'entre nous, j'ai été dans l'obligation de lire les <<Contes et légendes du Québec>> dans le cadre de mon premier cours de littérature au cégep. Parmi tout ces textes québécois, un des contes m'avait particulièrement plu et, c'est pourquoi, je tenais aujourd'hui à vous en faire part. Ce conte, publié pas Honoré Beaugrand en 1892, s'intitule <<Macloune>>. Ce récit est l'histoire du fou du village

proche de la grotte du magicien). - un lieu mystérieux (cf. champ lexical de l'obscurité, à citer), peut-être funeste car il semble infernal (affreux séjour, commerce des ombres, large bouche, mur invisible, mille morts) : ces éléments installent un registre fantastique qui sera poursuivit avec la description du mage. - un lieu dangereux : Défense formulée à l'impératif  N'avancez pas... v 7 +  Avertissement donné à Pridamant  v 8, v 14. - un lieu image d'une salle de théâtre : faux jour (= les chandelles)

comique, pourquoi la situation finale est opposée à la situation initiale, en quoi le curé est irrespectueux envers le mort, son intérêt pour l’argent et le retournement de la situation. On pourrait penser que cette fable fait partie du registre tragique puisque la mort y est annoncée mais l’auteur transforme vite cette tragédie en comédie. Il utilise des antonymes d’adverbes avec « tristement » et « gaiement ». Il y a présence d’une anaphore avec « Robe d’hiver, robe d’été ». Ensuite ,

l’innocent produisent sur lui leur effet. 3. Quelques interprétations possibles 1) Provoquer terreur et pitié Etude du pathos : Le lexique : celui du corps. Aricie décrite en mode mineur : attitude dolente. Le rythme : émotion tragique 2) Unité Registre pathétique, dramatique, épique, baroque ; originalité de cette scène. 3) Problème du monstre La problématique du monstre est celle de toute la pièce. Phèdre est le monstre de la pièce. Barthes Sur Racine : sont monstrueux tous les personnages

deux camps « Bulgares » et « Abares » : le comportement similaire des deux armées montre que ces massacres sont la conséquence directe de la guerre ; la barbarie n'appartient pas qu'à un seul camp. Enfin, nous voyons une dénonciation efficace. Si le registre pathétique contribue à rendre la guerre condamnable, c'est l'ironie qui va achever la dénonciation de la guerre en démontrant tous les mécanismes qui pourraient la justifier. La guerre aurait avant tout une légitimité esthétique, Voltaire la montre

Antigone de Jean Anouilh Fiche de lecture : Antigone Titre de l’œuvre Auteur et siècle Date d’écriture et de présentation Genre Personnages principaux Époque de l’action Lieu de l’action Composition Registre de langue (niveau de langue) Registre ou tonalité de la pièce Règles classiques Type de texte Indications temporelles Dénouement Le prologue Présentation des personnages Les thèmes Fonction du chœur Rapport des personnages avec la loi Liens entre les personnages Histoire de la pièce

rendre plus heureux et vertueux, Diderot décida d’en faire un nouvel ouvrage. Nous trouvons dans ce livre, l’article « Paix » qui est attribué a Damilaville, haut fonctionnaire des Finances et grand ami de Diderot. Cet article est inscrit dans le registre polémique et nous pouvons y retrouver une condamnation de la Guerre. Nous pourrions donc nous intéresser au caractère réquisitoire (contre la guerre) de cet article. Nous étudierons donc la comparaison entre la Paix et la guerre que nous offre Damilaville

sinistre sur cette épave des tempêtes de la terre » : la nuit apparait comme une menace, le présage d’un malheur (« sinistre » = funeste) et la métaphore décrit un déchaînement des forces naturelles, un cataclysme. II. Le passage développe, dans un registre fantastique, une vision d’apocalypse a. Les nombreuses images qui se mêlent, s’entrecroisent, donnent au récit une dimension fantastique : au réalisme des termes techniques désignant les bâtiments de la fosse se mêlent diverses métaphores et

complètement indignée par la réaction et le sentiment héroïque de son frère, qu’on relève par la ponctuation expressive et l’utilisation frénétique des points d’exclamation . On peut parler dans ses paroles d’un registre pathétique voulant provoquer l’émotion chez le lecteur, on repère ce registre par l’utilisation des champs lexicaux de la mort «mort» au vers 14, «perte» vers 16, «je le tue» vers 40,... et de la souffrance «mes pleurs» vers 7, «affligée» vers 13, «mes douleurs» vers 31, «malheurs» au

ne peut s’arrêter de lui-même, le personnage ne parvenant pas à prendre une décision et à s’y tenir. II) Une tragédie pathétique typique du classicisme La présence des registres tragiques et pathétiques est indubitable dans ce monologue. En effet, cette scène présente l’intégralité des caractéristiques du registre tragique : Une Aristocrate (Hermione) placée en situation de victime, confrontée à des forces qui la dépassent, aux « drames de la destinée humaine » tel le mal, les passions