Registre Merveilleux

s’efface pour laisser sa place à la littérature. Le conte devient de plus en plus populaire. De nombreux auteurs écrivent des histoires divertissantes et instructives souvent dédié au roi. Ces histoires s’inspirent de l’amour courtois et du monde merveilleux. C’est dans ce contexte qu’est composé à la fin du XII siècle, Lanval, un lai de Marie de France. Il s’agit d’un conte arthurien dans lequel l’auteur présente Lanval, un généreux chevalier qui rencontre une fée avec laquelle il vivra une relation

croyances: Brama, Xaca... _des références culturelles surprenantes : personnifications herbe et huître: montre que les indiens croient en la métempsychose= la réincarnation ainsi que Pythagore: cette - référence à la mythologie : _le récit merveilleux des exploits du dieu « Bacchus » _choix du personnage qui dépayse aussi: Pythagore est un mathématicien de l’Antiquité grecque originaire de Samos : « le sage de Samos » -le narrateur est externe: « il » 3ème pers du sing mais tout est vu en

agréable. Voltaire joue ici sur les préjugés de la langue allemande. Château rappelle conte de fée pas d'indication temporelles > rend l'histoire intemporelle, donc on a une SI de conte. un monde idyllique. en apparence, tout est merveilleux : « dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux et madame la meilleure baronne possible » mais on se rends compte que le texte comporte des éléments problématiques. On a l'impression

Problématiques : En quoi ce texte répond t’il aux exigences du dénouement? (apologue) Quel leçon pouvons-nous tirer de ce conte philosophique? En quoi est-ce une parodie de conte de fée? Candide chapitre 30 Chaque leçon donné par les deux sages qui consiste « à ne pas s’intéresser à ce qui se passe autour des soi et vivre de manière simple dans un univers limité sur lequel on peut avoir une certaine maîtrise » conduit peu à peu Candide

que la présence d’un certain nombre de « grincements » invite à une lecture ironique du texte et que derrière une façade idyllique le monde du baron n’est pas ce qu’il semble. Cet incipit déconstruit donc plus encore qu’il ne construit un univers merveilleux. A. Les discrètes interventions du narrateur Le premier élément qui doit laisser entendre au lecteur que le monde présenté n’est peut-être pas aussi simple et caricaturale qu’une lecture au premier degré le laisse entendre est l’intervention répétée

suivant l’auteur, les cultures, les religions et autres. Puis est devenu écrite vers la Renaissance. Les contes sont adressés à tous publique différent comme l’âge, les origines… Il existe plusieurs types de conte comme par exemple les contes merveilleux, fantastiques, philosophiques est bien d’autres. On peut se demander en quoi le conte est une forme argumentative efficace ? Pour mieux saisir un conte, on peut le diviser en trois parties, un récit amusant, l’argumentation et le lecteur. 

. Un récit prend donc bien naissance sous nos yeux. D'autre part ce récit est plaisant et touchant, tout y est mis en œuvre pour nous tenir en haleine et atteindre la cible : notre cœur et notre esprit. C'est donc sous les traits d'un conte merveilleux, bref, enlevé, et qui ne laisse pas de répit au lecteur que l'auteur camoufle à peine l'enseignement qu'il veut nous donner, la mise en garde et la dénonciation de la misère que connaissent très souvent les artistes que par ailleurs nous admirons

cela ne changera pas le destin  La façon dont la souris évoque Colin : compassion du lecteur  Colin : nouveau Narcisse qui n’est pas attiré par son image contrairement au début du roman 2) Une mort poétisée  Ce dialogue relève du conte merveilleux (animaux qui parlent et avec des sentiments)  Animaux pour la fin : manière poétique d’évoquer le personnage  Souris : attitude dépressive de Colin marquée par les répétitions des mêmes actions  La mort n’est jamais vraiment nommée mais évoquée :

« Le Petit Chaperon rouge a été mon premier amour. Je sens que si j'avais pu l'épouser, j'aurais connu le parfait bonheur. » Ces mots du grand romancier Charles Dickens révèlent bien le charme envoûtant de ce conte, raconté à des générations d'enfants. Mais au-delà de la distraction et de l'imagination propres au conte, on sait, depuis la parution de l'ouvrage de Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées (1976), que ceux-ci exercent une fonction thérapeutique sur l'enfant. Selon

plaisanterie. Il émet un jeu d’antithèse entre petit et grand. Et se moque de l’attitude des Terriens par leur manque de connaissances en n’ayant pas le sens de la relativité. Cet incipit possédant tous les éléments caractéristiques d’un conte merveilleux n’est en réalité qu’un conte philosophique, à travers lequel Voltaire défends implicitement ses idées. Le conte philosophique est un bon moyen pour faire passer des idées nouvelles.